Polychromie

maisons qui chevauchent le pont, mais en 1766, on se trouve obligé de les détruire à cause des crues qui y causaient des ravages. Façade du 13eme siècle en pierre calcaire aux ouvertures, c'est à dire les endroits les plus fragiles. On trouve une polychromie à ce niveau. A cette époque la pierre est chère, c'est donc la maison d'un riche habitant. On peut trouver des traces de doigts de femmes ou d'enfants, laissé lorsqu'ils ont dû apporter les briques au four. On met les pierres les plus résistantes

vers 1500, la dynastie des Higihalkidès (1400-1200) et de la dynsatie des Shutrukidès. Suse: Sous le seuil des maisons se trouvent des tombeaux voutés en brique et près des morts on trouve des têtes en terre cuite grandeur nature avec traces de polychromie: volonté de restituer pour l'éternité les traits du défunt. Dynastie des Higilhakidès: Tchoga zanbil: 1ère enceinte occupée par 4 palais, 2ème enceinte avec tous les temples des divinités majeurs, et 3ème enceinte qui culmine à plus de 50m

termes pentaptyque et heptaptyque sont peu usités bien que précis - respectivement 5 et 7 panneaux). Retable : Le décor de l’autel, appelé retable, consiste en une armature architecturale verticale en bois, pierre, marbre, dorée et couverte de polychromie, accueillant une image monumentale ou des séries d’images exposant les dévotions principales à l’honneur dans cette église, en particulier son saint patron. Crenelage : Un créneau est, au Moyen Âge une ouverture pratiquée au sommet d'un rempart

plan de rénovation. B. Jacques-Ignace Hittorff (1792-1867) : [pic] Architecte et archéologue rhénan naturalisé français, il fut l’élève de Percier et étudia l’architecture antique dont il démontra contre ses contemporains l’antique polychromie. On lui doit d’importantes réalisations à Paris (la Gare du Nord, le théâtre de la Gaîté Lyrique, les fontaines de la Place de la Concorde, la mairie du 1er arrondissement, l’église Saint-Vincent-de-Paul ou le Cirque d’Hiver). C. Victor Baltard

cm. Une “chaise longue” en ciment au bord de la baignoire est basée sur de précédentes créations de meubles sur lesquelles Le Corbusier avait travaillé. Couleur Puriste architectural, Le Corbusier n’en était pas moins un supporter affirmé de la polychromie, de l’art de combiner les couleurs. «  L’homme a besoin de couleurs. La couleur est l’expression immédiate et spontanée de la vie. » L’extérieur de la Villa Savoye est principalement blanc, mais les murs latéraux du garage et des chambres de service

guillotinée, le 16 octobre 1793 à Paris. La Chapelle Royale. Rez-de-chaussée Louis XIV ne pu profiter de cette Chapelle que pendant 5 ans puisqu’elle ne fut achevée qu’en 1710. On peut y noter une harmonie de blanc et or qui contraste avec la polychromie du marbre et des peintures de la voute. Chaque jour la cour y assistait à la messe du Roi. L’Opéra Royal. Rez-de-chaussée Il fut construit en 1710, à la hâte, pour célébrer le mariage du futur Louis XVI avec l’Archiduchesse

les plus caractéristiques. La première couleur sous couverte est le "Bleu musulman" (oxyde de cobalt), importé d'Asie Occidentale, qui valait trois fois son poids d'or et qu'on réservait aux commandes impériales. Au XVIe siècle, le goût de la polychromie se développe dans la série désignée, sous le nom de "Trois Couleurs ". Les couleurs dominantes sont le jaune, le vert et le violet aubergine . Puis la technique se complique dans les pièces dites "Cinq Couleurs " très décorées à l'aide d'émaux

statue avec du métal et des pierres précieux, étape primordiale à la réalisation de l'image. Les artistes étaient organisés en deux guildes principales.Il y avait d'une part la corporation des peintres qui comprenait des artistes compétents en polychromie de sculpture et la corporation des charpentiers dont les sculpteurs faisaient partie. Ces corporations travaillaient conjointement, par exemple, le sculpteur taillait les expressions faciales et la musculature qui étaient par la suite accentués

l'essentiel de l'édifice de Thoutmôsis IV et l'ont patiemment reconstitué, tel un gigantesque puzzle. Comme les reliefs qui l'ornaient étaient protégés dans le massif du pylône d'Amenhotep III, ils sont en relativement bon état et ont conservé leur polychromie. Ils sont un très bel exemple de l'art de la XVIIIe dynastie. L'une des deux chapelles est également restaurée et présente des reliefs d'une grande finesse, presque translucides à la lumière du soleil. L'ensemble est visible désormais dans le musée

achevée en 1663. L’architecte Gilles Monsay associe formes médiévales et style baroque. A l’intérieur de l’édifice, se trouvent des éléments mobiliers de valeur : Gisant du Christ du 16ème siècle unique en Bretagne de part son ancienneté et sa polychromie, retable monumental du 17ème siècle, orgues du 18ème siècle, quatre statues des évangélistes (1838) sous le porche ouest. • Rue du Jeu de Paume Achevée en 1788, la prison rue du jeu de paume est alors l’une des plus modernes du département