Policy Mix Dans La Zone Euro

situation d’inflation ou de déficits extérieurs. D. Le choix d’une politique conjoncturelle Finalement, le choix d’une politique conjoncturelle se résume à adapter les instruments aux objectifs en choisissant le meilleur dosage (policy mix) budgétaire (plus ou moins restrictive) et de politique monétaire (plus ou moins accomodante). On distingue deux types de politique conjoncturelle : les politiques de relance et les politiques de stabilisation (souvent qualifiées de politiques de

européenne à travers sept grands thèmes : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. L’économie de l’Union européenne : une approche descriptive Les institutions économiques de l’Union européenne Les théories de l’intégration européenne Les politiques économiques dans la zone Euro La politique agricole commune La concurrence fiscale en Europe Les enjeux de l’élargissement de l’Union à l’est GRANDES FONCTIONS DE L’ENTREPRISE Le cours de grandes fonctions de l’entreprise passe en revue : la fonction de production (en y intégrant

dérive des finances publiques dans l’un ou l’autre Etat membre de l’Euroland ne provoque une montée des taux d’intérêt et de l’inflation dans l’ensemble de la zone, préjudiciable à celle-ci. Ces arguments expliquent l’adoption du Pacte de stabilité et de croissance, selon lequel à partir du 1er janvier 1999 les Etats membres de la zone euro doivent rechercher l’équilibre budgétaire sur le moyen terme. Le déficit budgétaire, s’il existe, ne pourra dépasser le seuil de 3% du PIB, tout franchissement

CHANGE DE L'ENTREPRISE La capitalisation boursière d'une entreprise est son prix théorique. On connaît, par ailleurs, sa valeur comptable (l'actif net, actif total moins les dettes). Si celle-ci dépasse l'actif net, il apparaît qu'un euro de telle société vaut plus qu'un euro monétaire, et peut-être plus que celui investi dans une autre société. Le taux de change de l'entreprise apparaît ainsi, et l'on parle d'acquisition currency. Il se calcule à l'aide du rapport entre sa capitalisation boursière

croissance de long terme.................................................... 93 PRODUCTIVITÉ ET CROISSANCE 3 2. L’accompagnement macroéconomique des réformes structurelles ... 97 2.1. Le Royaume-Uni de 1982 à 1993 : réformes structurelles et policy mix restrictif ............................ 97 2.2. La Suède de 1992 à 1997 : violente réduction des dépenses publiques, accompagnée d’une forte expansion monétaire et de la dépréciation de la couronne........................................... 99 2

Datast ream, NATIXIS 2 0 100 -2 98 99 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 -2 80 100 80 98 99 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 Au total, en dehors des crises, le modèle IS-LM explique bien l’équilibre économique mondial :  le policy mix expansionniste conduit à une croissance rapide (en dehors des crises) ;  la politique budgétaire expansionniste n’a pas fait monter les taux d’intérêt à long terme grâce à la politique monétaire expansionniste ;  la politique monétaire expansionniste

l'expression « économie politique »[]. Cela correspond à l'influence notable des méthodes mathématiques utilisées dans le domaine des sciences naturelles. On parle également de l'économie lato sensu comme de la situation économique d'un pays ou d’une zone, c'est-à-dire de sa position conjoncturelle (par rapport aux cycles économiques) ou structurelle. Dans ce sens, l'économie est donc un quasi-synonyme à la fois de système et de régime. Enfin, de manière générale, en français, on parle d'économie comme

Qui est émise par un grand pays : le pays émetteur doit réaliser une part importante du PIB mondial. Une monnaie émise par un grand pays sera plus connue. 1998 : USA : 21% du PIB mondial Euro : 15,5% du PIB mondial Part des USA dans les biens et services : 16,3% Euro : 20,1% en excluant les échanges intracommunautaires. Avec les échanges intracommunautaires on multiplie ce chiffre par 2. Le dollar est pourtant la monnaie internationale. On ne peut pas expliquer pourquoi le

Chapitre 1 : LE RÔLE DE LA DISTRIBUTION ET DU MARKETING Comment se place la distribution dans le système complexifié ? Quel est le rôle des distributeurs ? On reprend le marketing mix pour les canaliser dans le secteur distribution où on parle de « Retail mix », avec des leviers complétement différents de celles du marketing. On cherche à comprendre le rôle de la distribution, puis on verra qui sont les acteurs de la grande distribution et comment on place la distribution dans la filière. Les

5. La mobilité = Les barrières protectionnistes. Un produit devrait avoir le même prix partout. Un produit originaire du Vietnam vendu en Belgique n’aura pas le même prix puisque on y ajoutera des frais de transport. Le Coca Cola est vendu 6 euro en haute altitude, à Méribel par exemple. Distinction possible selon les conditions non respectées Conditions de nombre : atomicité, barrière à l’entrée  Monopole et Duopole Conditions de prix unique ; homogénéité, mobilité des facteurs