Politesse Chez Les Jeunes

Extraits de « La place », d’Annie ERNAUX ----- L'histoire commence quelques mois avant le vingtième siècle, dans un village du pays de Caux, à vingt-cinq kilomètres de la mer. Ceux qui n'avaient pas de terre se louaient chez les gros fermiers de la région. Mon grand-père travaillait donc dans une ferme comme charretier. L'été, il faisait aussi les foins, la moisson. Il n'a rien fait d'autre de toute sa vie, dès l'âge de huit ans. Le samedi soir, il rapportait à sa femme toute sa paye et elle

déterminant indéfini “une”, le terme générique “région”—> L’énonciateur marque sa distance à l’égard du pays décrit et entretient un certain mystère autour du lieu évoqué. -les vieillards sont galants, polis, civils; les jeunes gens au contraire, durs, féroces, sans mœurs ni politesse” Antithèse, opposition soulignée par locution “au contraire”, Accumulation d’adjectifs péjoratifs et négations—> La nouvelle génération n’a aucune des qualités naturelles de la jeunesse (douceur, amour, idéalisme);

servi qu'un Meunier, comme moi, Tu ne serais pas si malade. " Le loup et l’agneau La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous l'allons montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. - Sire, répond l'Agneau, que votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais

importantes et que bien sur je les préfère aux autres. La Cigale et la Fourmi La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. "Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Août, foi d'animal, Intérêt et principal. " La Fourmi n'est pas prêteuse : C'est là son moindre défaut

« faire » celui de l’éducation et plus directement vers l’action. DURKHEIM : « l’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mures par la vie sociale, elle a pour objet de susciter et de développer chez l’enfant un certain nombre d’état physique, intellectuel et moraux qui réclame de lui et la société politique dans son ensemble et le milieu spéciale auquel il est particulièrement destiné. » C-à-d, l’éducation que les parents nous transmettent.

Projet : Allez les filles ! Objectif principal : Encourager la pratique sportive régulière des jeunes filles de 11 à 17 ans. Lieu : Bohain-en- vermandois. L'idée est simple : fournir aux jeunes des espaces de rencontre et d'y proposer des activités physique et des événements sportifs. Le sport est une composante essentielle de l'éducation pour les garçons comme pour les filles. Il permet à la fois l'épanouissement physique et intellectuel, l'apprentissage de la vie en société par

socialisation n’est pas un processus naturel, c’est un processus relationnel. La famille est par conséquent un point de départ essentiel du processus de socialisation car c’est au sein de la famille que l’on apprend les règles d’hygiène, le langage et la politesse. 3. Historique. Que ce soit durant la préhistoire, au cours du Moyen-Âge ou de nos jours, l’un des seuls points communs entre ses époques est que l’enfant est éduqué pas sa famille pour que cet enfant devienne un être sociable. La socialisation

dormeur, illustrant plaisamment la morale du conteur : « Rien n’est si dangereux qu’un ignorant ami ». La satire, qui dénonce les défauts des hommes et les abus auxquels leur condition les conduit, contribue elle aussi à rendre l’apologue humoristique. Chez la Fontaine, c’est le milieu hypocrite et injuste de la cour qui fournit bien souvent la cible de la satire, comme le montre la fable Les Obsèques de la lionne, qui met en scène le succès que l’on rencontre en mentant devant les rois. Les animaux malades

une liberté directe. Puisque celle-ci n’est pas le résultat du choix sans contrainte d’une intention première subjective, mais celui d’une longue et perpétuelle intériorisation des rôles masculins et féminins auxquels dès l’enfance les jeunes garçons et les jeunes filles sont exposés. Donc, chacun s’estiment parfaitement libre alors qu’on obéit tous à un ordre social souvent prédéfinis, ce phénomène de sens commun est invoqué par le sociologue DURKHEIM. Concernant les manières légitimes de se conduire

?  → Lequel de vos parents a eu le plus d’influence sur vous ?  → Quelle est votre situation familiale ?  → De quelle région êtes-vous originaire ?  → Vivez-vous avec vos parents ?  → Vous entendez-vous bien avec votre famille ?  → Qui est le chef chez vous ?  Sur vos loisirs  → Avez-vous une passion ?  → Avez-vous une activité artistique ? sportive ? culturelle ? musicale ?  → Que faite-vous pendant les vacances ?  → Appartenez-vous à une association ?  → Voyagez-vous souvent ?  → Quels pays étrangers