Porte-parole de la Maison-Blanche

MON VOISIN JACQUES Par Émile Zola I J’habitais alors, rue Gracieuse, le grenier de mes vingt ans. La rue Gracieuse est une ruelle escarpée, qui descend la butte Saint-Victor, derrière le jardin des Plantes. Je montais deux étages, — les maisons sont basses en ce pays, — m’aidant d’une corde pour ne pas glisser sur les marches usées, et je gagnais ainsi mon taudis dans la plus complète obscurité. La pièce, grande et froide, avait les nudités, les clartés blafardes d’un caveau. J’ai eu pourtant

il le sentait publiquement ouvert aux appetits des gaillards solides. Le cocher s'etait penche. —C'est bien passage Choiseul? Pot−bouille 1 Pot−bouille —Mais non, rue de Choiseul.... Une maison neuve, je crois. Et le fiacre n'eut qu'a tourner, la maison se trouvait la seconde, une grande maison de quatre etages, dont la pierre gardait une paleur a peine roussie, au milieu du platre rouille des vieilles facades voisines. Octave, qui etait descendu sur le trottoir, la mesurait, l'etudiait

cette pièce. En premier lieu, toutes les comédiennes ont offert un jeu impeccable. Maude Guérin qui interprétait le rôle de Pierrette Guérin a très bien joué son personnage. Lorsqu’elle était présente sur la scène, l’attention était extrêmement portée sur elle et lorsque ce fut son tour de chanter, elle chanta merveilleusement. Sa gestuelle nous laissait croire que cette femme était très sûre d’elle même, mais derrière son air confiant, elle nous cachait son insécurité et sa grande peine. Seule

l'Illinois depuis 1996, il l'est à l'échelle nationale depuis seulement quatre ans. Et ce diplômé d'Harvard n'a jamais géré d'institution publique ni même été à la tête d'une entreprise privée. A peine sorti de l'oeuf et peut-être bientôt à la Maison Blanche… Un parcours inimaginable en France où l'on jugeait Ségolène Royal un peu jeunette avec ses vingt ans en politique et ses trois expériences à des fonctions ministérielles. Après le scandale des élections truquées en Floride en 2000, les Etats-Unis

Bonnes, de Jean Genet Québec, 22 novembre 1994 Solange et Claire sont deux soeurs, domestiques de Madame et de Monsieur. Au début de la pièce, elles se livrent à un jeu alors que Madame n'est pas là: Claire joue le rôle de la maîtresse de maison et Solange, celui de sa domestique. Elles extériorisent ainsi leurs propres sentiments: un mélange de haine et de fascination. Mais le jeu devient bientôt plus qu'un simple jeu: une violence langagière apparaît tout d'abord, puis la violence physique

Descendons-nous ? Nous nous promènerons devant les petites maisons si closes, où habitent les familles des magistrats, des percepteurs, des fonctionnaires… que sais-je ?… — Réveillez-vous, colonel… Quarante minutes d’arrêt pour la douane… Nous allons nous dégourdir les jambes… — Hé quoi ! fit le colonel… Sommes-nous à la frontière ? — Peu s’en faut… vous le savez bien : voici la dernière station avant le Fort. — Diable… Tenez : à gauche, la maison en briques rouges… où l’on aperçoit des primevères dans

LA PAROLE DES FEMMES UNE PAROLE FORTE  Nous allons vous présenter cet exposé en vous parlant de différents arts à travers le 19ème et le 20ème siècle. Premièrement, nous vous parlerons du contexte artistique de l’époque pour les femmes puis nous vous présenterons deux œuvres. Au XIXe siècle, les femmes talentueuses avaient peu de possibilité de le montrer aux autres. En effet, la société de l’époque trouvait ça choquant qu’une femme montre ses œuvres au public. Il faudra attendre le milieu

gilet jaune à bandes réfléchissantes qui permet d’être repéré par les voitures pendant la nuit et peu ainsi sauver la vie lors de pannes ou accident nocturnes. - Dans le tiers droit, on voit Karl Lagerfeld, directeur de la maison Chanel, portant un smoking noir, chemise blanche, nœud papillon noir, ainsi que ses mitaines et ses lunettes noires, sa marque de fabrique. Il semble habillé pour un grand évènement, si ce n’est le gilet jaune qu’il arbore pardessus sa veste de costume. - Dans le tiers bas

somptueux repas sur une île, durant lequel le narrateur reconquiert l'amitié de Sylvie, devenue une belle jeune fille (chap. IV). Après la fête, le narrateur raccompagne Sylvie et son frère Sylvain jusque chez eux, au hameau de Loisy où ils habitent la maison du garde, puis, rentrant lui-même chez son oncle à Montagny (comprendre Mortefontaine), il s'égare dans une sente qui longe la forêt d'Ermenonville, et passe la nuit dans les rochers et les bruyères. Au petit matin, il parvient à se repérer, et peut

vivement, je me lavai, et tenant encore à la main la brosse, en lissant mes cheveux humides, je me rendis à son appel. Karl Ivanovitch, ses lunettes sur le nez et un livre à la main, était assis à sa place accoutumée, entre la porte et la fenêtre. À gauche de la porte, il y avait deux petites tablettes, l’une, la nôtre, celle des enfants ; l’autre — la sienne, celle de Karl Ivanovitch. Sur la nôtre se trouvaient toutes sortes de livres de classe et d’autres ; les uns debout, les autres couchés