Polonais

dans le document 4, nous pouvons voir les frontières polonaises entre 1939 et 1947 et le déplacement de population dans cette partie orientale de l’Europe. Nous pouvons alors remarquer que la Pologne n’est pas annexée à l’URSS et que 1,5 millions de polonais du territoire annexé par l’URSS se déplacent vers la nouvelle Pologne après la libération en 1947. Cependant, les anglo-américains sont aussi pour une Pologne démocratique et pour un nouveau gouvernement. Or, Staline n’obtient certainement pas le

Occidentaux et restera une frontière de fait, sans traité, pendant longtemps), 2/ La question du futur gouvernement. Staline voudrait imposer le “comité de Lublin” composé de prosoviétiques, alors que les occidentaux préfèreraient le gouvernement polonais en exil à Londres.  B/ QUAND ET COMMENT ECLATE LA GUERRE FROIDE ? 1/Les signes avant-coureursa/ Poussée soviétiqueEn dépit des accords signés, Staline avance ses pions en Europe de l’Est. Le but : favoriser partout le contrôle des pays voisins par

personnel : il souhaite en réalité que la France, en échange de la signature du pacte, reconnaisse le Comité de Lublin, Comité polonais dominé par les communistes, initié par Staline et contrôlé par l'Armée Rouge. Comme le souligne de Gaulle, le cas de la Pologne était donc "le véritable enjeu du débat" pour Staline. De Gaulle, lui n'est pas d'accord et reconnait le gouvernement polonais réfugié à Londres dont Staline parle avec " brutalité" et "mépris". Dès lors les négociations entre ces deux hommes politiques

attentif aux propositions de De Gaulle, a, en réalité, déjà entamé des ententes avec les Anglo-saxons. Le Comité de libération polonais téléguidé par les Russes prononce des discours stéréotypés face aux Français. Mais, de Gaulle ne veut traiter qu'avec le gouvernement polonais lui-même, alors basé à Londres. De Gaulle ne voulant pas reconnaître le Comité de libération polonais, dit gouvernement de Lublin, le pacte franco-russe est momentanément menacé. A son retour à Paris, de Gaulle reçoit l'approbation

Surtout, sa « ruse » est sans cesse présente, et pour autant imprévisible, notamment lors des discussions sur le gouvernement et les frontières futures de la Pologne . A la fois plein de « brutalité » soutenue « de haine et de mépris » quant aux polonais réfugiés à Londres de même que dans le chantage exercé sur le Général de Gaulle – signature du traité en échange de la reconnaissance du Comité de Lublin - Staline sait aussi se montrer affable, affichant alors « une culture rudimentaire » et un

sa « ruse » est sans cesse présente, et pour autant imprévisible, notamment lors des discussions sur le gouvernement et les frontières futures de la Pologne (p. 83-85). A la fois plein de « brutalité » soutenue « de haine et de mépris » quant aux polonais réfugiés à Londres (p. 84) de même que dans le chantage exercé sur le Général de Gaulle – signature du traité en échange de la reconnaissance du Comité de Lublin (p. 88-89)- Staline sait aussi se montrer affable, affichant alors « une culture rudimentaire

 franco-­‐‑russes  sont  marquées  du   sceau  d'ʹun  enjeu  clé:  l'ʹavenir  de  la  Pologne.  Alors  que  Staline  quémande  la   reconnaissance  du  Comité  de  Lublin,  sous  domination  communiste,  de  Gaulle   reconnait  le  gouvernement  polonais  réfugié  à  Londres  (p.  83).  C'ʹest   l'ʹindépendance  de  la  Pologne,  de  fait,  qui  est  discutée  :  c'ʹest  «  le  véritable   enjeu  du  débat  »  (p.  83).  Seulement,  derrière  les  masques,  les  acteurs  ne  font   pas  un  seul

Gomulka s'est peu à peu aliéné les intellectuels et l'Eglise catholique, les difficultés économiques entrainent des émeutes ouvrières à Gdansk en 1970 qui font des centaines de victimes. Gomulka est remplacé à la tête du POUP – parti ouvrier unifié polonais, c'est-à-dire le PC – par Gierek, qui importe massivement des produits occidentaux pour enrayer la pénurie alimentaire. Cela endette la Pologne. En 1976, le retour à l'austérité provoque la reprise de la contestation et la création de syndicats libres

Sujet : comparer les démarches et les résultats de W.I. Thomas et F. Znaniecki dans « Le paysan polonais en Europe et en Amérique » et de W. F. Whyte dans « Street corner society » Que ce soit pour William Issac Thomas et Florian Znaniecki ou pour William Foot Whyte, il s’agit de leur première grande enquête de terrain. Tous les trois s’intéressent à l’occupation de l’espace et aux règles propres à une communauté ou à une bande. Ainsi, leurs objectifs de départ est similaires, l’étude d’un quartier

sa « ruse » est sans cesse présente, et pour autant imprévisible, notamment lors des discussions sur le gouvernement et les frontières futures de la Pologne (p. 83-85). A la fois plein de « brutalité » soutenue « de haine et de mépris » quant aux polonais réfugiés à Londres (p. 84) de même que dans le chantage exercé sur le Général de Gaulle – signature du traité en échange de la reconnaissance du Comité de Lublin (p. 88-89)- Staline sait aussi se montrer affable, affichant alors « une culture rudimentaire