La vie sociale et familiale au début du 19e siècle
Les classes sociales
Au début du 19e siècle il y a trois classes sociales substantiellement différentes. Tout d'abord, il y a l'aristocratie. L'aristocratie se compose seulement quelques personnes, mais ils sont très riches et ils possèdent le pouvoir politique dans le pays. Ce n’est pas possible de devenir un aristocrate par le travail, par exemple, mais en étant né dans l’aristocratie. L’aristocratie modifier la loi pour les favoriser et exploite et domine le reste de la population. En général, ils sont très naïfs et égoïste. Néanmoins, Victor Hugo, l’auteur de Les Misérables, était enseigné et il a argumenté et combattu contre l’injustice sociale et la liberté de la presse. Puis, il y a la bourgeoisie. La bourgeoisie a beaucoup d'argent et ils ont eu le pouvoir de la production dans la révolution industrielle, qui le distingue de la classe inférieure. La bourgeoisie normalement employait des travailleurs et ils peuvent bien vivre de leur argent. Mais, il y a aussi le prolétariat, la classe sociale la plus basse. Ils sont des travailleurs qui bossent dans les usines. Ils font le travail le plus sale et ils n'ont pas beaucoup d'argent. Les relations entre ces classes sont conflictuelles. D’une part, la bourgeoisie a détesté l'aristocratie parce qu’ils ont des privilèges sans aucun effort et ils peuvent modifier la loi juste de les favoriser. D’autre part, le prolétariat a détesté la bourgeoisie parce qu’ils exploitent et profitent des force de travail. Toutefois, le livre Les Misérables décrit le mode de vie d’un prolétaire, Cosette et Fantine et donc il s’agit dit de parler plus en détail du prolétariat.

Le niveau de vie
Le niveau de vie était très faible pour les prolétariens. Ils avaient seulement un peu d'argent, même pas assez pour acheter de la viande. À la suite ils ont dû manger des pains avec beurre et autre nourriture à prix bas. Ils partageaient aussi des maisons très petites avec seulement deux