Politique linguistique de la France

du point de vue de la réflexion. Il a été prouvé ainsi que les personnes bilingues progressent plus rapidement que les monolingues au début du développement cognitif et qu’ils sont, à bien des égards, plus créatifs dans leurs compétences linguistiques. Les bilingues ont le gros avantage de pouvoir communiquer avec un plus grand éventail de personnes. Ils peuvent vivre en profondeur deux cultures, voire plus ; ils communiquent donc mieux avec les autres cultures et sont capables de construire

56 OG : A la fin de la leçon, les élèves doivent comprendre les phénomènes et les problèmes démographiques et sociaux de l’Europe OS1 : Identifier les principaux enjeux démographiques de l’Europe en utilisant des documents – textes et une carte politique de ce continent OS2 : Déceler les inégalités de développement entre les régions de l’Europe en utilisant des documents - textes Documentation : Encarta 2010 – IPAM, Géographie 4e – Wiki.org (sources ONU et Eurostat 2010) Pré-requis : Les élèves doivent

positionnement et optimisation L'acte comme production Dans quel but décrivons nous le texte ? Qu'est ce que c'est la sémiotique ? Pour Saussure → sémiologie → la linguistique n'est pas normative, mais descriptive parce que la langue évolue et donc faut dire à chaque moment où on est dans l'histoire de la linguistique Pour Hjelmslev → sémiotique La première question qu’il faut se poser, question naïve par excellence, concerne la nature de la discipline que ce cours est censé vous faire

dont elle donne une définition, permet alors d’analyser les enjeux du temps : enjeux sémantiques et politiques. Comme exemple, et pour sa démonstration, Michèle Riot-Sarcey analyse un texte de Thiers de 1831, qui présente un usage du temps, alors mis au service d’une interprétation de 1830 d’où sont gommées les aspérités de l’événement, impossible à loger dans une vision linéaire du temps politique. 1Tout semble avoir été dit sur le rapport familier de l’historien au temps. Cependant, l’idée, simple

bretagne, la corse, la lombardie, la Flandre, l'Ecosse ou encore la catalogne sont des régions ou il existe des revendications culturelles, linguistiques, économiques ou politiques. Le point commun à tous ces mouvements est l'opposition à l’État central, accuséde discrimination à l'encontre des cultures régionales, d'exploitation économique ou meme de repression politique. Il serait intéressant de se demander dans quelles mesures l’indépendantisme écossais signe d’individualisme régional pourrait influencer

sous-comité Gisèle DELAGE, Secrétariat à la politique linguistique, gouvernement du Québec Bénédicte MADINIER, Délégation générale à la langue française et aux langues de France Collaboration à la rédaction Armand BÉLANGER, Office québécois de la langue française Roger CASTONGUAY, Revenu Québec Louise GUÉNETTE, Office québécois de la langue française Johanne HÉBERT, Secrétariat du Conseil du Trésor Normand MAILLET, Secrétariat à la politique linguistique Danièle NOËL, Société de l’assurance automobile

La France a émis des réserves au regard de l'article 30 qui porte sur le droit des enfants des minorités linguistiques et culturelles (Dans les États où il existe des minorités [...] linguistiques [...], un enfant [...] appartenant à une de ces minorités ne peut être privé du droit d'avoir sa propre vie culturelle, [...] d'employer sa propre langue en commun avec les autres membres de son groupe.). Elle considère notamment qu'il n'existe pas de minorités (ni culturelles, ni linguistiques) sur son

soit pour des motifs humanitaires, économiques, politiques, climatiques ou autres raisons. Il s’agit d’un phénomène tout à fait normal bien entendu car tout le monde cherche à améliorer ces conditions de vies de façon optimum. Cependant en général le processus de d’intégration comporte plusieurs obstacles car chaque pays possèdent ces propres normes/politiques d’immigrations comme au Canada par exemple, ces critères sont : les aptitudes linguistique et Anglais et/ou en Français (Grâce au Québec)

Véronique LAROSE Parcours biographique Raphaël CONFIANT naît en 1951 en Martinique. Diplômé de l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence[1], (section "Relations Internationales") et d'anglais à la Faculté des Lettres de cette même ville, il y a fait ses études supérieures entre 1969 et 1974. En 1986, il obtient un DEA (Diplôme d’Études Approfondies) en linguistique à l'Université de Rouen avant de présenter un Doctorat en Langues et Cultures Régionales à l'Université des Antilles et de

littéraire et des hommes politiques, été reconnu en tant que langue possédant une grammaire, une orthographe, une syntaxe propre à elle même. Bien que cette réalité ne soit pas reconnue par tous, elle impulse une nouvelle dynamique linguistique au monde créole. On peut noter le nombre croissant de jeunes sachant orthographier cette langue qui voit son blason redoré. Ajoutons que depuis des générations, un grand nombre d’antillais quitte les DOM-ROM pour la France hexagonale.