Pollution intérieure

profonde accessible au puits habituel – surexploitées, pollution de l’eau), du moins à l’échelle du temps humain. B. Un stock mal réparti dans le temps et dans l’espace Mais 97% de l’eau sur Terre sont constitués par les mers et les océans soit 1 350 millions de km3 (1 km3 = mille millions de litres). Le volume des eaux douces ne représente que 3% dont seulement 1% sont directement utilisables (rivières, lacs, mers intérieures…) représente seulement environ 0,4 millions de km3. La

d’externalités négatives (comme dans le cas de la pollution ou du gaspillage des ressources naturelles), le coût supporté par les autres n’est pas pris en compte dans ces calculs. Lorsque l’on se déplace en voiture, on sait que cela va coûter le prix de l’essence, de l’assurance, du parking… Si ce coût est trop cher comparé au prix d’un billet de train, on choisira de partir en train. Mais dans cette décision, souvent par égoïsme, on ne fait pas grand cas de la pollution due à son déplacement, que les autres

peut se révéler être une chance pour les pays méditerranéens, particulièrement ceux du Sud. TRES BONNE CARTE DE SYNTHESE P 317 I/ Un espace de contrastes A/ Une unité qu’apparente 1° Facteur d’unité la Mer Méditerranée, 1.5 millions de km2, mer intérieure la plus vaste du monde. 4000 km Est-Ouest, lieu de transit vers l’Océan Indien ( Canal Suez) et Atlantique ( Gibraltar). Grandes portes et détroits P 317 2° Climat rude. Sècheresse estivale, végétation manquant de luxuriance adaptée au manque

9001-2008 Cadre Général et conjoncture Le développement durable et l’Éco-business au cœur des débats L’environnement est aujourd’hui devenu une des préoccupations principales de la société japonaise. Sensibilisés par une série de scandales et de pollutions industrielles à grande échelle au cours des années 70 et 80, les citoyens japonais se comportent aujourd’hui de plus en plus en consommateurs attentifs. La thématique du développement durable est aujourd’hui au cœur de ce marché émergent qu’est

ntrôle,
 entraîne
des
conséquences
dommageables
partout
:
la
désertification,
le
manque
d’eau,
la
pollution
 des
cours
d’eau
et
des
atmosphères
dans
90%
des
villes,
l’augmentation
des
émissions
de
gaz
nocifs.

 La
 croissance
 chinoise
 est
 donc
 un
 processus
 à
 haut
 risque
:
 16
 des
 20
 villes
 les
 plus
 polluées
 au
 monde
 sont
 chinoises.
 La
 Banque
 Mondiale
 estime
 que
 la
 pollution
 atmosphérique
 est
 la
 cause
 de
 plus
de
300
000
décès
par
an,
et
la
Chine
est
un
des
pays
dont
la
population
est
la
plus
touchée
par
le


nombre croissant d’automobiles continuent d’aggraver le problème de la pollution. La dégradation de l’environnement et ses conséquences humaines imposent un coût croissant à l’économie chinoise, évalué autour de 8% du PIB. C’est ainsi que des sanctions ont été mises en place telle que le principe du pollueur payeur adopté en 1989 mais demeurent trop faibles pour être efficaces, et les moyens alloués à la lutte contre la pollution sont encore dérisoires. D’autre part, nous pouvons constater en Chine

tels que les hydrocarbures vont manquer et devenir de plus en plus chères.  Nos systèmes de production émettent de plus en plus de déchets dans l'atmosphère, Ainsi le modèle de développement libéral touche aujourd'hui ses limites par la pollution, la limitation des ressources disponibles... Il n'est plus viable d'avoir 20 % de la population qui consomme 86 % des ressources et une politique au coup par coup, sans vision stratégique globale. Aussi nous concevons aisément qu'il ne peut y

plus en plus utilisées pour décourager les activités dites nuisibles (ex : qui touche à la pollution de l’environnement ou à la santé des individus) ou encourager les activités socialement appréciées (ex : celles étant dans une optique de développement durable). Dans l’industrie pétrolière en France, la TIPP (Taxe Intérieure sur les Produits Pétroliers) vient par exemple internaliser le coût de la pollution et corriger la perception qu'ont les individus du prix ou du coût de leurs déplacements. La

l’intermédiaire des prélèvements obligatoires. II/ Les externalités Ce sont les effets positifs ou négatifs des interdépendances entre les acteurs économiques c'est-à-dire des services rendus non rémunérés et des dommages causés non compensés (ex : la pollution). L’Etat tente de contrôler les activités génératrices d’externalité en les internalisant par la réglementation ou par des incitations ou par la création d’un marché particulier (ex : le marché des droits à polluer). Section 7 : La nature des échanges

des organismes avec le monde environnant ». Aujourd’hui on pourrait dire qu’il s’agit d’un concept lié aux préoccupations environnementales elles mêmes liées aux évolutions climatiques, à la dégradation du cadre de vie qu’elles soient dues à la pollution, au réchauffement climatique ou aux activités de l’Homme. Le terme est donc en constante évolution, puisqu’il se doit de suivre la conjoncture écologique mondiale qui évolue constamment. La vision de la notion d’écologie évolue en fonction des nouveaux