Policy Mix Européen

faibles). Ce diagnostic (Document 4), encore appelé "SWOT" (Strenghts, Weakeness, Opportunities, Threats), ou modèle LCAG du nom des 4 chercheurs de la Harvard Business School qui l'ont formalisé [Learned, Christensen, Andrews et Guth, Business policy, Text and cases, Irwin, 1965 ] peut être réalisé dans le cadre d'une étude documentaire. Il permet de lister les principales informations dont l'entreprise peut avoir besoin pour prendre ses décisions. Pour ce faire, l'entreprise doit donc : -

Les Amériques. Continent multiculturel : place de Mexico appelée “place des trois cultures”. * Indienne, Européenne, Nord Américaine. * Indiens partt : Pérou (30% pop), Mexique (30% pop). * Plusieurs langues officielles ds ces pays. Amérique = projection de l’Europe. * Noms européens : Terre de Feu, Colombie, Brésil (bois de braise). * Noms opposés à l’Europe : Bolivie, Washington… * 1585 Traité de Tordesillas : séparation entre portugais et espagnols. * Héritage

3 15 19 % 17 % Japon-Corée du Sud MERCOSUR 14 3 2 4 30% 23 28 % ALENA 5 2 3 14 Tiers Med 17 % CEI 23 24% 17 UE 30 2000 2020 2050 Le deuxième scénario intitulé « « puissance européenne réinventée » La ou « Europe Russie Méditerranée » repose sur l’hypothèse que l’UE entreprenne une grande politique dite de « développement intégré » avec la rive sud de la Méditerranée et la Russie, comportant plusieurs volets (économique

économique, du coup comme aux USA et autres, et en France à partir de 1983, l’impératif premier n’est plus la croissance mais la « stabilité » (des prix et taux de change). B. Les transformations de la PE aux USA : Alors que les autres pays font de la Policy Mix, ils sont en train de faire des PM et PB restrictives qui se traduisent par une réduction de la quantité de monnaie au Japon par exemple, la France adopte une PE à la fois monétaire et budgétaire expansionniste, c’est une rupture à l’égar du gouvernement

% de PIB. Ils acceptent l’idée d’un léger creusement du déficit public, temporaire puisque les dividendes de la réforme en termes de croissance devraient permettre de revenir assez rapidement dans les clous. Ce point, dans le contexte français et européen de 2007-2008, est bien sûr susceptible de faire débat. Il est également utile d’avoir en tête la chronologie des différents rapports et des différentes commissions travaillant sur des sujets voisins. De ce point de vue, ce rapport du CAE a le mérite

sont faibles ou inefficaces, pour déplacer leurs fonds plus facilement. D’où la nécessité légiférer de façon harmonieuse pour unifier et intensifier les contrôles. Il s’agit de l’objectif recherché par l’entrée en vigueur de la Troisième directive européenne anti-blanchiment. Il convient alors de s’interroger sur l’impact de cette directive, au sein des établissements bancaires : quelles sont les conséquences pour nos banques ? Pour pouvoir traiter cette question, nous verrons dans

De la patrimonialisation du monde au marketing du patrimoine La patrimonialisation du monde Le développement du marketing du patrimoine La territorialisation des stratégies Le marketing-mix des lieux de patrimoine Les actions-produit : valoriser l’offre patrimoniale Les autres variables du marketing-mix, au service de la valorisation de l’offre patrimoniale Conclusion 175 CHAPITRE 7 Le marketing des industries culturelles : films, livres et disques Par Stéphane Debenedetti 176

bouteille de coca de 20cl a 2euro sera interdite en changée - soit à 1.50 euro  prix min, soit de 25cl  quantité min). Avec l’évolution de la technique (partage des coûts fixes communs entre plusieurs fournisseurs + passage au marché Unique Européen  Élargissement de la DEMANDE. Pleins de réseaux de distribution qui ne se retrouvent plus en monopole naturel Exemple : Belgacom était seul en monopole naturel car c’est très cher de créer un réseau. Avec la libération de ce réseau ; il y a

Chapitre 1 : LE RÔLE DE LA DISTRIBUTION ET DU MARKETING Comment se place la distribution dans le système complexifié ? Quel est le rôle des distributeurs ? On reprend le marketing mix pour les canaliser dans le secteur distribution où on parle de « Retail mix », avec des leviers complétement différents de celles du marketing. On cherche à comprendre le rôle de la distribution, puis on verra qui sont les acteurs de la grande distribution et comment on place la distribution dans la filière. Les

poursuivis si l’objectif principal est atteint « Sans préjudice à cet objectif, le SEBC apporte son soutien aux politiques économiques générales… à savoir un niveau d’emploi élevé et une croissance durable et non inflationniste » Traité sur l’Union Européenne (article 105, paragraphe 1).  Une focalisation excessive sur l’inflation ? Faut-il transformer la BCE en « Eurofed » ? Marie Musard-Gies Séminaire Master 2 MBFI, Université de Nice Sophia Antipolis 11 1.1 Les objectifs des banques