Portrait D Argan

modèle expérimental, de type, prime sur leur identité narrative. D'emblée le mécontentement boudeur, la hargne immédiate, de Madame Pernelle (vers 8-10), plus encore que sa façon tyrannique de couper court à toute objection, laisse deviner que ces portraits à l'emporte-pièce ne présentent qu'une image noircie de la réalité  ; la franchise dont elle se targue (vers 39-40) semble être une pratique du dénigrement systématique. Mais une caricature contient un soupçon de vérité, à preuve la prise de parole

d'Arnolphe Enrique Beau-frère de Chrysalde Oronte Père d'Horace et grand ami d'Arnolphe Un notaire (N'est pas cité dans l'édition originale de 1663) La scène se déroule sur la place d'une ville. Commentaires[modifier | modifier le code] Portrait de Molière par Charles-Antoine Coypel. Les sources de L'École des femmes[modifier | modifier le code] Pour écrire l'histoire de cet homme qui, par crainte d'être trompé, décide d'épouser une ingénue, Molière s'est inspiré d'un canevas romanesque

Herr und Diener entschlossen zur Liquidation ihrer Liebe. Eraste und Lucile fauchen sich an, so gut sie können. Diener und Dienerin hetzen auf beiden Seiten. Um zu zeigen, daß es ihm ernst ist, gibt Eraste Lucile deren Porträt zurück: Voici votre portrait: il présente à la vue Cent charmes merveilleux dont vous êtes pourvue; Mais il cache sous eux cent défauts aussi grands, Et c'est un imposteur enfin que je vous rends. (IV, 3) Der Diener Gros-René brummt Billigung: Bon. Lucile: Et moi, pour

statut de modle exprimental, de type, prime sur leur identit narrative. Demble le mcontentement boudeur, la hargne immdiate, de Madame Pernelle (vers 8-10), plus encore que sa faon tyrannique de couper court toute objection, laisse deviner que ces portraits lemporte-pice ne prsentent quune image noircie de la ralit la franchise dont elle se targue (vers 39-40) semble tre une pratique du dnigrement systmatique. Mais une caricature contient un soupon de vrit, preuve la prise de parole avorte de Dorine

Dorante, le récit d'une représentation théâtrale où un «de ces Messieurs du bel air » s'est ridiculisé peint la carte sociale du théâtre en distinguant le parterre des membres de l'aristocratie présents sur la scène du théâtre. Molière dresse ici un portrait sévère de l'aristocratie et peut-être de la haute bourgeoi¬sie qui prône une attitude méprisante, pleine de préjugés, et adopte un comportement prétentieux et ridicule « com-plaisance affectée », « délicatesse ridicule ». Pour cet auteur lettré,

Bougainville D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 J.-J. Rousseau, Discours sur l’origine de l’inégalité ANALYSE D’IMAGE Man Ray, Portrait imaginaire du marquis de Sade TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS 90 91 92 93 94 95 96 97 98 98 98 99 99 100 La représentation du sauvage Exercices d’approfondissement Frontispice de L’Encyclopédie… É. Vigée-Le Brun, Autoportrait… Q. de la Tour, Portrait de la Marquise de Pompadour 1 D. Diderot, Encyclopédie, article « Réfugiés » 2 J.-J. Rousseau, Émile ou

La pièce n'a pas vraiment d'intrigue et Molière, en accumulant les scènes, semble poursuivre deux buts : approfondir le caractère de Monsieur Jourdain, en nous en faisant successivement découvrir les différentes facettes, et brosser une série de portraits satiriques de ceux qui, artistes, savants, artisans, aristocrates désargentés, vivent au crochet des bourgeois avides de grimper dans l'échelle sociale. À cette époque où la classe bourgeoise accumulait des fortunes alors que les aristocrates commençaient

universelle. Reprenons l’allusion à Napoléon III : « Je nommai le cochon par son nom ; pourquoi pas ? ». Elle est immédiatement suivie par la mention de deux historiens, l’un latin, Tacite, l’autre italien du XVIème, Guichardin, qui dressent le portrait de deux tyrans, Vitellius et César Borgia : le présent de l’auteur est raccroché à un passé antique et renaissant comme pour l’inscrire dans une histoire universelle, qui dépasse le singulier pour viser l’universel. Trois figures littéraires,

coryphée (théâtre antique) mais ce perso ne peut être objectif car il appartient à la pièce. Rareté des portraits “Le personnage, sur scène, est d’abord appréhendé à travers l’acteur” (MCH) La perception de sa personne est immédiate. Le portrait d’un personnage est fait souvent par un autre perso, exemples, le portrait de Thomas Diafoirus par son père dans Le Malade Imaginaire, les portraits que fait Célimène dans Le Misanthrope (nous renseignent plus sur Célimène que sur les perso qu’elle décrit)

qui s'est passé en dehors de la scène et de montrer les réactions des personnages qui l'écoutent. - Le portrait: au théâtre, le portrait des personnages est réparti sur les didascalies, la mise en scène et les dialogues. Ces éléments peuvent mettre en relief un aspect particulier du personnage. Il arrive aussi que les didascalies, la mise en scène ou un dialogue dressent de véritables portraits. B/. Une esthétique de la parole. La parole étudiée contribue à rythmer la scène. - La stichomythie: