Poiret

Goriot Partie I: Une pension bourgeoise La pension de Mme Vauquer abrite de nombreuses personnes venant de tous horizons: Mme Vauquer, la propriétaire avare, Mme Couture, veuve, sa fille adoptive, Victorine Taillefer, Vautrin, un forçat évadé; Poiret, Mlle Michonneau, et quelques étudiants, dont Eugène de Rastignac. Après s'être fait congédier de la demeure de la comtesse de Restaud, Eugène de Rastignac prend conseil auprès de sa cousine Mme de Beauséant. Celle-ci l'autorise à utiliser son nom

et de réussite; Mme Couture et sa protégée Victorine Taillefer, reniée par son père et son frère qui refusent de lui accorder le moindre sou; Vautrin, un personnage assez mystérieux à l’allure peu rassurante et au langage souvent grossier; enfin M. Poiret et Mlle Michonneau, qui restent plutôt en retrait une majeure partie du roman.Je me souviens que le jeune Rastignac fait part de ses désirs de faire fortune dans la capitale afin d’aider sa famille possédant des moyens limités, et pour ce faire s’oriente

un accessoire de mode. Certains célèbres couturiers des années folles tels que Paul Poiret ; pour ne citer que lui, reprennent les codes du sarouel. La société, comme pour oublier le traumatisme, prend un détail d’un uniforme de cette guerre juste achevée pour en faire un objet de mode, de beauté, de coquetterie. Durant les années 2O, les femmes s’intéressent de plus en plus au vêtement masculin. Paul Poiret donne les premiers signes du changement dès lors qu’il se fascine pour les ballets, et

plus ce personnage est un prétexte à l'humour. Il y a une scène dans le film ou l'inspecteur Gondureau à une conversation avec Mlle Michauneau et Poiret où l'homosexualité de Vautrin et tourné en dérision à l'image de ces phrases de l'inspecteur et de Poiret « Habitude du bagne sûrement » et « cela existe donc ? », l'étonnement du personnage de Poiret est dû au contexte du film, quand Balzac à écrit ce livre l'homosexualité était passible de mort. Jean Claude Carrière a réalisé ici une performance

latin et le faubourg Saint-Marceau, dans la rue Neuve Sainte-Geuneviève, vers la rue de l’Arbalète. Ces rues sont serrées entre le dôme du Val de Grâce et le dôme du Panthéon. Les 7 pensionnaires sont: M. Poiret (un ancien employé du Muséum), Mlle Michonneau (une retraitée à l’instar de Poiret), Mlle Couture (veuve d’un commissaire ordonnateur), Victorine Taillefer (sa pupille fille d’un riche banquier, qui a décidé de la déshéritée, au profit de son frère) sa pupille, M. Goriot (un homme de 79 ans

faire l’illusion complète du vrai », dira Maupassant. Le réalisme balzacien souvent frôle le fantastique, dépassant le réel pour suggérer un univers supra-naturel. Madame Vauquer Victorine de Taillefer et madame Couture Mademoiselle Michonneau Poiret Jean-Joachim Goriot –Pitoyable rentier de soixante neuf ans, il est le plus âgé de la Maison Vauquer et aussi le plus ancien des pensionnaires (1813). Les premiers temps, sa fortune et ses revenus lui permettaient d'habiter au premier étage. Puis

modèle Kiki de Montparnasse*. Il rencontre également le couturier Paul Poiret. Il réalise de nombreuses photos de mode qui sont publiées dans les magazines et contribuent à le faire connaître. À son grand regret, il n'aura jamais l'occasion de faire le portrait du couturier. Dans son livre de souvenirs, il confie qu'à la mort de Paul Poiret il a envoyé à un journal une photo du médecin personnel du couturier comme étant un portrait de Poiret et cette photo a été publiée comme telle. Avec Jean Arp, Max Ernst

pris à une table commune et où chaque locataire dispose d’un appartement ou une simple chambre. Ce qui est le cas de la pension présentée et décrite dans la première partie du roman, tenue par madame Vauquer. En effet Vautrin, Rastignac, Goriot, Poiret et les autres personnages y habitent bien. On sent bien cette habitude que les uns ont avec les autres dans la pension (par exemple Vautrin appelle madame Vauquer « maman »). Dans cette deuxième partie du texte, 1 élément est principal et fait le

pauvre vieillard. Il n'avait jamais eu ni fille ni femme; l'abus des plaisirs en faisait un colimaçon, un mollusque anthropomorphe à classer dans les Casquettiferes, disait un employé au Muséum, un des habitués à cachet. Poiret était un aigle, un gentleman auprès de Goriot. Poiret parlait, raisonnait, répondait, il ne disait rien, à la vérité, en parlant, raisonnant ou répondant, car il avait l'habitude de répéter en d'autres termes ce que les autres disaient; mais il contribuait à la conversation

contraintes et les femmes s’émancipent, elles fument, se maquillent, elles bravent le scandale en se coupant les cheveux, elles effacent leur taille en la descendant et aplatissent leurs seins en adoptant le style ample grâce aux couturiers tels que Chanel, Poiret, Lanvin ou encore Vionnet. De nouvelles activités apparaissent tels que le golf, la natation, les bains de soleil, les voitures de sports ou encore les soirées aux cabarets et au dancing sous le signe du jazz, du shimmy et du charleston. Le ton