Politique Keynes Ou Monétariste

Ni les hypothèses monétaristes et keynésiennes ne peuvent l’expliquer. Seule la théorie autrichienne du cycle économique peut le faire. Une vue d’ensemble de l’économie du Japon pour la période 1985-2000 Après les accords du Plaza en septembre 1985, l’appréciation du yen frappe durement le secteur des exportations et la croissance économique passe de 4.4% en 1985 à 2.9% en 1986 (EIU 2001).[1] Le gouvernement tenta de compenser les effets d’un yen fort en adoptant une politique monétaire axée sur

puisse pas les confondre. Une présentation d’ensemble Qd commence et qd finit la période néoclassique ? Années 1870 : Jevons, Menger et Walras avec étude d’un nv concept : l’utilité marginale. Marshall vint plus tard : 1890. Avec l’arrivée de Keynes, appelation « classiques » pour disciples de Smith aussi bien que pour ceux de Marshall au seul motif qu’ils n’étaient pas keynésiens. Tout se complique à nv qd certains économistes (Hicks, Samuelson) décident qu’ils sont keynésiens tout en étant

ne joue que sur les prix. Les monétaristes (courant de l’école libérale) considèrent qu’il faut faire attention, réguler masse monétaire car sa risque de causer un déséquilibre et un disfonctionnement entre pays. B. L’approche Keynésienne de la monnaie : 1. Une volonté d’intégrer la monnaie : Une des différences essentielles entre l’approche libérale et l’approche de Keynes en ce qui concerne la notion de marché tient au fait que pour Keynes, il n’y a pas de mécanisme automatique

renaissance et de la réforme de Luther et Calvin, qui légitime la richesse (WEBER). Le I devient sacrifice); révolution commerciale (voies maritimes et débouchés nouveaux, commerce triangulaire, transocéanique, BRAUDEL: "expansion du monde"); révolution politique (BRAUDEL: "segmentation du monde" en puissances indépendants, affirmation de Etats Nations, dotés d'un pouvoir fort, avec des institutions reconnues de tous et une logique territoriale qui va aboutir au dessein de marchés territoriaux et nationaux)

- - - - - - - I. HISTORIQUE DES DIFFERENTS COURANTS DE PENSEE 1) Le mercantilisme Le mercantilisme regroupe un ensemble d’auteurs espagnols, italiens, français et anglais qui, au cours des XVIe et XVIIe siècles, élaborent des règles de politique économique ayant pour but essentiel d’affirmer la puissance nationale ayant marqué cette époque dans les domaines économique, institutionnel et culturel.  Dans le domaine économique : grandes expéditions maritimes engendrant un développement très

des négociations du GATT (rounds) se poursuit. B/ Le blitzkrieg des monétariste 1/ Les théories monétaristes a/ Monétarisme Les autorités monétaires peuvent contrôler l’évolution de la masse monétaire. C’est un retour aux théories classiques, aux luttes contre l’inflation et contre les déficits budgétaires. Donc, on ne doit pas émettre trop de monnaie. C’est le contre pied des théories de Keynes qui prônait les déficits budgétaires, la consommation et l’inflation. b/

Dissertation : la politique budgétaire conjoncturelle est elle efficace ? « Si l’Etat est fort, il nous écrase ; s’il est faible nous périssons » ; ce constat de Paul Valery illustre la crainte que suscite l’intervention de l’Etat, à travers les politiques économiques, dans les esprits. D’après Adam Smith (1723-1790) le père fondateur de la doctrine du « laisser faire, laisser passer » et de la main invisible, le meilleur mode d’organisation du marché est le marché concurrentiel car il permet

économiques, et la gestion pour sa mise en pratique. Le terme «d'économie» (economics en Anglais) au sens uniquement d'économie politique a été popularisé par les économistes néoclassiques tels qu'Alfred Marshall. L'économie devient alors un synonyme de façon concise de «science économique» et peut être considéré comme un substitut à l'expression « d'économie politique » 12. Cela correspond à l'influence notable des méthodes mathématiques utilisées dans le domaine des sciences naturelles 3. On parle

faire perdre à la monnaie de son pouvoir d’achat. Seuls des prix stables lui garantissent le maintien de celui-ci, ce qui est rarement le cas dans les économies modernes. 2) La dimension politique et sociale de la monnaie Doc. 5 p. 54. La monnaie est historiquement indissociable du pouvoir politique. Le pouvoir de « battre monnaie » a été, dans l’Histoire, une prérogative de la puissance publique pour qui l’unification monétaire a constitué un moyen d’asseoir son pouvoir (« ressources aux

joue donc un rôle majeur dans la course à la richesse : c’est à lui que revient le devoir de stimuler l’activité économique et l’emploi. Il doit aider et protéger les entreprises et être centralisé pour pouvoir imposer sa politique et contrôler les échanges commerciaux. La politique mise en place au XVIIe siècle par Colbert l’illustre parfaitement : il a cherché à doter l’Etat français d’une balance commerciale excédentaire en encourageant le commerce. Il faut se rappeler que les premiers mercantilistes