Portrait De Cosette

retrouve mère célibataire. Elle quitte Paris_, confie sa fille Cosette, à un couple d’aubergistes sans scrupules, les Thénardier, et trouve du travail à Montreuil-sur-mer, dans la fabrique de M. Madeleine. Elle sera congédiée sans ménagement, et à l’insu de M. Madeleine, par une surveillante des ateliers qui a appris qu’elle avait un enfant sans être mariée. Elle doit impérativement continuer à travailler pour payer la pension de Cosette aux Thénardier._ Qu’est-ce que c’est que cette histoire de

aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine, Azelma et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent les deux destinées de Fantine et de Jean Valjean. Le livre s'ouvre sur le portrait long et détaillé de monseigneur Myriel, l'évêque du diocèse de Digne, où il vit très modestement en compagnie de sa sœur Baptistine

Ecrit d’invention le portrait de monsieur Thénardier Le mari, monsieur Thénardier était encore plus grand et gras que sa femme. C’était un ivrogne doublé d’un formidable voleur. La nuit lorsqu’il n’était pas trop saoul, il allait dérober des écus dans les bourses des clients de sa pension. Il était très habile pour les arnaquer, ce qui provoquait chez lui un énorme rire gras quant avec la Thénardier ils en avaient entourloupé un de plus. Il passait sa journée avachi dans le fauteuil du salon

effort et ils peuvent modifier la loi juste de les favoriser. D’autre part, le prolétariat a détesté la bourgeoisie parce qu’ils exploitent et profitent des force de travail. Toutefois, le livre Les Misérables décrit le mode de vie d’un prolétaire, Cosette et Fantine et donc il s’agit dit de parler plus en détail du prolétariat. Le niveau de vie Le niveau de vie était très faible pour les prolétariens. Ils avaient seulement un peu d'argent, même pas assez pour acheter de la viande. À la suite ils

différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Tome I : Fantine [modifier] Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très chichement dans son diocèse de Digne en compagnie de sa sœur Baptistine

ans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par le portrait d'un évêque, Monseigneur Myriel. Il vit très chichement dans son diocèse de Digne en compagnie de sa sœur Baptistine et d'une servante, Madame Magloire. Ce religieux est un juste qui se contente du strict nécessaire pour distribuer le reste de ses économies aux pauvres. Doué d'un amour immense, il laisse sa porte grande ouverte et fraternise avec ceux que la société rejette. Son

retrouve mère célibataire. Elle quitte Paris, confie sa fille Cosette, à un couple d’aubergistes sans scrupules, les Thénardier, et trouve du travail à Montreuil-sur-mer, dans la fabrique de M. Madeleine. Elle sera congédiée sans ménagement, et à l’insu de M. Madeleine, par une surveillante des ateliers qui a appris qu’elle avait un enfant sans être mariée. Elle doit impérativement continuer à travailler pour payer la pension de Cosette aux Thénardier. Qu’est-ce que c’est que cette histoire de Fantine 

Les Misérables Introduction : 1°) Le sujet : Je vais vous présenter «Les Misérables » de Victor Hugo,à travers l’ histoire d’ un personnage en particuliers celui de Cosette ainsi que le contexte social en lien avec le titre du roman. 2°) L’auteur : Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon. Son père s’appelait Léopold( né à Nancy en 1773 et mort à Paris en 1828), il était un officier dans l’armée de Napoléon 1ER. Sa mère s’appelait Sophie( née en 1772 et morte en 1821

l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire[3] ) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page de la littérature française dédiée à la patrie. Au moment où il écrit ce livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France par des amis qu'il charge de vérifier si tel coin de rue existe, il retranscrit

Les Misérables, Victor Hugo, paru en 1861 Tome II (Cosette), Livre III, chapitre 2: « Deux portraits complétés » De «  Nous croyons qu’il avait étudié en Hollande » à « Thénardier était un homme d’Etat. » PREMIER REGARD SUR LE TEXTE Texte descriptif: resserrement sur le portrait de M. Thénardier. 6 paragraphes: alternance entre grand paragraphe et petit. Le petit paragraphe apparaît comme la conclusion du grand qui précède et la transition à celui qui suit. Date: 18 juin 1815 Révélation