Polyptyque

Gérard de Saint-Jean, dans les dernières années du siècle, continua son enseignement. Pourtant Thierry Bouts, né à Haarlem, ne quittait pas Louvain, où il s’était établi avant le milieu du siècle et mourut en 1475. Il y peignit, de 1464 à 1468, son polyptyque de la Cène ; vers la fin de sa carrière, dans les panneaux de la légende de l’empereur Otton, il tenta de grouper en de vastes ensembles, à la manière des fresquistes italiens, des personnages de grandeur naturelle, dont les figures allongées, sévères

stieh ting van den H. Ursmarus te Aftlighem, dans Aftligemensia, nO 2, 1945, pp. 17-21, dont on ne saurait admettre toutes les vues, mais qui fut le premier à mettre en rapport Hugues de Loubes et Gislebert d'Afflighem. 48 Une nouvelle édition du « Polyptyque de l'abbaye de Lobbes Il doit paraître prochainement dans le Bull. Comm. Royale d'Histoire, par les soins de 1\1, J.-P. Devroey : on y trouvera la description des biens que possédait Lobbes dans la région d'Alost pendant le haut moyen lige. ------

carrière à Venise. Né dans une famille de peintre, il réalise des tableaux d'autels, des images de dévotion privée et des portraits. A la fin de sa vie il pendra aussi quelques œuvres profanes. La pala de Sainte Catherine rompt avec la tradition du polyptyque. Avec la pala de san Cassiano il choisit d'harmoniser le cadre et la peinture. Le Christ à la colonne d'Antonello de Messine est une dévotion privée. Il reproduit plusieurs temps de la passion. Il cadre son œuvre comme un portrait ce qui offre une

Repoussage ou bosselage: travail en relief d’une plaque de métal précieux en la ciselant. Retable: tableau de grande dimension, peint ou plus rarement sculpté, destiné à être placé sur l’autel. S’est ensuite présenté en plusieurs parties (triptyque ou polyptyque). Rococo: vient de rocaille, mot qui désignait un type de décoration à base de coquillages caractérisant les grottes rocheuses artificielles aménagées dans les jardins de la Renaissance. Le mot sert ensuite à désigner un style, le style rococo, dont

cartulaire laïc connu. Trencavel = vicomtes d’Albi, Carcassonne, Razès, Béziers, Agde et Nîmes. 585 actes. Composé sous le vicomte ROGER II vers 1186-1188. 20% des actes = XIe siècle. Source importante pour le Languedoc. - LES POLYPTYQUES Epoque carolingienne = épanouissement d’une gestion écrite des domaines ruraux sous la forme de polyptique. Renvoie à des documents qui réunissent des inventaires et description de tous les domaines d’un propriétaire. Décrit sa réserve ou manse

fragments. Mais ces fragments n’ont guère d’autonomie (leur valeur repose sur l’ensemble qui les réunit) et l’opération d’assemblage n’a qu’un faible intérêt artistique. • Par ailleurs, dans une certaine peinture religieuse (notamment dans les polyptyques, œuvres morcelées en plusieurs « tableaux » liés les uns aux autres), on assiste effectivement à la mise en relation d’unités picturales cette fois autonomes (non pas d’un point de vue thématique mais bien formel, chaque fragment représentant quelque

ROSTAING, Les toponymes d'origine germanique en Provence. Onomastica I (1947) = Actes et Mém. du IIe Congrès intern. de Topon. et d'Anthropon., 269-276. Anthroponymie 2035. A. BERGH, Etudes d'anthroponymie provençale. I. Les noms de personnes du Polyptyque de Wadalde, a. 814. Göteborg, 1941, 230 pp. 2036. Alph. BLANC, Sens du terme ethnique provincialis au XIIe siècle. Rev. des Langues romanes XXXVII (1893-1894), 485-489. 2037. S. BONNOME, Les noms patronymiques en Provence. Bull. de la Soc. des Amis

sibilant, spahi, sphinx, vizir. Y : borborygme, cyan / cyanure, collyre, dandy, derby, derny, doryphore, dyade, dyspnée, élytre, éponyme, époxy, éthylène, ferry, flysch, glyphe, hydne, kyste, lévogyre, lycaon, mygale, pachyderme, papyrus, pénalty, polyptyque, polystyrène, porphyre, presbyte, sycomore, sycophante, xylène, zygote, zyklon, zyzomys. I & Y : amphitryon, antonymie, callipyge, chrysalide, cystite, cytise, dialyse, dionysiaque, diptyque / triptyque, distyle, dithyrambe, dyslexie, dytique, épididyme

University : Studies in romance philology and literature) ; — CI. H. BELL, The sister’s son in the medieval german épic : a study in the survival of matriliny, 1922 (University of California : Publications in modern philology, vol. X, n° 2). (146) Polyptyque de l’abbé Irminon , éd. A. Longnon, II, 87. Il arrivait que le désir de marquer ainsi la double filiation entraînât à d’étranges non -sens ; tel, le nom anglo-saxon Wigfrith : mot à mot « paix de la guerre ». (147) Livre Roisin, éd. R. Monier, 1932