Politique De Relance

Les Politiques Économique • INTRODUCTION • On définit la politique économique comme l'ensemble des moyens mis en œuvre par l'Etat pour atteindre les objectifs qu'il s'est fixé dans le but d'améliorer la situation économique générale du pays. Plusieurs raisons peuvent justifier l'intervention de l'État dans la sphère économique, parmi lesquelles la nécessité de maintenir la cohésion sociale, l'équilibre des marchés ou le libre exercice de la concurrence. Les politiques conjoncturelles

la Théorie générale de l’emploi, du taux d’intérêt et de la monnaie, Hicks, dans un article intitulé « Monsieur Keynes et les classiques : », présentait le modèle ISLM, celui-ci fut ensuite repris par Hansen dans son ouvrage Théorie monétaire et politique fiscale en 1952. Dans ce modèle, deux courbes s’affrontent. La courbe IS représente l’équilibre sur le marché des biens et des services en économie fermée. La courbe LM quant à elle représente l’ensemble des couples intérêt et production compatibles

moins de recettes fiscales ce qui va aggraver son déficit (courbe de Laffer) (Doc 6). Conclusion partielle = les effets pervers du déficit budgétaire sont trop grands pour qu’il puisse être considéré comme un moyen d’intervention de l’Etat dans sa politique conjoncturelle. L’Etat doit être neutre. Son budget doit être équilibré. Mais pourquoi n’arrive-t-on pas en France à le faire ? B – LE DEFICIT FRANÇAIS ACTUEL N’A AUCUN EFFET POSITIF POUR LA CROISSANCE Phrase introductive = Depuis 2002, la part

multiplicateur : moins de revenus entraîne moins de dépenses, ce qui entraîne moins de débouchés pour les entreprises, ce qui entraîne moins d’embauche, et ainsi de suite. Pour résoudre ce problème, Keynes propose donc des nouvelles politiques consistant à inverser ce procédé et relancer l’économie. D’après lui, l’Etat a un rôle principal, il faut qu’il finance des entreprises pour qu’il créé des emplois. De ce fait la consommation augmentera et cela créera à nouveaux des emplois : l’offre dépend donc de la

l’Etat. B – Quand un Etat s’endette, c’est dans le but de relancer la demande : en effet, on augmente les dépenses publiques, comme en construisant plus d’infrastructures par exemple, ce qui permet de créer plus d’emplois, et donc de stimuler la demande. Ainsi, en théorie, le déficit initial est plus que combler par la croissance qu’il a générée. Cependant, dans la réalité, cela n’est pas toujours vrai : en effet, cette politique de relance par la demande est inefficace si le pays est internationalement

mondiale : l’industrie n’est plus dans les pays développés mais par exemple en Chine (2ème puissance économique derrière les Etats-Unis et devant le Japon). Le Gouvernement américain et la FED laissent filer, injecte de l’argent : il y a une incapacité politique à faire face à la crise. La solution de la crise est terrible : c’est la résolution de la Seconde Guerre mondiale, moment où les Etats-Unis sont devenus la puissance mondiale. Elle a permis de faire travailler tout le monde (chômeurs, femmes au service

les structures économiques, ainsi, l’impôt permet de mettre en œuvre une politique de relance ou une politique de stabilisation selon la conjoncture économique et  selon  les objectifs visés par les autorités. Si l’on vise l’expansion économique, on peut faire de l’impôt un facteur incitatif à la consommation, à l’investissement, à l’emploi… De même, on peut faire de l’impôt un instrument efficace si on vise une politique de stabilisation ou si on veut encourager des secteurs d’activité au détriment

|Analyser les effets de la politique de relance économique. | | |Une relation |Quels liens peut-on établir entre les transformations du marché du travail et | | | |l’exclusion ? | EXERCICE 1 : Etudier un sujet : 1) La relance de la demande par le déficit budgétaire

Les Etats ayant adoptés des règles d’or refusent en réalité de se restreindre autant au niveau des dépenses. C’est pourquoi, ils ont prévus des clauses qui permettent d’invoquer des circonstances conjoncturelles exceptionnelles pour autoriser des relances keynésiennes, autrement dit, les Etats ont invoqué abusivement ces circonstances « exceptionnelles » qui sont devenues la norme et ont augmentés l’endettement à moyen terme. De plus, en adoptant ces règles, les Etats ont exonérés le financement des

il veut modifier les comportements. B) Les imperfections de marchés dans les théories keynésiennes On peut définir l’essence de la "synthèse néo-keynésienne", élaborée après la guerre à partir de la pensée de Keynes et qui a inspiré les politiques économiques des années 50 à 70, comme une extension de la notion d’imperfection aux marchés du travail et des titres, justifiant de nouvelles formes d'interventions des Etats sur les marchés. Il est clair que la crise des années 30 manifestait