Politique Keynes Ou Monétariste

Moyen Age, les scolastiques et Saint Thomas d’Aquin la perçoivent comme « un bien commun », et cette idée est par exemple reprise par les physiocrates au XVIIIème siècle. Jusqu’à Turgot, la monnaie est en fait placée au cœur de la Théorie économique. Keynes redonne à la monnaie sa position centrale et rompt avec la conception classique de l’existence supposée d’une dichotomie entre sphère monétaire et sphère réelle. Ainsi se demander ce qu’est la monnaie c’est aussi s’interroger sur la place qu’on doit

L’offre de la monnaie : c’est la qualité de monnaie mise à moment donné à la disposition de l’économie par les banques commerciales et la banque centrale. - L’offre réelle de la monnaie : M/P (n’es pas constante, varie selon les orientations de la politique monétaire par la BC) -> Ex de la BAM L’offre de la monnaie est assurée : - partie scripturale par les banques commerciales -monnaie centrale par la banque centrale -la demande de monnaie exprimée par les agents économiques -section 2 :

définie, comment l’inflation peut-elle s’expliquer ? L’analyse classique, inspirée par la théorie quantitative de la monnaie, explique l’inflation par une augmentation des moyens de paiement plus forte que la croissance de la production. John Maynard Keynes, quant à lui, envisage l’inflation comme le résultat d’une inadéquation entre l’offre et la demande. Une troisième approche considère que l’inflation ne se déclenchera que s’il se produit une hausse des coûts de production entraînant la spirale prix-salaires

Partie 2 : L’intervention de l’Etat Les instruments de l’intervention étatique CH 1 La politique monétaire I. La monnaie A. Les formes de la monnaie 1. Définition : La monnaie est constituée de l’ensemble des moyens de paiement dont disposent les agents économiques pour régler leurs transactions. C’est un bien d’échange généralement accepté par une communauté de paiement. 2. La monnaie est créée pour faire face aux inconvénients du troc: - Problème de stockage des biens et leur détérioration

stabilité des prix. * Prêteur en dernier ressort (ce qui a été le cas lors de la récente crise) : elle donne le crédit nécessaire aux banques pour éviter les paniques bancaires (les banqueroutes). * Correspondant des banques étrangères. * Politique monétaire dans la zone Euro est du ressort de la BCE * liquidité : décrit l’aptitude d’un actif à être converti en moyen de paiement. La monnaie constitue donc le meilleur exemple d’actif liquide. Pourquoi crée-t-on de la monnaie ? * Pour

marches et les ressources disponibles. Le marginalisme distingue l'utilite et valeur pour souligner les valeurs ente les valeurs d'usage et les valeur d'echanges. L'optimum est le stade d'eficacite maximale possible grace au systeme de prix John M Keynes publie “ Theorie generale de l'emploi, de l'interet et de la monaie” en 1936 durant la crise economique marque le debut de la revolution Keynesienne. Plusieurs apports decisifs: La monaie n'est pas neutre le futur reste oujours incertain les agregats

Macroéconomie fermée Licence Economie, niveau L2 Année Universitaire 2010-2011 Chapitre 1 « Le modèle keynésien IS-LM» Zoulfikar MEHOUMOUD ISSOP Introduction • Keynes, fondateur de la macro moderne avec « la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la Monnaie », en 1936. • Sur fond de la crise de 29, Keynes remet en cause le dogme de l’autorégulation du système économique et affirme que le monde peut connaître des crises. • Dans ce chapitre, on expose le modèle IS-LM proposé par

IS-LM Dès la publication du livre de Keynes, Théorie générale de la monnaie et de l’intérêt (1936), plusieurs économistes comme Roy Harrod [1], James Meade [2] et Oskar Lange [3] se sont efforcés de mettre les relations décrites pas Keynes sous forme mathématique en particulier pour traiter les problèmes posés par l’interdépendance entre la théorie de la demande effective et celle de la préférence pour la liquidité. Au même moment John Richard Hicks, publia "Mr Keynes and the Classics : A suggested interpretation" dans

maison) dans l’antiquité, on retrouve déjà des réflexions économiques. Le premier étant Aristote : il parle de sciences de L’Homme (l’éthique, la politique et l‘économique). Au XVIème s. on observe un courant : il y a une pensée économique qui s’émancipe des autres disciplines. Cette discipline noue des relations particulières avec le pouvoir (= économie politique) ; les Mercantilistes sont les premiers à réfléchir comment enrichir le Prince. Le libéralisme et le marxisme sont des courants qui vont complètement

théories. In: Économie rurale. N°113, 1976. pp. 3-14. doi : 10.3406/ecoru.1976.2416 http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ecoru_0013-0559_1976_num_113_1_2416 Résumé L'inflation ne cesse de préoccuper les économistes et les hommes politiques, plus particulièrement ces dernières années. Diverses théories ont tenté de l 'expliquer, elles ont été inspirées par les grands courants de pensée qui traversent la science économique depuis plus d'un siècle. On a souvent conçu l'inflation comme