Polysemie Du Mot Bonheur

PROSODIE1-VERSIFICATION La variété de l’utilisation des strophes et des vers consiste ici à faire ressortir les quatrains qui sont mélangés aux tercets ainsi que les vers longs mélangés aux vers courts. Cette combinaison traduit le passage de la liberté, du bonheur, du calme aux souffrances. Suivant l’analyse rythmique, on constate que ce poème est très riche. Il s’agit d’un sonnet de deux quatrains et deux tercets, et la rime est « ABBA » (embrassée), « AAB » (rime suivie), « ABA » (rime croisée). Les vers

mais est il irréaliste de croire en l’amélioration de l’homme ? Que d’Utopies ! Et toutes si différentes. Mais comment définit on une Utopie ? Que signifie le mot Utopie ? Tout d’abord un peu d’étymologie. Du grec « U », préfixe négatif, et « topos », endroit, « UTOPIE » signifie donc « qui ne se trouve en aucun endroit ». Ce mot que beaucoup croit être issu de la Grèce antique est un néologisme créé en 1516 par Thomas More . Thomas More créa un nouveau genre littéraire, ou la pensée politique

.................................... 5.3. La polysémie ................................................................................. 5.3.1. Types et sous-types de polysémie ................................... 5.4. Polysémie et tropes lexicalisés ....................................................... 5.4.1. L'extension métaphorique ..................................................... 5.4.2. La métonymie et la synecdoque comme sources de polysémie 5.4.3. Le système tropique .................

titre presque aspiré, presque effacé. En cela, ce titre dit une vie à peine esquissée, une vie sans épaisseur, une vie qui se meurt. Une vie sans vie, une « vie morne » comme il est dit plusieurs fois dans le roman, une vie… morte. La polysémie du mot vie est d’ailleurs explicitée par Henri Mitterand qui met en relief l’antiphrase du titre du roman de Maupassant, antiphrase que nous allons être contraint malgré tout de nuancer. Dans sa préface à Une vie, reprise d’ailleurs dans

L’épaisseur sémantique du mot équivaut à l’épaisseur des choses ; toutes deux sont en jeu dans le travail de l’écrivain (voir la première strophe du « Cageot »). C’est un exercice intellectuel qui permet de glisser constamment de l’objectif au subjectif, de l’abstrait à l’objet. C’est rester fidèle à la chose en exploitant les jeux de mots : l’ « objoie », l’ « objeu » est alors le bonheur poétique visé par le poète. Pour Sartre, il y a bien une « oscillation inquiète entre objet et mot, comme si l’on ne

s’inscrire dans une lignée nervalienne. « Le Nervalois » : le mot-valise assemble Nerval et le Valois, domaine des souvenirs, comme l’indique le sous-titre de Sylvie (1853). La polysémie du titre permet à Demarcq d’évoquer le lieu de sa propre enfance (il est né à Compiègne), également marquée par un abandon primitif, et celle de Nerval qui lui a révélé la voie poétique. Mais « Le Nervalois », ce n’est ni « Nerval », ni « Le Valois » : dans le mot- valise, les référents se font la malle (et ne s’agit-il

chansons, les flûtes, lentement 3-3-3-3 + contre-rejet - Extrême découpage, dislocation de l’alexandrin à cause de l’énumération qui créé un effet de profusion en contraste avec la solitude de Myrto (n’est-elle pas accompagnée ?) + valeur poétique du mot « hymen » (repris aux vers 8 et 28) + évocation de la joie qui entoure ces noces à venir. - L’adverbe « lentement »serait une « résonnance virgilienne ». Les 3 substantifs qui le précèdent miment le roulement du navire alors que l’adverbe allonge le

.................................... 5.3. La polysémie ................................................................................. 5.3.1. Types et sous-types de polysémie ................................... 5.4. Polysémie et tropes lexicalisés ....................................................... 5.4.1. L'extension métaphorique ..................................................... 5.4.2. La métonymie et la synecdoque comme sources de polysémie 5.4.3. Le système tropique .................

| ( Appesantissons-nous désormais sur les enjambements. Nous distinguons deux types d’enjambements : 1. Les enjambements horizontaux : Aux vers 7 et 19, les césures interviennent au milieu d’un mot : res // tons – pas // ssent Cette coupe au milieu d’un mot affaiblit la césure et ralentit le rythme : ( symbolisation du mouvement lent de la Seine. (// écoulement du temps.) La brisure du verbe rester souligne l’impossibilité de la permanence : le temps ne peut s’arrêter :

l’effet qu’il produit sur le lecteur : rire , tristesse , peur , pitié … Identifier le registres d’un texte c’est mieux le définir en donnant son avis de lecteur . On distingue sept registres principaux : · Le registre pathétique Il tire son sens du mot grec pathos, signifiant "passion, souffrance", et cherche à provoquer l’émotion du lecteur en recourant à des thèmes liés à la souffrance, comme la mort, la maladie, la séparation, la douleur. On peut le reconnaître par : • Les champs lexicaux de la