Politesse Et Honneteté

quelques pas devant elle, la conduisit au pied de l'escalier, qui se trouvait à la gauche du hall. Là, il inclina la tête, il lui sourit, du sourire qu'il avait pour toutes les femmes. - En haut, tournez à gauche... Les confections sont en face. Cette politesse caressante remuait profondément Denise. C'était comme un secours fraternel qui lui arrivait. Elle avait levé les yeux, elle contemplait Hutin, et tout en lui la touchait, le joli visage, le regard dont le sourire dissipait sa crainte, la voix qui

lui était élégant et distingué, le visage, le corps et les vêtements. De toute sa personne, de son langage, de ses gestes s’exhalait comme un parfum aristocratique qui n’avait rien de voulu, et qui était évidemment naturel. Par habitude de politesse, il souriait d’un air aimable, mais au fond de ce sourire, il y avait quelque chose de triste, de profondément douloureux. Ces deux hommes qui s’abordaient ainsi s’efforçaient donc de dissimuler, pour les mêmes raisons, – au commencement du

devant elle, la conduisit au pied de l’escalier, qui se trouvait à la gauche du hall. Là, il inclina la tête, il lui sourit, du sourire qu’il avait pour toutes les femmes. - En haut, tournez à gauche... Les confections sont en face. 45 Cette politesse caressante remuait profondément Denise. C’était comme un secours fraternel qui lui arrivait. Elle avait levé les yeux, elle contemplait Hutin, et tout en lui la touchait, le joli visage, le regard dont le sourire dissipait sa crainte, la voix qui

quelques pas devant elle, la conduisit au pied de l'escalier, qui se trouvait à la gauche du hall. Là, il inclina la tête, il lui sourit, du sourire qu'il avait pour toutes les femmes. – En haut, tournez à gauche… Les confections sont en face. Cette politesse caressante remuait profondément Denise. C'était comme un secours fraternel qui lui arrivait. Elle avait levé les yeux, elle contemplait Hutin, et tout en lui la touchait, le joli visage, le regard dont le sourire dissipait sa crainte, la voix qui

quelques pas devant elle, la conduisit au pied de l’escalier, qui se trouvait à la gauche du hall. Là, il inclina la tête, il lui sourit, du sourire qu’il avait pour toutes les femmes. – En haut, tournez à gauche... Les confections sont en face. Cette politesse caressante remuait profondément Denise. C’était comme un secours fraternel qui lui arrivait. Elle avait levé les yeux, elle contemplait Hutin, et tout en lui la touchait, le joli visage, le regard dont le sourire dissipait sa crainte, la voix qui

pied de l'escalier, qui se trouvait à la gauche du hall. Là, il inclina la tête, il lui sourit, du sourire qu'il avait pour toutes les femmes. II 46 Au Bonheur des Dames - En haut, tournez à gauche... Les confections sont en face. Cette politesse caressante remuait profondément Denise. C'était comme un secours fraternel qui lui arrivait. Elle avait levé les yeux, elle contemplait Hutin, et tout en lui la touchait, le joli visage, le regard dont le sourire dissipait sa crainte, la voix qui

quelques pas devant elle, la conduisit au pied de l'escalier, qui se trouvait à la gauche du hall. Là, il inclina la tête, il lui sourit, du sourire qu'il avait pour toutes les femmes. - En haut, tournez à gauche... Les confections sont en face. Cette politesse caressante remuait profondément Denise. C'était comme un secours fraternel qui lui arrivait. Elle avait levé les yeux, elle contemplait Hutin, et tout en lui la touchait, le joli visage, le regard dont le sourire dissipait sa crainte, la voix qui

conduite humaine Les règles de bienséance, de courtoisie, sont des règles de politesse qui ne sont en rien sanctionnées par l'autorité publique. Celui qui manque à ces règles ne s'expose pas à une sanction sauf celle qu'il va s'infliger à lui-même : passer pour un malotru,etc...); cependant ces règles sont à l'origine des règles de droit. ➢ Les règles morales sont des règles de bonne conduite, des prescriptions morales (honnêteté, charité, refus de la débauche). Ce sont des règles individuelles qu'une

manière à ce que celui-ci puisse être indépendant et s’insérer dans la société. Ceci doit permettre à l’enfant de pouvoir partir de chez ses parents. Les parents ont le droit et le devoir d’assurer l’éducation quotidienne, culturelle, religieuse (politesse…), scolaire, artistique, morale… Le problème qui se pose entre les parents est le choix de l’éducation. La loi impose l’instruction scolaire entre 6 et 16 ans mais la loi ne dit rien sur les modalités de mise en œuvre de ce droit à l’instruction

Coupeau allait lui chercher son lait, se chargeait de ses commissions, portait ses paquets de linge; souvent, le soir, comme il revenait du travail le premier, il promenait les enfants, sur le boulevard extérieur. Gervaise, pour lui rendre ses politesses, montait dans l'étroit cabinet où il couchait, sous les toits; et elle visitait ses vêtements, mettant des boutons aux cottes, reprisant les vestes de toile. Une grande familiarité s'établissait entre eux. Elle ne s'ennuyait pas, quand il était