Portrait Comique

Le narrateur en fait un portrait extrêmement péjoratif : « de la race de ces sauvages colosses », « l'ogresse »... Notamment en utilisant des procédés stylistiques récurrents tels que l'énumération : « grande, blonde, rouge, charnue, carrée, énorme et agile » qui permet au lecteur de s'imaginer ce personnage grossier. C'est une femme répugnante, qui fait peur : « c'est un charretier », « c'est le bourreau ». On retrouve également des éléments qui rendent ce portrait comique : hyperboles (« Elle faisait

L’Illusion Comique : tirade de Pridamant (Acte 1, scène 1) « J’en attends plus de choses et brûle de le voir »  * Figure de sens : antithèse accentuée par la figure de construction qu’est le chiasme * Figure de logique : paradoxe, d’un côté une impatience, de l’autre une lassitude Cela traduit une forme d’instabilité, d’angoisse. Ces figures de style traduisant une angoisse à l’homme sont caractéristiques du baroque. Ces deux premiers vers de la tirade s’inscrivent dans l’esthétique baroque

œuvre du moraliste La Bruyère, offre une riche galerie de portraits satiriques. Si les lecteurs du xviie siècle voulaient y voir des allusions à des personnages réels de l'époque et faisaient même circuler des « clés », ces portraits n'en restent pas moins des observations d'une grande acuité dans lesquelles La Bruyère épingle différents vices de la nature humaine en général. Ainsi, dans le chapitre « De l'homme », le moraliste dresse le portrait de Gnathon, un être profondément égoïste, se comportant

sur le tableau de Tissot, L’Ambitieuse (annexe 2). Rédigez le portrait satirique de cette femme tel qu’il pourrait s’intégrer au roman de Maupassant (texte A). -Le genre attendu est celui du portrait. Il s’agit de rédiger un texte descriptif, qui s’insère dans un récit. La narration ne doit cependant pas prendre le pas sur la description. On fera le point avec les élèves sur les différents procédés permettant de rédiger un portrait riche et vivant (organisation des éléments de la description

constamment maintenue sur Chabert. Intérêt littéraire On peut juger du style de Balzac par cet extrait qui est un portrait du colonel Chabert au moment de sa rencontre avec Derville : «L'ombre cachait si bien le corps à partir de la ligne brune que décrivait ce haillon, qu'un homme d'imagination aurait pu prendre cette vieille tête pour quelque silhouette due au hasard, ou pour un portrait de Rembrandt, sans cadre. Les bords du chapeau qui couvrait le front du vieillard projetaient un sillon noir sur

d'auteurs réfléchissent à la place de l'Homme dans le monde et dans la Société. Ils étudient le comportement humain, ses motivations, etc... Ici, La Bruyère dresse le portrait de Gnathon, un type imagina ire d'égoïste : quel portrait en dresse-t-il, et à travers lui , quelle vision donne-t-il de la vie en société ? I- un portrait à la fois général et concret (genre du texte/ visée/ originalité/ cadre spatio-temporel/personnages) A- Gnathon= un « type » général, universel 1- par l'usage

nous allons analyser. III.1.1. Le portrait Etymologiquement, de l’ancien français portraire « dessiner ». A l’origine, le portrait est une notion rhétorique. Dans le genre démonstratif, il est un élément essentiel pour orienter le discours dans le sens de l’éloge ou du blâme. A partir du domaine de la rhétorique, le portrait s’est diffusé dans le domaine de la littérature, principalement dans le genre romanesque. III.1.1.1. Formes et fonction du portrait dans l’Ecume En tant que genre

Lettre II I. Une lettre pour nouer l'intrigue. A. Feindre une correspondance réelle B. Faire de la correspondance un roman. C. L'orchestration précise d'une vengeance. II. Portrait d'une société. A. Une complicité entre amants. B. Une société pervertie. C. La critique des principes de l'éducation féminine. III. Un portrait en creux de la Marquise de Merteuil. A. Une femme appartenant à la haute société en maitrisant ses usages. B. Une femme dominatrice. C. Une femme manipulatrice. Lettre IV

Travail sur La Traviata de Verdi en initiation artistique et culturelle. Séance 2 : Lecture parallèle des premières pages de L’Education sentimentale et du premier portrait de Rastignac dans Le Père Goriot. Excipit du Père Goriot. L’Education sentimentale comme faux roman de formation. Séance 3  (2 heures) Lecture comparée du portrait de Mme Arnoux dans les trois versions successives de L’Education sentimentale. Lecture analytique de la version finale (voir plus bas) Un regard singulier posé sur

Il choisit dans son œuvre d’étudier une série de portraits en s’inspirant de Théophraste. Il fait un portrait satirique de ce petit théâtre où le courtisant apparait comme la figure idéale de cette vie de représentation. Dans cet extrait intitulé « De L’Homme », il dépeint le portrait de Gnathon, un personnage égocentrique qui ne supporte