Polyphonie

appartient au genre de la méditation en prose (cher aux Réformés). - initial et elliptique - paraphrase explicative qui donne valeur allégorique - polyphonie - la nudité de la parole est mise au contact de l’événement - palimpseste biblique // recherche d’une objectivité de la parole - la voix lyrique = organe de la voie céleste - relation harmonie / polyphonie - dramatisation du dévoilement du sens - glissement énonciatif Indices sur le fond - rapport à l’histoire récente et sa transposition en

toutes les productions écrites, non sans débats sur la qualité de certaines œuvres littéraires considérées comme de la basse littérature, par exemple la Science-Fiction. Certains romans comme La Plaisanterie de Milan Kundera mettent en place une polyphonie énonciative ce qui pose la question de l’autorité narrative. On ne retrouve donc pas de souveraineté d’une vérité mais plutôt une multiplicité des points de vue qui implique de constater qu’une vérité n’est pas unique mais dépend du narrateur. En

LIAISON DANGEUREUSE : Lettre II Intro : Lettre en contraste avec la première, qui naïve. Ici c’est une sorcière qui écrit à un manigant. Polyphonie : on est plongé directement dans l’histoire du livre. I- Les principaux traits de caractère de Merteuil dévoilé par elle-même M est rancunière, sournoise, orgueilleuse, scénique, machiavélique, sûr d’elle, autoritaire, persuasive, manipulatrice, égoïste, maligne, fière, immoral, franche et sincère envers V mais hypocrite avec les autres, elle

· Début récit mythologique puis scène de théâtre, justice et enfin morale 2. Variété, diversité · Versification (rimes embrassées qui lient les vers et longueurs irrégulières), accélération · Alternance récit / discours · Polyphonie · Différentes tonalités (ironie, tragédie) 3. Des animaux qui évoquent des Hommes / La mise en scène et les acteurs · Les personnages ont des caractères personnels identifiables (vocabulaire adapté : renard contraste élogieux

faits au niveau de l’ensemble de ce libellé. Ces lignes exposent effectivement la scène du point de vue d’un unique personnage, Renée, certes présent dans l’histoire, mais qui, de par son « uniphonie » ne respecte donc vraisemblablement pas la polyphonie prônée par la neutralité de Zola et de son naturalisme. Tout d’abord, étudions la manière dont apparaît, entre autre, le bassin au cours de cet extrait. On peut effectivement constater ici la présence de deux métaphores le concernant : les « ébauches

incurable. Il meurt, à 36 ans, dans la pauvreté. Ses contemporains n'ont pas compris la perte qu'ils allaient faire. Nous ne savons même pas où demeure sa dépouille. Mozart a ouvert aux compositeurs modernes des vues sur l'Opéra. Il a aussi poussé la polyphonie dans des voies admirables où nul ne l'a dépassé.

qui annonce implicitement l’issue de cette histoire (toutes les histoires d’amour finissent mal en général…) 5/ On procède enfin à la lecture du passage n°3 en s’appuyant toujours sur les premières remarques des élèves pour montrer comment la polyphonie énonciative permet-elle l’expression de la déclaration amoureuse de Rodolphe. La parole est aux hommes, Emma reste sans voix et le rythme des propos s’intensifie chez les deux locuteurs. La scène se conclut par la capture de la main d’Emma, symbole

d’images. En effet, le ressentit que l’image a précédé le texte est troublant. Celle-ci parle alors d’elle même le texte n’en est qu’un complément. De plus, la musique, la lumière, la vidéo, les décors, tout constitue un langage à part entière. La polyphonie est une notion essentielle dans le théâtre de Wajdi Mouawad. Malgré la force et la beauté du texte, celui-ci n’est pas seule matière à communiquer, nous sommes en présence d’un langage du corps, de la chair, un langage poétique révélé par l’harmonie

le rencontre qu'à l'écrit, surtout dans la narration (avec laquelle il se confond souvent) : de ce fait, il est souvent difficile de savoir si les propos rapportés appartiennent au narrateur ou à l'un des personnages... ce qui crée des effets de polyphonie ! On peut l'identifier par : Le ton et le rythme différents qu'il introduit dans celui de la narration. Un niveau de langage parfois distinct de celui de la narration. Une ponctuation expressive. Un changement de point de vue. Ses effets : jeu de

Baker qui est :      point de départ de la discussion      illustration du débat   écho entre les récits encadrés Conte de Polly Baker encadré dans celui d'Orou et de l'aumônier : illustration des thèses d'Orou      introduction d'une polyphonie        Confrontation de cultures et de sociétés -         occidentale : A ; B et Polly Baker -         tahitienne : le vieillard, Orou et AotourouTrès souvent, société tahitienne valorisée, fait figure d'utopie.        Multiplication des