Pont Jacques-Chaban-Delmas

électoral législatif ou présidentiel 1962 : G. Pompidou (2) 1972 : P. Messmer (2) 1976 : R. Barre (2) 1984 : L. Fabius (2) 1991 : E. Cresson (2) 1992 : P. Bérégovoy (3) 2005 : D. de Villepin (2) 1959 : M. Debré (1) 1965 : G. Pompidou (1)* 1969 : J. Chaban-Delmas (1) 1974 : J. Chirac (1) 1981 : P. Mauroy (1)** 1988 : M. Rocard (1)** 1995 : A. Juppé (1) 2002 : J.-P. Raffarin (1) 2007 : F. Fillon (1) 1968 : M. Couve de Murville (2) 1986 : J. Chirac (3)*** 1993 : E. Balladur (4)*** 1997 : L. Jospin (2)***

Front républicain (coalition formée autour de Pierre Mendès France et constituée de la SFIO de Guy Mollet qui devient président du conseil, du Parti radical-socialiste, de l'UDSR de François Mitterrand et des républicains-sociaux du gaulliste Jacques Chaban-Delmas), contrainte à des accords de circonstances compte tenu de leurs faibles et quasi-équivalentes performances à l'issue des élections législatives de 1956. Ses pouvoirs se sont exercés du 19 janvier 1956 au 3 juin 1958 puis elle s’est mise en

(2003-2004) |Travail. | AVANT-PROPOS Mesdames, Messieurs, « C'est la transformation de notre pays que nous recherchons, c'est la construction d'une nouvelle société, fondée sur la générosité et la liberté ». Voici les mots par lesquels Jacques Chaban-Delmas concluait sa déclaration de politique générale le 16 septembre 1969. L'expérience a prouvé que ce n'était pas seulement l'exposé d'un programme de gouvernement, mais au-delà, une orientation générale pour l'action politique qui conserve, près

d’entreprises et la participation des employés au capital. Charles de Gaulle explique ensuite la situation faramineuse dans laquelle se trouvent les finances publiques. Le général fait appel à Antoine Pinay mais aussi à une commission présidée par Jacques Rueff. La fin de 1959 et les trois années suivante marquent le succès de cette politique économique à travers la stabilité des finances et la prospérité du pays. L’Europe : Le rôle de la France au sein de l’Europe tire sa légitimé de la bipolarisation

INSURRECTION DE J. CHIRAC CONTRE LE POUVOIR PRÉSIDENTIEL Partons d'un incident récent, qui est encore très présent dans les mémoires. Depuis plusieurs mois, le torchon brûlait entre M. Giscard d'Estaing et son Premier ministre, M. Jacques Chirac, qui avait tout fait pourtant pour assurer son élection en se dressant contre l'attitude de son propre groupe, I'udr, dès avant le premier tour de l'élection présidentielle. On a parlé de « trahison », d' « opportunisme personnel ». Mais

vers 9 heures du matin, un avion de reconnaissance française a été touché par l'ALN (Armée de Libération Nationale) algérienne. 25 mai : De Gaulle appelé à la présidence du Conseil Face aux événements d'Algérie, de Gaulle, appuyé par Jacques Chaban-Delmas, prépare depuis le début du printemps son retour dans la vie politique française. En effet, de nombreuses personnalités avaient jusqu'alors appelé à son retour pour gérer la situation difficile et le climat d'insurrection qui règnent en France

Article 16 D Article 49-3 4 Quel homme politique est le premier a occuper le poste de Premier Ministre sous la présidence de Valery Giscard d'Estaing ?  Bonne réponse  A Edouard Balladur B Michel Rocard C Jacques Chirac D Jacques Chaban-Delmas 5 Nouveauté de la Vème République combien de membres compte le Conseil constitutionnel ?  Bonne réponse  A 9 B 12 C 15 D 18 6 En quelle année le SMIG devient le SMIC ?  Mauvaise réponse  A 1974

l’hôpital Pellegrin et mon père travaille à la gare SNCF. C’est mon père qui m’emmène à la station (stade chaban delmas), tous les matins, où je prends le tram pour aller soit au boulot, soit à l’école. Pour mes repos, je vais souvent au complexe de cinéma Mégarama, rive droite, ou au bowling de Mériadeck (juste à côté de la patinoire). Sinon dès que j’en ai l’occasion, je vais au stade Chaban Delmas voir jouer les girondins. Sur le plan de Bordeaux, en vous aidant de l’index : 1. Repérez et

général de Gaulle quitte le pouvoir (d'André Malraux, Jean-Marcel Jeanneney). • D'autres, plus nombreux, vont jouer un rôle politique au sein des partis tout en restant en contact avec lui (comme Maurice Schumann, René Pleven ou Michel Debré et Jacques Chaban-Delmas). → « trahison » du M.R.P qui sans rejeter le projet de Bayeux, ne s'y rallie pas, et entre très vite dans la voie du compromis avec le parti communiste et la S.F.I.O., acceptant de construire avec eux une Constitution dont la base n'est

type « keynésienne ». La doctrine Gaulliste est interventionniste. 2) Après l’échec de Jacques Chaban-Delmas à la présidence de 1974 face à Valérie Giscard D’Estaing de L’UDF, l’Union pour la Défense de la République subit nombres de déchirements internes. Il suit un changement de nom, le parti gaulliste devient le RPR : Rassemblement Pour la République. Ce mouvement néo-gaulliste mené par Jacques Chirac ne renoue pas vraiment avec la tradition : les gaullistes historiques s’effacent petit