Polypnée

à 21/12 et la fréquence cardiaque 135. A l’arrivée aux urgences, la tension est à 152/99, la fréquence cardiaque à 135 puls/min, la température à 37°C, la saturation à 97% sous 6l/min d’O2. elle effectue un examen cardio-pulmonaire qui montre une polypnée avec frein expiratoire, il existe des marbrures des lombes, des fesses mais pas des membres inférieurs ; la patiente est en sueurs. L’examen neurologique retrouve une patiente en état de coma réactif sur probable hypercapnie (taux excessif de dioxyde

pulsations par minute (120 à 145), la fréquence cardiaque de 2 mouvements par minute (25 à 27). A contrario, la tension chute : 15/60 à 80/50 cmHg de même que la saturation (Sao2) : 95% à 88% et elle est somnolente. La tachycardie, la polypnée et l’hypotension artérielle avec pincement de la différentielle évoque une insuffisance cardiorespiratoire aigue .Ses signes cliniques associés : somnolences, cyanoses, marbrures au niveau des membres inférieurs, sueurs profuses évoquent un état

pour les efforts intenses de la vie quotidienne. Stade III : dyspnée pour les efforts modérés, avec importante limitation de l'activité physique. Stade IV : dyspnée au moindre effort de repos. 2 - Dyspnée de repos Il s'agit le plus souvent d'une polypnée superficielle, survenant au moindre effort, mais également en décubitus. Elle contraint le malade à dormir semi-assis dans son lit ou même dans un fauteuil. Au stade ultime, elle peut même être permanente en position debout. 3 - la crise d'oedème

cardiaque PATHOLOGIE = observation et manifestation ou difficulté du besoin de respirer : * Difficulté à respirer * Difficulté à libérer les voies aériennes 1. SURVEILLANCE DE LA VARIATION RESPIRATOIRE : * au niveau de la FR POLYPNEE : Accélération de la FR BRADYPNEE : Ralentissement de FR APNEE : Pause respiratoire * au niveau de l'amplitude de la FR - Respiration courte/superficielle - Respiration profonde/exagérée * au niveau du rythme respiratoire

la dyspnée, qui sera principalement caractérisée par : - le rythme (vitesse, régularité) et l’amplitude de la ventilation, - les facteurs aggravants (position allongée…). Ainsi, la dyspnée peut être : - associée à une augmentation (tachypnée, polypnée, qui représente un signe de gravité si > 30/min ou respiration superficielle) ou une réduction (bradypnée < 15/min ; un rythme irrégulier ou a fortiori des pauses représentent des signes de gravité) du rythme ventilatoire. - permanente (présente

L’aide inspiratoire (AI) Disponible dans plusieurs modes ventilatoires, comme la VACI, la VS-PEP, ou encore la BIPAP, l'aide inspiratoire est une modalité en pression, délivrée suite à un appel inspiratoire du malade : A) Description. Après détection d'un appel inspiratoire (trigger), le ventilateur génère et maintient une pression d'aide dans les voies aériennes du patient. Plus cette pression est grande, plus le volume courant résultant est important. A la fin de chaque inspiration spontanée

initial. La septicémie se decomposoe en deux éléments : - la bacteriemie : passage transitoire de bactéries dans le sang sans signes cliniques - le syndrome infectieux sévère : hyperthermie ( 38,5°) ou hypothermie ( 36°), tachycardie, polypnée, hypocapnie, hyperleucocytose Étiologies : On peut citer trois origines en lien avec le foyer infectieux : - thrombo-embolie septique par Voie veineuse avec formation d’emboles septiques. La porte d’entrée est cutanée ou muqueuse, constituant

Domaine 3 Décompensation de BPCO : Patient porteur d’une BPCO Données : ce matin Polypnée (essoufflé) FR à 30, pouls à 100, saturation en 02 à 89%, sueurs -Traitement : ATROVENT et VENTOLINE en aérosol 3 fois par jour, oxygénothérapie 2l/minute par lunettes en continue lié à une infection  pulmonaire: ATCD : épisodes de pneumonies -Données : chez lui : température 37°9, sueurs profuses, polypnée, toux, bruits respiratoires, crachats bronchiques abondants et jaunâtres, -Traitement :

nerveux: démarche vacillante, des tremblements évoluant en convulsions, prostration puis mort . La dose toxique est de 1 à 25 mg/kg chez les bovins 2. Intoxication par des gaz : sulfure d’hydrogène * Signes respiratoires: toux, de la polypnée, de la dyspnée * une cyanose des muqueuses, un larmoiement, une inconscience, une hyperexcitabilité, des convulsions et, parfois, de la diarrhée. * œdème aigu du poumon, halètement et mort par paralysie respiratoire et cardiaque

respiration thoracique, abdominale, combinée). - Rythme (fréquence accélérée → tachypnée, polypnée/ fréquence diminuée → bradypnée). - Amplitude (courte, superficielle, profonde, exagérée) - Coloration des téguments (peau, muqueuses …) → cyanose (bleuté, pâleur) - Présence de signes fonctionnels (toux, expectorations, crachat) - Positions (geste IDE : position ½ assise) - Dyspnée = tachypnée, bradypnée, polypnée… • Etapes de la réalisation de la mesure : - Lavage des mains. - Eviter d’informer