Poiret

de cela, elle quitta la pension pour retourner chez son père. Mademoiselle Michonnau : C'est elle qui dénonce Vautrin, avec la complicité de Poiret, à Gondureau pour 2000 frcs. Pour cela, elle le drogue et le frappe sur l'épaule pour voir réapparaitre son immatriculation. A la suite de ce fait, Vautrin fût emprisonné, et après un vote à l'unanimité. Poiret est un de ses meilleurs amis, peut-être plus même, puisqu'il la suit pour quitter ensemble la pension. Bianchon : Jeune étudiant en médecine

pas reconnue par son père qui refuse de la garder près de lui parce qu'il veut trasmettre sa fortune en entier seulement à son fils. Les deux appartements du second sont occupès, l'un par un vieillard nommè Poiret; l'autre, par un homme âgé d'environ quarante ans, monsieur Vautrin. Poiret est un pensionnaire rentier épris de mademoiselle Michonneau et Vautrin est un homme intelligent et malin qui souhaite aider Rastignac dans sa quête de fortune. Le troisième ètage se compose de quatre chambres

elle quitta la pension pour retourner chez son père.      Mademoiselle Michonnau :  C'est elle qui dénonce Vautrin, avec la complicité de Poiret, à Gondureau pour 2000 frcs. Pour cela, elle le drogue et le frappe sur l'épaule pour voir réapparaitre son immatriculation. A la suite de ce fait, Vautrin fût emprisonné, et après un vote à l'unanimité. Poiret est un de ses meilleurs amis, peut-être plus même, puisqu'il la suit pour quitter ensemble la pension.      Bianchon :  Jeune étudiant en

lecteur de se faire une image précise du personnage comme s’il l’avait déjà rencontré. Sa description minutieuse des moindres détails favorise l’illusion d’un personnage réel. Dans Le père Goriot, Honoré de Balzac va quant à lui, décrire Monsieur Poiret avec une vision péjorative, rendant le personnage plus humain « la tête couverte d’un vieille casquette flasque, tenant à peine sa canne à pomme d’ivoire jauni dans sa main » mais aussi, « son cou de dindon ». Ajouté à cela, le narrateur partage ses

une pension bourgeoise Paris, automne 1819, une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève (maison Vauquer) : accueille pensionnaires et habitués pour le dîner. Pensionnaires : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, le père Goriot. Vautrin : quarantaine d'années, se fait passer pour un ancien commerçant, mystérieux. Père Goriot : 69 ans, pitoyable rentir, vit dans une mansarde, plus âgé et ancien des pensionnaires, on

aux sentiments, chapeau feu l’Opéra, à la Montgolfier ou à la Philadelphie… Le 18eme et 19eme siècle sont témoins d’une nouvelle vague de styliste, une génération perfectionniste et emblématique, extrêmement féconds, on site: Jean Patou, Paul Poiret, Vionnet, Lanvin, Chanel, Schiaparelli, Balenciaga et Dior… deviennent alors les symboles de l’art de vivre à la française. Ils y parviennent parce qu’ils donnent une dimension industrielle à leurs créations. Guerlain « parfumeur français », dès

Taillefer : Au début du récit, celui-ci est pauvre, n'ayant comme "mère adoptive" Madame Couture, puis qui dévient riche car elle hérite de l'argent de son père.   Mademoiselle Michonnau : C'est elle qui dénonce Vautrin, avec la complicité de Poiret pour de l'argent . Poiret est un de ses meilleurs amis, peut-être plus même, puisqu'il la suit pour quitter ensemble la pension.   Bianchon : Jeune étudiant en médecine et ami de Rastignac. Il s'occupera de Goriot durant ses dernières heures et paiera une partie

ses études de droit à Paris. - Mlle Michonneau, femme avide et peu morale - Poiret, un homme qui contribue à une conversation en répétant toujours ce que les autres viennent de dire. L’histoire : Le roman Le Père Goriot commence à Paris à l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue Nueve-Sainte Geneviève, sept pensionnaires habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le père Goriot. Rastignac est un beau

bagne, permet une accélération narrative, constitue un roman dans le roman, et présente un premier dénouement : l’un des personnages principaux, le plus trouble, quitte la scène, en même temps que les couples Michonneau/Poiret et Victorine/Couture. Au jardin des plantes, M. Poiret et Mlle Michonneau rencontrent un responsable de la police, Gondureau, qui leur indique la véritable identité de Vautrin : C'est un forçat qui s'est évadé du bagne de Toulon, où il avait le surnom de  « trompe-la-mort »

est la fille adoptive de Madame Couture. Monsieur Poiret : Il est le type de l’Employer, de la bureaucratie judiciaire. Il était un être passionné et un peu stupide, aussi est-il comparé souvent à un « âne » ou un fruit, le poireau (un asperge du pauvre). Pour les références des pages voir l’édition Hachette. Mlle Michonneau : Cette fille dont le « regard blanc donne froid » et qui semble être quelque agent secret en faction, assistée de M. Poiret qui le complète. Sylvie : Appelée familièrement