Portrait De Valmont

donc, un libertin au XVIIIe siècle est une personne aux pratiques érotiques choquant la morale (adultère, sadisme, multiplication des conquêtes amoureuses…). Thèmes de ce roman : amour passion (Mme de Tourvel) vs libertinage (Vicomte de Valmont et Mme de Merteuil), éducation des femmes Thèse du roman : l’éducation des femmes est impossible dans une société où elles sont réprimées par les hommes Histoire du roman : cadre = Paris Personnages

critique de son propre nez B) Sens de la répartie Grâce à son éloquence, Cyrano répond au Vicomte de Valmont « Vous…vous avez un nez…heu…un nez…très grand » Il met au service son éloquence pour répondre et donc pour l’autodérision. Mais au fur et à mesure de la tirade, Cyrano nous fait oublier qu’il parle de son propre nez. -Spontanéité -Jeux de mots (esprit/lettres) -Multiplicité Axe : le portrait de Cyrano 1) Éloquence (L’éloquence suppose une certaine intelligence) 2) Dérision/Autodérision 3)

sa propre éducation elle s ‘est forgée son propre avis, elle se suffit, elle est unique car elle n’est pas comme les autres femmes qui agissent comme leur éducation leur imposent d’agir. Elle est supérieure aux autres femmes. Elle construit son portrait par opposition aux autres personnes de son sexe « mais ». Elle ne veut pas être comme les autres femmes, elle en parle de façon péjorative « ces femmes » Elle est différente par son passé, contrairement aux autres (madame de Tourvel ou Cécile

des Lumières. Paru en 1782, il est divisé en quatre parties, et composé de 175 lettres. Scandaleux, par sa description du libertinage, il reste longtemps interdit. Il raconte les manipulations libertines de la marquise de Merteuil et du vicomte de Valmont vis-à-vis des jeunes aristocrates, la présidente de Tourvel et Cécile de Volange. Dans ce roman Laclos dénonce l'immortalité du libertinage, les jeux cyniques de séduction, les perversités du milieu privilégié se faisant un loisir de jouer avec les

la dépravation, dans Les Liaisons Dangeureuses de Laclos, avec Valmont et Merteuil qui se lancent des défis d’amours.Ainsi, par le contexte dans lequel évoluent les amoureux inventés par le romancier, ce dernier peut imposer un regard sur la société . De plus, les personnages fictifs sont caractérisés , par des portraits, mais aussi par leurs actions et leurs relations aux autres. Leurs amours contribuent donc à affiner leur portrait. Ainsi, à travers le récit d'aventures amoureuses, le romancier

couple de libertin : la Marquise de Mertueil et le Vicomte de Valmont dont le plaisir consiste à corrompre de jeunes gens naïfs. La lettre 81 se situe au centre du roman, la Marquise de Merteuil répond aux avertissements que lui a prodigué le Vicomte de Valmont au début du roman, il s’agit de la plus longue lettre de la Marquise de Merteuil, elle l’utilise pour révéler les secrets de son pouvoir. Nous nous demanderons alors quel portrait la Marquise de Merteuil fait-elle d’elle même. Pour répondre

à maîtriser ses sentiments, elle est bien décidée à tout faire pour maîtriser ses actes. Elle souhaite à nouveau fuir celui qu'elle aime, mais son mari lui intime l'ordre de ne changer en rien sa conduite. Puis Nemours dérobe sous ses yeux son portrait. Elle se tait, craignant à la fois de dévoiler publiquement la passion que ce prince éprouve pour elle et d'avoir à affronter une déclaration enflammée de cet amoureux passionné. Nemours qui s'est aperçu que la princesse de Clèves avait assisté à

d’asservir l’autre à son propre désir, de le dominer, de le séduire pour le corrompre et l’humilier. L’exemple type est le Vicomte de Valmont qui, dans les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, détourne la Présidente de Tourvel de ses principes moraux. C’est ce fait que décrivent également les textes 1, 2 et 3 du corpus. Madame de Merteuil, se vente à Valmont de faire des hommes le jouet de ses caprices et de ses fantaisies, de les maîtriser. Dans le roman anonyme Thérèse philosophe, la narratrice

paraître redoutable, mais faille : seul danger, c’est laisser entendre à Valmont qu’elle est manipulatrice machiavélique. Elle veut se mettre au même niveau que Valmont. En livrant la clé de sa personne, offre des armes dont il pourrait se servir. Son orgueil la rend imprudente La suite du roman montre que malgré ses efforts, la femme reste une créature inférieure. Conclusion On a l'approfondissement du portrait de Merteuil : elle apparaît égocentrique, hypertrophiée, et son côté libertin

Mme de Merteuil et Valmont (et aussi Prévan), évoquent tous les sens énumérés ci-dessus : ce sont des êtres libres, qui se sont émancipés de toutes les contraintes, sociales, morales, religieuses ; ils vivent le plus librement possible et se laissent guider par leurs désirs ; séduire est leur passe temps favori et ils ne reculent devant aucune vilenie pour parvenir à leurs fins. Mme de Volanges donne sa définition du libertin pour mettre en garde Mme de Tourvel contre Valmont : " Vous ne connaissez