Portrait Colonel Chabert

mais fantastiques, et empruntées à la palette, à l'éclairage, inimitable dans ses noirceurs effrayantes et prophétiques, de la vieillesse, de la proximité de la mort. » Marcel Proust, Le Temps retrouvé, 1927 Question Dans quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? Votre réponse n'excédera pas une trentaine de lignes. Travaux d'écriture Vous traiterez l'un des sujets suivants : Sujet 1 : commentaire de texte Vous ferez un commentaire

Objectif : mise au point sur le texte narratif et sur l’insertion de la description et du portrait dans le récit Démarche : Après lecture de la nouvelle (à la maison), les élèves en déterminent le schéma narratif et l’organisation chronologique. Un rappel de la distinction auteur / narrateur est fait. L’insertion de descriptions dans le récit est étudié (scène du bal) ainsi que l’importance du portrait et de son évolution (Mathilde au bal, Mathilde à la fin de la nouvelle). Enfin, est abordée

Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours Textes à étudier : La double famille, Balzac Germinal, Zola  Etienne Lantier Le colonel Chabert, Balzac Lucien Leuwen, Stendhal La chartreuse de parme, Stendhal Fabrice Del Dongo Illusions perdues, Balzac  Lucien de Rubempré Madame Bovary, Flaubert Un amour de Swann, Proust Le bruit des trousseaux, Philippe Claudel La dame pâle, Victor Hugo Le rouge et le noir, Stendhal  Julien Sorel Les misérables, Victor Hugo  Jean Valjean Eugénie Grandet

passage. Nous pensons à Charon et à son obole, et à la topique de la descente aux enfers. D'Ulysse à Enée, celle-ci structure les récits fondateurs en les dramatisant. La fonction d’accroche du lecteur est donc bien présente ici. Ce qui suit est le portrait de cet inquiétant Cerbère. Dans une phrase à tiroir constituée de deux relatives, l’une d’entre elles débouchant sur une énumération, Balzac caractérise le vieillard et son regard (son « coup d’œil »). L’image de l’enfer est ici à nouveau activée

HONORE DE BALZAC BIOGRAPHIE :  Œuvresprincipales : La Comédie humaine (cycle romanesque), (1831-1850); Les Chouans, 1829; La Peau de chagrin, 1831; Eugénie Grandet, 1833; Le Père Goriot, 1835; Le Colonel Chabert, 1835; Le Lys dans lavallée, 1836; Illusions perdues ( 1837 - 1843); Splendeurs et misères des courtisanes, 1838-1846  Honoré de Balzac, né à Tours le 20 mai 1799 (1er prairial an VII) et mort à Paris le 18 août 1850, estun écrivain français. Tour à tour critique littéraire, critique

3.1.4 Opinions politiques de Balzac 5 Œuvres 5.1 Historique des éditions 5.2 Œuvres de Balzac 5.3 Postérité de l’auteur et de son œuvre 6 Balzac et les artistes 6.1 Balzac et les écrivains de son temps 6.2 Les illustrateurs de Balzac 6.3 Portraits de l’auteur 6.4 Sculptures 6.5 Balzac et le daguerréotype 6.6 Films fondés sur l’œuvre de Balzac 6.7 Adaptations musicales 7 Balzac et ses contrefacteurs 7.1 L’affaire Octave Mirbeau 7.2 L’affaire Radziwill 8 Les voyages de Balzac 8.1 L’Italie

Les portraits selon Balzac Créer Représenter Illustrer Dossier enseignant – collège Maison de Balzac 47 rue Raynouard - Paris XVIe 01 55 74 41 80 balzac.paris.fr Introduction Balzac s’est donné pour objectif, dans La Comédie Humaine, d’analyser les rapports sociaux. Mais comment comprendre les relations de deux personnes, si l’on ne sait pas qui elles sont, où elles habitent, quelles sont leurs habitudes, de quels milieux elles sont issues, comment elles se sont rencontrées, quel est leur

la mine… sont autant d’éléments qui plantent un décor sans doute très proche des conditions réelles. Hormis ce contexte matériel, le quotidien des ouvriers trouve également ses sources dans le roman et dans l’histoire. Ainsi, Germinal dresse un portrait éclairant de la vie d’un mineur, de ses conditions de subsistance et des caractéristiques socioéconomiques de sa classe sociale. Le récit met tout particulièrement en évidence la dépendance de l’ouvrier envers l’entreprise. Le logement et le chauffage

qu’il est écrit », ligne 11, et datation du repas « il y a douze ans » ligne 43 (texte A) ; date de 1917 et allusions à une « affaire » (texte D), ancrage dans un passé présenté comme réel : 0,5 pt - présence d’un autoportrait (texte A) et d’un portrait (texte D) du personnage principal : 0,5 pt - éléments d’autobiographie fictive : témoignage réel du narrateur externe et interne dans le texte A, du narrateur dans le texte D (0,5pt) II. Textes B et C : le refus de l’illusion du réel - l’emploi

l’Ecole des beaux arts de Paris au XIX rétablis en 1795, jusqu’à la Réforme 1863 c’est sous le contrôle direct de l’académie des beaux arts (faible ouverture à l’avant-garde), admission sur concours et les exercices centraux : dessin académique (portrait nu de modèle vivant ou des sculptures), exclusivement de dessin et enseignement par atelier. En 1863, le directeur et les professeurs sont nommés par l’Etat mise en place d’atelier public financé par l’Etat. Après 1863, trois ateliers des beaux