Ponctuation Chez Baudelaire

des mots, est disséminée (pour reprendre le premier adjectif de l'extrait ) dans l'intégralité de Madame de Bovary. La scène du bal à la Vaubyessard, chez le marquis d'Anderviliers au chapitre 9 de la première partie est un moment stratégique dans l'ergonomie du roman et marque le climax de cette première partie. Emma, invitée avec son mari chez le marquis, pénètre dans le grand monde ; un univers qu'elle a, au grès de ses lectures romantiques, idéalisé. Ce passage relate ainsi un événement très

doit à celui qui l’a précédé. L’héritage immédiat, celui du symbolisme, apparaît décisif, même s’il est contesté au début du siècle. Le « message poétique du symbolisme » reste vivant et va exercer sur la modernité une influence considérable chez Apollinaire ou Breton, Claudel, Valéry et bien au-delà, jusqu’aux poètes contemporains. Il concerne essentiellement une nouvelle définition et pratique de la signification poétique qui ne se confond plus avec la référence à un objet bien défini, mais

tout haut au gré de sa conscience) * Renoncement à l’omniscience, mélange (niveau langue, genre,…) * Investissement de la part du lecteur car pas de chronologie Auteurs : * Marcel Proust (fondateur du roman moderne) * Du côté de chez Swann * A la recherche du temps perdu (fresque de 7 romans autobiographiques) * Colette * Sido * François Mauriac * Thérèse Desqueyroux * Le Nœud de vipères * Le sagouin * Louis-Ferdinand Céline

Apollinaire a supprimé tous les signes de ponctuation dans ses poèmes. Cet effacement nous rend plus sensible aux effets de rythme, de sonorités, de construction et de sens de chaque vers et des différents groupements de vers. Analysez le premier grand fragment de « Zone », du premier vers à « l’avenue des Ternes » (v. 24) en mettant en évidence ces différents effets. Le signe le plus manifeste de la modernité revendiquée par Apollinaire est l’absence de toute ponctuation dans les trois poèmes d’ouverture

mètre, de rimes, ou de strophes, en opposition avec le vers traditionnel classique qui fixe un nombre précis de syllabes par vers et de vers par strophe. Elle concrétise son entrée dans la poésie du XIXème siècle avec des poètes tels que Charles Baudelaire (1821-1867), Paul Verlaine (1844-1896) et Arthur Rimbaud (1854-1891), largement inspiré de l'Américain Walt Whitman (1819-1892), poète initiateur du « blank verse » (équivalent du vers libre, anglais). Avec un tel héritage, nous assistons à une

les dettes, illustrant une femme qui ne gère pas sa maisonnée, qui se préoccupe plus de ses amants. A noter, qu’il s’agit du même procureur qui attaqua Baudelaire et ses Fleurs du Mal pour la même raison. L’écriture du roman fut longue puisque Flaubert a l’ambition du mot, de la phrase parfaite et juste dans l’intonation. Lorsqu’il était chez lui et qu’il terminait l’écriture d’un passage, il partait dans son « gueuloir » pour lire à haute voix, si le texte résonnait à sa convenance il le laissait

du XXème siècle et début du XXIème.Attention : A notre époque de nombreuses « autobiographies » sont écrites par des écrivains professionnels (ou nègres) car leurs auteurs ne seraient pas capables d'écrire un livre.Les citations de Montaigne et Baudelaire signifient que tout être humain quand il examine sa conscience, peut comprendre un autre être humain.Visées : but17/02/11polycopié AEtude de l'autoportrait de Montaigne.1ère partie du texte : son physique. Il se trouve un défaut : sa

l'impossibilité de définir la poésie. L'étude d'un changement radical de forme dépassant la simple variation de nombre — de pieds ou de vers — devrait toutefois permettre de mettre au jour son fonctionnement, inséparable de sa fonction. I. Bertrand et Baudelaire: «le miracle d'une prose poétique» La première apparition du poème en prose date de la fin du XVIIIème siècle, sous la forme de traduction non-versifiée de poèmes étrangers. Elle coïncide avec un changement majeur en littérature, décrit de

| | | |bonsoir |media res | | |Enonciation |ponctuation ( ? !) |Inquiétude et nervosité de Wilfried à |L’état psychologique de Wilfried démontre quelque fissure | | |didascalies |son retour d’enterrement |dans ce couple

l’entoure. Ici, il confronte la paresse de la cigale à l’avarice de la fourmi. La Cigale, ayant chanté Tout l'été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. "Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal. " La Fourmi n'est pas prêteuse : C'est là son moindre défaut