Polysemie Des Verbes

vers 276 l'image traditionnelle de l'amour comme brasier/feu ardent, qui consume le sujet de l'intérieur. La polysyndète de la conjonction « et » (répétition) sert à hyperboliser les effets de la passion. On peut trouver une antithèse entre les deux verbes, « transir » renvoyant davantage à un état du corps pénétré de froid (cf. l'expression « être transi de froid »), et « brûler ». Mais la polysyndète les met sur le même plan syntaxique : cela signifie donc que, tout comme ses effets, l'amour est PARADOXAL/CONTRADICTOIRE

publicitaires ou dans les discours politiques. le message ne peut être soumis à une épreuve de vérité (modes impératif, vocatif). Exemples : « Buvez ! » ou encore une prière. - Dans certains contextes, la parole équivaut à un acte, on parle alors de verbes performatifs"Je vous déclare unis par les liens du mariage. " 4° La fonctionphatique peut être considérée comme la fonction de socialisation, elle établit, vérifie, renforce le canal de communication. Ici le contact

dans le troisième point. Il est aussi intéressant de voir, dans le dictionnaire latin, que l’étymologie du mot vulnérable (vulnerare) il y a l’emploi de : blesser, endommager, porter atteinte à, faire mal, froisser et offenser. On emploie des verbes à l’infinitif qui signifie l’action de. La traduction française suggère plutôt le résultat et la prédisposition de vulnerare. C’est-à-dire, fragile, précaire de ce qui peut être attaqué, blessé et endommagé. Il y a un renversement de l’appropriation

aussi la manière dont elle use de ses charmes comme une arme envers Tressignies : « elle lui projeta son visage bien en face [...] et lui campa ses yeux dans les yeux ». On peut noter la détermination et la violence de l’attaque qu’expriment les verbes au passé simple et sa précision que soulignent les compléments de lieu. 2. Un personnage ambigu Elle est à la fois royale, altière (comme le marque l’insistance sur sa « fierté » : elle qui est « plus fière que la reine de Saba ») et vulgaire (comme

l'on emploie spontanément à l'écrit pour communiquer une information. On peut enrichir cette phrase par d’autres compléments. Ex. : Hier, Pierre a acheté une voiture d'occasion dans un garage du centre ville.. 13. La phrase complexe : plusieurs verbes plusieurs propositions. Ces propositions peuvent être : - JUXTAPOSÉES, c'est-à-dire simplement séparées par une virgule ou un point-¬virgule. Il n'y a pas de mot-outil pour relier ces propositions, on dit alors qu’elles sont indépendantes : Ex

mais aussi la manière dont elle use de ses charmes comme une arme envers Tressignies : « elle lui projeta son visage bien en face [...] et lui campa ses yeux dans les yeux ». On peut noter la détermination et la violence de l’attaque qu’expriment les verbes au passé simple et sa précision que soulignent les compléments de lieu. 2. Un personnage ambigu Elle est à la fois royale, altière (comme le marque l’insistance sur sa « fierté » : elle qui est « plus fière que la reine de Saba ») et vulgaire (comme

mais aussi la manière dont elle use de ses charmes comme une arme envers Tressignies : « elle lui projeta son visage bien en face [...] et lui campa ses yeux dans les yeux ». On peut noter la détermination et la violence de l’attaque qu’expriment les verbes au passé simple et sa précision que soulignent les compléments de lieu. 2. Un personnage ambigu Elle est à la fois royale, altière (comme le marque l’insistance sur sa « fierté » : elle qui est « plus fière que la reine de Saba ») et vulgaire (comme

lance un interdit infranchissable (l.27), réplique en majuscules, phrase injonctive avec un verbe à l’impératif qui est renforcé par « JE TE DIS ». De la ligne 28 à la fin de l’extrait, les rôles sont inversés, Henri a pris le pouvoir sur Grâce : verbes à l’impératif, acquiescement de la jeune femme. À ce stade de la lecture, le professeur gagnera à faire réfléchir les élèves sur les prénoms des deux personnages. Celui de l’homme fait immanquablement penser au roi d’Angleterre Henry VIII (1491-1547)

têtes-là l’exaspéraient ». En effet, on sent la nuance péjorative dans « ces têtes-là » : l’adverbe indique un renforcement de l’énoncé (ici « l’exaspéraient »). Si le point de vue avait été omniscient on aurait eu : toutes ces têtes l’exaspéraient. Les verbes qui introduisent le point de vue interne sont : « regardait », « voyait ». La phrase est : « Un coude sur la table, la joue appuyée sur la paume de la main, elle regardait les invités de sa tante et de son mari, elle les voyait à travers une sorte

ces gens à milliers”, “Il me suffit d’entendre le bruit de leur pas”. Il est ouvert au bruit: “le bruit de [sa] chaise enchaînée”, “les bruits de la ville”, “le bruit des fiacres”, le bruit des cors du chasse, du vent, des cloches et des chants. Les verbes “écouter” et “entendre” reviennent plusieurs fois: “Et j’écoutai longtemps tous ces chants et ces cris”, “J’entendis une voix / qui chantait”, écrit-il dans “Vendémiaire”. Les harmonies imitatives présentes dans les poèmes soulignent cette écoute