Populisme

petites filles, ce qui légitime aux yeux de la population la nécessité d’intervenir. Ceux qui s’opposent à l’entrée en guerre sont alors vus comme ceux qui légitiment eux-mêmes la négation des droits de l’homme (ici de la femme, voire des enfants). = populisme et mise en scène de l’ennemi C’est le storytelling management Pourquoi ? Parce qu’on est pas dans le rationnel Il ne faut pas persuader l’autre, mais l’amener à penser lui-même ce que vous voulez qu’il pense Weber, domination par la tradition et

afin d’obtenir la confiance des masses. Nous pouvons prendre en exemple des figures tel que Vargas ayant pris le pouvoir au Brésil en 1930 avec ces discours adressés à la population majoritaire en critiquant le système antérieur, on appelle ça le populisme. En Europe, cette crise se retrouve favorable politiquement parlant pour des figures tel que Hitler en Allemagne avec sa propagande nazi, promettant au peuple tout ce qu’il demande et en le lui donnant. Cette figure autoritaire parvient à relancer

une minorité de pays …. 5eme point : L'argument , «  les sondages y sont favorables » est sans nul doute l'argument le plus grotesque qu'y soit. En effet , on ne bâti pas une politique en s'inspirant de sondages , c'est de la démagogie, du populisme. De plus que les sondages ne sont qu'un reflet de l'opinion , combien de fois avons déjà nous vu des sondages étant quelques mois plus tard dénantit par le vote de nos concitoyens. Enfin , quand on prétend vouloir mener une politique sérieuse et

pratiquant une autre religion qu'eux. C'est le cas par exemple d'Anders Behring Breivik qui a commis deux attentas le 22 juillet 2011 en Norvège, faisant au total 77 morts et 151 blessés. C'est un nationaliste islamophobe qui prône le conservatisme, le populisme de droite, l'antiféminisme et le nationalisme blanc. Ce sont donc ses idéologies extrémistes qui ont motivé ses actes. Encore une fois, cela ne l'excuse pas mais illustre bien le fait que le racisme et les religions peuvent engendrer la violence

morale !  Ne pas miser donc sur un journalisme populiste de très bas niveau, même si ça marche, car ce genre de journalisme donne des solutions simples à des problèmes complexes,  En effet, la liberté de la presse est menacée par une vague de populisme politique : l’adjectif « populiste » contamine le journalisme et l’analyse sociale  4- Synthèse : Le journalisme devrait être apolitique car la seule motivation d’un journal est avant tout le progrès économique et social. L’attacher à une instance

des lois républicaines sont votées. Petit à petit, on aperçoit une instabilité gouvernementale. La république a de plus en plus de symboles (drapeau tricolore, marseillaise, 14 juillet…) et les institutions doivent faire face à des menaces : le populisme et le boulangisme, l’anarchisme-l’opposition de gauche. Les institutions restent comme elles sont jusqu’à la première guerre mondiale de 14-18.

2002, suscitant un front républicain du refus, Jean-Marie Le Pen exploite avec habileté cette situation et déjà à l’automne 2005, en prévision des prochaines consultations, il définit sa stratégie, s’appuyant sur tous les ressorts imaginables du populisme le plus éhonté.

XX ème Congrès de 1956, mais en même temps il proclame sa confiance dans le système soviétique. Krouchtchev séduit à l’extérieur, mais il n’arrive pas à s’imposer dans son pays. Il doit jouer la base contre l’appareil et il doit faire preuve de populisme. La vie quotidienne des Soviétiques ne s’améliore pas : le niveau de vie stagne. La police politique est toujours active. Ses revers extérieurs, notamment Cuba, affaiblissent sa position et Krouchtchev est le seul dirigeant soviétique à ne pas mourir

ils  sont  davantage  porteurs  d'un  refus  et  d'une  contestation  de  la  société telle qu'elle est, d'une référence à l'ordre et à un certain anti‐étatisme. Globalement,  les " hors‐jeu " sont des contestataires qui peuvent être sensibles au populisme d'extrême  droite, s'inscrivant dans une logique de refus des systèmes politiques et sociaux.     2° L’abstention « dans le jeu politique ». Souvent  jeunes,  diplômés  et  plutôt  favorisés  quant  aux  conditions  de  leur  insertion  sociale, 

l’appliquer à des débats ayant pour enjeu la conduite de toute une société dans le contexte démocratique (encore était-il possible de « discuter », même si l’argumentaire était fallacieux, chose appréciable à une époque où taxer de fascisme, de populisme ou d’angélisme peut suffire à remporter le débat). Hirschman nous décrit clairement (s’aidant même de tableaux, procédé qu’il semble affectionner) et avec un style malicieux l’art de faire semblant de discuter au cours des deux derniers siècles.