Portrait De Frankenstein

funéraires » (p. 19) ; 2 — des images macabres : la marchande de bijoux faux « enfermée dans une des armoires », tel un cercueil (p. 18), la muraille « toute couturée de cicatrices » qui fait songer au personnage de mort-vivant crée par Mary Shelley, Frankenstein ; — une atmosphère sombre et pesante qui évoque la mort : « obscures » (p. 17), « écrasées » (p. 17), « noire » (p. 18), « souterraine » (p. 19) ; — le champ lexical de la peur et de l’étrange qui renvoie à la peur de la mort : « formes bizarres

400 p..- Terreur Sadoul, Barbara.- La Dimension fantastique. 1.- EJL, 2000.- 154 p..- Librio, 150.- Notices biographiques.ISBN 2-290-33532-0 Contient : E. T. A. Hoffmann : L'homme au sable. - Théophile Gautier : la cafetière. - Edgar allan Poe : Le portrait ovale. - Gérard de Nerval : Le monstre vert. - Erckmann-Chatrian : la montre du doyen. - Alphonse Daudet : l'homme à la cervelle d'or. - George Sand : L'orgue du Titan. - Villiers de l'Isle-Adam : Véra. - Guy de Maupassant : la chevelure. - Lovecraft

laissé aux moralistes et poètes mais pas pour les médecins. « Pas obligé à autant de sévérité que les médecins » Monomanie = proprement dite : mélancolie maniaque, fureur maniaque. Lypémanie (luppet = chagrin/ mania = délire) tristesse maladive. Portrait typologique du mélancolique. 2) La mélancolie Romantique Le Romantisme = sensibilité nouvelle qui a valorisé l’imaginaire allant jusqu’à la fascination pour la bizarrerie. Exaltation de l’individu, le cœur, les passions. Exalte le cœur comme

le chardon bleu des sables. SEQUENCE II L’Etranger, d’Albert Camus, 1942. Le personnage de roman du XVIIème siècle à nos jours Problématique Le personnage de roman doit-il être un héros ? Meursault ne correspond pas du tout au portrait du héros traditionnel de l’univers romanesque. Pourtant, il fait partie des personnages extrêmement vivants dans la mémoire des lecteurs. Comment l’expliquer ? L’objectif est donc de montrer que le personnage de roman dans L’Etranger échappe au modèle

J. Joyce : Ulysse Chaucer: Les Contes de Canterbury W. Shakespeare: Hamlet M. Shelley : Frankenstein C. Dickens: Oliver Twist H. G. Wells : La guerre des mondes Et tant d’autres…Auteurs, œuvres et mouvements littérairesCite une

texte permettra d’y repérer divers registres : le pathétique s’y mêle au tragique de manière subtile. Chateaubriand jeune, à l’époque où il n’était qu’un jeune aristocrate de province. Chateaubriand en écrivain romantique (voir plus haut le portrait peint par Girodet). 2 David-Paul Bianciardi – Cours de Lettres. 2) LIRE JE PROCÈDE À LA LECTURE DU TEXTE. (LA LECTURE ANALYTIQUE PORTE SUR LE PASSAGE SUIVANT) La maison qu'habitaient alors mes parents est située dans une rue sombre

se libérer d’une partie trop prenante de soi ; enfin, c’est une volonté de justifier son existence dans une recherche d’une forme d’immortalité. L'écriture est pour l'écrivain le moyen de transmettre un récit, une intrigue, une description, un portrait, un sentiment, une émotion. C'est aussi le moyen de créer sa propre langue. Chaque écrivain possède son style, sa manière de construire l'histoire, de construire les phrases, d'utiliser les mots. Chacun utilise, autant qu'il crée, ses techniques

Princesse de Clèves de madame de la Fayette (1678). A l’opposé des romans baroques, l’intrigue y est dépouillée, et vraisemblable, réduite à une seule ligne narrative : il y a une unité d’action qu’on ne trouvait pas jusque là dans le roman. Les portraits du Duc de Nemours et de mademoiselle de Chartres sont à la mesure de la magnificence de la Cour. Tous les traits du personnage contribuent à refléter les traits idéaux d’une personne attachée à la cour prestigieuse de Henri II : « Ce prince était

que détient le mythe de condenser nos terreurs et de nous les renvoyer dans l'espoir de quelque catharsis.  Hermann Mac Coolish Rotenberg Caistria : L’homme épingle (1809) Ernest Théodore Amadeus Hoffmann : L'homme au sable (1817)Mary Shelley : Frankenstein ou le Prométhée moderne (1818)Edward S. Ellis : Steam Man of the Prairies (1865)Luis Senarens : L’Homme électrique (1885)Filippo Tommaso Marinetti : Poupées électriques (Elettricita) (1909)George Bernard Shaw : Pygmalion (1913)Gustav Meyrink : Le

faire geste créateur. Le geste créateur, quel qu’il soit, ne peut pas se placer sur le plan d’une annulation ou d’une annihilation de ses propres créatures, quelles qu’elles soient — si monstrueuses, même, qu’elles puissent être (l’histoire de Frankenstein vient nous le rappeler, qui se révolte contre les hommes qui l’ont abandonné ; mais l’histoire de M. le Maudit, monstre d’une autre sorte, souligne que le cinéma s’ingénie à mettre en relation et d’une certaine façon à parité, sinon à égalité,