Politique Anti Inflationniste

nord-américaine : - dissolution des grands zaïbatsu qui avaient fait sa puissance - contingentement sévère de la production industrielle, surtout l’acier - L’URSS n’est pas en mesure de tenir le rôle économique en rapport avec sa puissance politique et militaire : - malgré l’exploitation des économies satellites - ravages de la guerre maintenant sa production au quart de celle des Etats-Unis - rayonnement commercial limité (pays socialistes = 3,6 % des exportations mondiales en

plus de 4,5 milliards d’euros en prix de détail tous circuits en 2006. Certains paramètres vont donc jouer en cette faveur, tels que : - l’évolution des consommations alimentaires (via la jeune génération notamment). - l’impact des discours santé/anti alcool. - la dynamique de créativité inhérente aux acteurs du marché. Nous avons pu remarquer que le marché avait connu deux années atypiques, avec à « l’effet canicule » en 2003 et un retour à l’équilibre en 2004. On observe également de nouveaux

transformer une situation d’affrontements en une situation de coopération ou conflit institutionnalisé (page 130). On distingue interdépendance directe ou indirecte. On distingue également différents effets émergents : - effets de renforcement (racisme anti noir des ouvriers) - effets de renversement (les noirs s’armant = détente inter ethnique) - contradiction (capitalisme qui ne peut satisfaire ses objectifs à long et court terme = Marx) - effets d’innovation sociale (nucléarisation de la Famille)

stabilité de la monnaie et donc ainsi permet d’assurer les échanges, transactions → fiabilité de la monnaie émis par un pays X=> stabilité des prix Malgré des fluctuations cycliques (phases d’inflation / puis déflation) + tensions inflationnistes du CT (mauvaises récoltes par exemple) une institution qui va s’occuper d’émettre de l’or → la banque centrale → fait très attention aux billets qu’elle va émettre en fonction de la quantité d’or qu’elle dispose

domaine exclusif de l'employeur, mais sans pouvoir subit des limitations : -fixation d'un ou plusieurs minima. -Indexation : hausse de salaire au moins égal à celle des prix. -Grilles fixées par des accords collectifs. -Politique des revenus dans le cas des plans anti-inflationnistes de freinage de la consommation, elle fixe des normes d'évolution maximale des entreprises ressente durement ses rigidités qui interdisent d'une part l'individualisation des salaires, d'autres par leur variation avec la

Le développement durable en France 72 XI. Les crises économiques 73 a. Une définition de la crise économique 73 b. Interdépendance et crise économique 75 c. Les explications des crises économiques 77 d. Les politiques anticrises 80 XII. Le commerce intérieur 82 a. L'activité de vente et d'achat 82 b. Commerce et distribution 82 c. Commerce et producteurs 83 d. Les mutations du commerce 83 e. Les fonctions du commerce

des acteurs cad pas de barière a l'entré et à la sortie. Avoir une concurrence « libre et non faussée » -contraint les acteurs à ne jamais avoir de position monopolistique=etre contre les acteurs trop gros (qui pèseraient sur les prix). Ex: lois anti-trust , lois contre les abus de position dominante. Problème ne serait-ce pas une contradiction inhérante à l'éco capitaliste? (cf Marx) Le marché un concept à questionner ; Question un marché plainement concurentiel est -il possible ?

autres secteurs. - les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) : leur fonction est la production de biens et services non marchands réservés à des groupes particuliers de ménages (associations, syndicats, culte, partis politiques...). Leurs ressources principales proviennent de contributions volontaires des ménages, de subventions, des revenus de la propriété et éventuellement de la vente de services marchands. Enfin, un compte, intitulé le « Reste du monde », « l’Etranger »

avec le gonflement de la dette du secteur public, contribue au malaise qui caractérise la situation économique actuelle et constitue un obstacle à une reprise satisfaisante. D'où la priorité donnée a la réduction des déficits dans la stratégie anti-inflationniste actuelle. Néanmoins, les efforts pour réduire les déficits ont été gênés par l'incidence défavorable de la récession sur les recettes et dépenses liées à l'emploi, et les progrès accomplis dans le sens de la restructuration à long terme des

heurte le plus souvent aux politiques préconisées par le Fonds Monétaire International. Cet organisme, basé sur l’orthodoxie dépassée selon laquelle le marché conduit inévitablement à la meilleure efficacité économique, enferme l’Etat dans un carcan où ce dernier ne peut adopter les mesures souhaitables pour le bien de tous. La crise financière asiatique de 97-98 a souligné les carences du FMI dont les décisions n’émanent ni d’études économiques compétentes ni d’idées politiques intéressantes mais plutôt