Politique Keynes Ou Monétariste

III. L’économie politique et la politique économique L’économiste est désintéressé, comme le philosophe, le chercheur en médecine,… Lorsque la pensée économique vise à aider le décideur (l’entrepreneur, l’homme politique) à prendre des décisions aussi rationnelles que possible de production, de fixation des salaires, de consommation, d’investissement, d’exportation…, on parle d’économie politique. C’est l’économie de la cité. L’économie politique est une science humaine

------------------------------------------------- Pensée politiques et économiques Conclusion sur les politiques structurelles : Les politiques structurelles sont très nombreuses. Elles correspondent aux interventions publiques, elles sont donc crées sur le long terme. Elles sont justifiées par les défaillances de marché c'est-à-dire : « les markets failures ». Les défaillances de marché correspondent aux situations de monopole, aux externalités. L’externalité peut être positive ou négative

bouleversera ces idées. 6. La théorie keynésienne John Maynard Keynes dénonce les théories néoclassiques. Pour Keynes, le plein-emploi supposé des classiques n’est tout simplement pas possible. Ainsi, en période de crise, l’état doit intervenir pour régulariser l’économie. Pour se faire, il doit relancer le pouvoir d’achat par la création d’emplois publics, baisser les taux d’intérêt (stimule l’investissement) et développer une politique fiscale qui ne freine pas la consommation. Pourtant, la théorie

Plan de l’exposé : Introduction ; I. Présentation des monétaristes ; 1. Présentation du modèle ; 2. Les principaux auteurs du courant monétariste. II. Apports des monétaristes ; 1. Modèles monétaristes de l’hyperinflation ; a. Le modèle de CAGAN; b. Le modèle de l’hyperinflation sous hypothèse d’anticipations rationnelles et l’offre de monnaie endogène ; c. Modèles à équilibres multiples et politiques hétérodoxes ; d. Le problème du taux de change. 2. Hypothèse

principe de population » = la population augmente + vite que la production. Les famines et les morts qu’elles provoquent sont donc des régulateurs. Il s’oppose donc aux politiques d’assistance aux populations défavorisées. Aider les pauvres c’est accroître la pauvreté ! • David RICARDO (1772-1823 : « Principes de l’économie politique et de l’impôt »  La valeur principale en économie est le travail; Il permet de mesurer toutes les grandeurs économiques.  Les rendements sont décroissants  Théorie

doctrine libérale qui démontre l’harmonie des intérêts, l’intérêt individuel n’est pas contraire à l’intérêt général. L’économie peu être individualiste, ce qui est d’ailleurs la nature même de l’homme. David Ricardo (Les principes de l’économie politique et de l’impôt), successeur d’A. Smith et poursuit son raisonnement. Théories : les avantages comparatifs, théorie de la valeur (sur la répartition des revenus), réformes fiscales… analyses très novatrices pour son temps. Thomas-Robert Malthus (Essais

valeur --> développement des échanges); interdépendance avec l'économie réelle: théorie de la demande de monnaie (taux d'intérêt bas --> investissement --> production --> transaction --> demande de monnaie --> taux d'intérêt haut) Monétaristes (Friedman): contrôle de la masse monétaire par l'état, la demande monétaire dépend du revenu permanant (revenu actuel + revenus futurs estompés) 1360: premier franc 1609: premier billet Formes: monnaie manuelle (divisionnaire: 0.003% et

pacification en cas de guerre ou de litige entre deux pays. Elle permet de sceller l’union entre deux familles par le biais d’une dote, elle est considérée comme un dédommagement. Elle est un instrument de lien politique, elle sert à homogénéiser des groupes sociaux, elle sert d’instrument de politique monétaire. Elle suppose la confiance entre les hommes. Nous avons confiance dans la monnaie car c’est l’Etat qui garanti les valeurs de la monnaie, par ses institutions. Nous croyons donc dans l’ordre social

gouvernement signent un nouveau traité instituant l'union européenne. Il renforce le plan Delors en y ajoutant un calendrier précis et un engagement irréversible pour réaliser l'union économique et monétaire, caractérisée par la convergence des politiques économiques et par l'instauration de la monnaie unique. Une fois réalisée l'unification économique avec le grand marché unique en janvier 93, il est prévu deux phases avant d'aboutir à la monnaie unique.   II – LES TROIS PHASES             A / 1993 :

l’organisation économique idéale de la société, l’enjeu politique est donc prépondérant. Le formalisme en économie est cependant indispensable afin de fournir les fondements d’une discussion politique sérieuse. L’opérationnalité théorique est préférable à “l’essentialisme” (s'intéresser à la dimension historique et aux institutions = MENGER, HAYEK...) ou le réalisme afin d’arriver à de bons résultats, puisque la théorie n’est qu’un support à la décision politique et ne nécessite donc pas de représenter parfaitement