Portrait D Emma Bovary

sur des procédés : 1) VISUELS : la lettre O pourra être associée à un personnage gros, la lettre I à un maigre… 2) ACOUSTIQUES : onomatopées 3) ARTICULATOIRES : T.K évoque le coup 4) MORPHOLOGIQUES : qui ne lira pas « bœuf » dans « Bovary » II- Balzac, « Z. Marcas » (une de ses nouvelles) : ou la motivation explicite du nom propre → Elaboration d’une théorie du nom propre tel une matrice de la vie du personnage. Chiffré, codé, le nom propre anticipe sa destinée. « Entre les

son caractère antithétique du héros classique. ( voir absurde) 1) Bouleversement a. Rupture avec le passé b. Couleurs mort/vie c. Nature : soleil= mort 2) Portrait a. Portrait antihéros (maman, paradoxe de ses phrases..) b. Confrontation/ différences Pérez/Meursault c. Rapport à l’enterrement En effet, nous parlons de bouleversement dans la vie de Meursault, Bouleversement

Il se permet évidemment des amours ancillaires : «Qui sait même si vous n’avez jamais tâté d’une petite bobonne comme celle-là. Je vous dis que tout le monde en fait autant», lui déclare l’abbé Picot qui ne s’en formalise pas ! Paul, dont le portrait rappelle étrangement celui de son père, a été conditionné par lui, et les déceptions multiples qu’il cause à sa mère ne sont que la répétition de celles qu’elle a connues avec Julien. Rosalie n’est pas seulement la servante au grand coeur : elle

Lecture analytique n°2 - Incipit de Madame Bovary, G. Flaubert, 1857 Étudier les choix de l'auteur : ____________________________________________________________________ ? Eléments pour l’introduction « Il y a en moi, littéralement parlant, écrit Flaubert en 1852, deux bonshommes distincts : un qui est épris de gueulades, de lyrismes, de grands vols d’aigles, de toutes les sonorités de la phrase et des sommets de l’idée ; un autre qui creuse et fouille le vrai tant qu’il peut. » De fait, l’opposition

dans les ténèbres. - Un pouvoir magique . son regard aveugle Tressignies, ensorcelé par son éclat quasi insoutenable. . la lumière n’a pas d’effet sur son visage (dernière phrase) . c’est elle qui mène le jeu, malgré les apparences. Conclusion Un portrait flamboyant, mais ambigu et mystérieux, à même de susciter des interrogations chez le personnage (et chez le lecteur !) 11FRSEME-LR-CE1-3-C Page 3 sur 5 DISSERTATION Un personnage de roman doit-il être séduisant pour susciter l'intérêt du lecteur

des chemins arrive dans une petite communauté bien huilée où chacun a sa place. Arrivant de l’extérieur, il bouleverse ce petit monde avec son savoir-faire, son énergie hors du commun et ses talents de conteur. Germaine Guèvremont dresse ainsi le portrait fantasmatique de cet homme libre et mystérieux qui possède tous les talents. Il n’est certes pas parfait car il est porté sur la boisson. Elle oppose le Survenant aux habitants de Chenal du Moine qui vivent sur leur terre dans la tradition rurale

arrivent au gr des dplacements du personnage ainsi passe-t-on du restaurant sur le trottoir et la rue. Maupassant joue sur le pass simple ds le dpart qui donne de la vivacit puis limparfait, notamment dans le dernier consacr plus particulirement au portrait. 2-Le caractre raliste de cet incipit est visible dans les thmatiques et les descriptions ( Lomniprsence du thme de largent trait en dtail grce ce qui peut tre considr comme le discours intrieur du personnage retranscrit au discours indirect

Mme de Lafayette appelle la sensualité et l’union des corps. La sensualité est par exemple très présente dans la scène du pavillon de Coulommiers : la nuit, la chaleur, une toilette négligée, les regards passionnés que Mme de Clèves jette sur le portrait du Duc de Nemours, son application à orner de rubans la canne des Indes, tout cela amène un érotisme diffus mais évident. 3- Force dévastatrice de la passion amoureuse . Si l’amour ne se commande

distingue, par exemple, de la description réaliste (qui ne dédaigne pas les termes techniques) et celle du Nouveau Roman (qui prend parfois l’aspect d’un compte rendu). * Le personnage comme signe . L’ « être » du personnage : nom et portrait * Le nom : L’être du personnage dépend d’abord du nom propre qui, suggérant une individualité, est l’un des instruments les plus efficaces de l’effet de réel. Les personnages doivent d’abord leur densité référentielle à ces noms complets, tels

qu’il est écrit », ligne 11, et datation du repas «  il y a douze ans » ligne 43 (texte A) ; date de 1917 et allusions à une « affaire » (texte D), ancrage dans un passé présenté comme réel : 0,5 pt - présence d’un autoportrait (texte A) et d’un portrait (texte D) du personnage principal : 0,5 pt - éléments d’autobiographie fictive : témoignage réel du narrateur externe et interne dans le texte A, du narrateur dans le texte D (0,5pt) On valorisera les copies qui auront aussi décelé la présence du