Porte de Pantin

jouet : le joueur de gauche porte un tuyau qui part de son oreille droite jusqu’à une petite cornette posée sur la table ; de même que chez le joueur qui fait face, sort de son oreille gauche, une sorte d’amplificateur.) Les corps ressemblent à des marionnettes, à des pantins mécaniques, conséquence de la folie guerrière. B- Des combattants qui n’ont rien appris les anciens combattants exhibent leurs propres mutilations, avec une certaine fierté, le joueur de droite porte d’ailleurs sa Croix de Fer

présentatif (« c’est…qui ») employé deux fois et le titre de Trismégiste (trois fois grand) Baudelaire montre comment l’homme est voué à la damnation parce qu’il est réduit, comme l’exprime la périphrase « les fils qui nous remuent », à n’être qu’un pantin dirigé par Satan. 8. Le goût de l’homme pour la déchéance et son aspect contradictoire réapparaît dans l’antithèse : « objets répugnant »/ « des appas » et à travers l’usage d’un vocabulaire concret (remuent/puent) et bas normalement proscrit à

d'exprimer à la fois sa subjectivité sur le monde et la crudité de ses sentiments. Son art sera ainsi considéré comme dégénéré sous le régime nazi. Otto Dix meurt le 25 juillet 1969 à Singen en Allemagne. Ⅱ/Description Au second plan, on voit un porte manteau, une lampe et des journaux écrits en allemand. Le café se trouve donc en Allemagne. Ce sont de vieux journaux qui parlent du conflit entre la France et l’Allemagne. Les joueurs portent toujours leur uniforme : ils ne sont pas revenus à la vie

renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi à l’impuissance des médecins à réparer les corps ce qui explique qu'ils ont recours à des prothèses. Elles servent à rendre invisible les destructions subies. Le joueur de droite porte également une prothèse à la place de sa mâchoire. Son articulation repose sur un système de poulies qui masque en partie, une large cicatrice de la joue gauche. L’extrémité de son nez est recouverte d’un bandeau en cuir noir noué autour de sa tête

des personnes autour d'une table qui jouent à un jeu de cartes, dans un bistrot vu les chaises. - 1er plan : les deux personnages de profil ainsi que la table au milieu - 2ème plan : le personnage de face - 3ème plan : la lampe, les journaux et le porte manteau. - Arrière plan : un fond noir. Les personnages sont défigurés, il leurs manque des membres. 3) Analyse précise. • Composition : c'est un plan moyen de point de vue frontal, en composition pyramidale. Le tableau est aplati, et c'est confus

et ancien chef d’exploitation de l’entreprise HOREL Activité de l’entreprise : L’entreprise dispose de nombreux chantiers en ile de France notamment celui de Montreuil (Hôpital André Grégoire), Bobigny (Hôpital Avicenne), Porte des lilas (Hôpital Robert Debré), Pantin (Maison de retraite la Seigneurie), Sevran les beaudottes (Hôpital Balanger), Paris est (Hôpital Suisse), Paris est (Hôpital Saint Louis), et Bondy (Hôpital Jean Verdier). L’entreprise HETRE est constituée d’une ex-équipe de L’entreprise

voulu être le secrétaire. Figurent dans son oeuvre toutes les conditions sociales, les diverses professions, les divers âges. Chaque être replacé dans son décor, sa maison, avec ses traits, ses gestes, sa voix, la langue qu'il parle, le vêtement qu'il porte. En un temps où tout changeait rapidement, Balzac a fait de son roman une sorte de conservatoire des maisons et des meubles, des costumes et des coutumes, des idées et des moeurs. Illusions perdues, le Père Goriot => La Comédie Humaine Dumas

sont ceux que contient le cycle des Rougon-Macquart.A travers cet extrait, nous verrons que Zola établira un lien entre le personnage et son lieu d’habitation en utilisant différents procédés. Cette démarche, d’autre part, nous montrera que l’auteur porte un regard critique aussi bien une sévérité moral qu’un regard bienveillant.La problématique est la suivante: En quoi ce texte offre t'-il un regard critique sur l'héroine et la socièté dans laquelle elle vit? ●Introduction ●1/le personnage et le lieu

les soldats comme des pantins ridicules. Dans Les joueurs de cartes, le décalage entre la banalité de la situation (le jeu) et l’aspect monstrueux des joueurs est frappant (un joueur tient la carte avec son pied). Le fait qu’un autre porte fièrement la croix de fer à sa veste est sans doute une critique du peintre à l’égard du nationalisme excessif exprimés par certains anciens combattants allemands. Description du tableau Au second plan on trouve sur la droite un porte manteau , au dessus

mutilé, bien vêtu, le buste bien droit et qui passe devant le mendiant sans le regarder. On voit ensuite des morceaux de personnages tel qu’une femme aux formes généreuse qui porte une robe rose ; des bourgeois que l’on distingue grâce à leurs gants et leurs costumes. Tous les personnages ressemblent à des poupées, des pantins. Quelques œuvres du même auteur vues en classe : Le marchand d’allumettes La Guerre