Portrait De Vautrin

ce changement de nom auprès du roi. Il ne l’obtiendra pas dans Illusions perdues, mais, plus tard, dans Splendeurs et misères des courtisanes, roman dans lequel il devient Lucien de Rubempré, un personnage lâche et sans scrupules, marionnette de Vautrin, le prêtre rencontré à la fin des « Souffrances de l’inventeur ». Il représente un idéal de beauté, qui devient, puisque sa poésie n’est pas reconnue, son seul atout pour réussir dans le monde. Ève Chardon La sœur de Lucien est une très belle brune

fonction des désirs du public, pour le plaire. Le roman populaire type est celui qui a une histoire attachante où le mouvement et l´action sont essentiels. La vraisemblance n´est pas tellement importante. Les descriptions ne sont pas abondantes, les portraits sont faits à grands traits et en ce qui concerne les dialogues, sont vifs. Normalement, tout doit bien se terminer et l´histoire est souvent réelle de deux amoureux séparés qui finissent par se retrouver après des nombreux obstacles. Les personnages

soit par ressemblance, soit par contraste : ' à la laideur s'oppose l'éclat, la splendeur de madame de B ; - à l'hypocrisie de V. correspond l'hypocrisie de Michonneau - les comparaisons animales se retrouvent dans le portrait de Poiret, au laisser aller de V s'oppose la volonté de Vautrin et de Rastignac - le règne de l'argent et l'hypocrisie se retrouvent dans tout le roman - l'importance du milieu est montrée par l'importance accordée a Paris dans le roman .. Donc la description a une valeur narrative

faire de la santé de leurs mineurs. De plus, chaque romancier créé son propre réel; il le métamorphose. Par exemple dans Germinal, Zola compare la mine à une bête vorace qui dévore les mineurs. De même lorsque Flaubert dans le Père Goriot, compare Vautrin à une créature du diable. b) Le style descriptif a pour but de la part des romanciers réalistes et naturalistes de sensibiliser les lecteurs à la difficulté de vie de leurs personnages en insistant par une description détaillée sur les conditions

des Lumières, évoquent des personnages divers décrits précisément par les écrivains. On peut alors se demander en quoi précisément ces personnages sont rendus antipathiques. Nous verrons que les personnages sont décrits sans complaisance, que les portraits sont construits de manière péjoratifs, et que les personnages des textes B et C sont orgueilleux. Tous les personnages sont décrits sans complaisance car les auteurs recherchent la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à

Le père Goriot, 1835 OE: le roman et la nouvelle au XIXe s. Citation: « Hors de sa passion, vous le voyez , c'est une bête brute. Mettez sur ce chapitre-la son visage étincelle comme un diamant. » Vautrin a propos de Goriot Intro: les thèmes qui parcourent l’œuvre sont ceux de 1819, on est sous le règne de Louis XVIII après l'effondrement du premier Empire. De nouvelles classes émergent avec les révolutions industrielles, l'enrichissement de

d’obtenir ce changement de nom auprès du roi. Il ne l’obtiendra pas dans Illusions perdues mais, plus tard, dans Splendeurs et misères des courtisanes, roman dans lequel il devient Lucien de Rubempré, un personnage lâche et sans scrupules, marionnette de Vautrin, le prêtre rencontré à la fin des « Souffrances de l’inventeur ». Il représente un idéal de beauté, qui devient, puisque sa poésie n’est pas reconnue, son seul atout pour réussir dans le monde. Ève Chardon La sœur de Lucien est une très belle

comprend quatre-vingt-onze romans achevés et quarante-six autres à l'état de projet. Elle met en scène plus de deux mille personnages, des « types » (selon leur créateur) devenus presque des mythes littéraires, comme le père Goriot, Rastignac ou Vautrin. [pic]   II- Littérature industrielle: Issu d'une famille bourgeoise (le père de Balzac était directeur des vivres de la 22e division militaire de Tours), Honoré de Balzac naquit le 20 mai 1799 à Tours. Deux filles et un garçon virent le jour

réunit avec ses deux filles « … il se souvient des pures émotions de cette vie calme, il se rappela des jours passée ». L’emploie du passé simple accentue le fait que la relations de Rastignac et des siens est terminée. 3. Outre Mme de Bauséant et Vautrin, d’autres personnages se révèlent êtres des adjuvants précieux pour Rastignac. Tout d’abord, sa mère, qui l’aide financièrement afin de s’habiller correctement et entrer dans la haute société. Vient aussi Delphine, qui lui apprend à aimer et l’aime

cherche à s’insérer dans la société parisienne. Il lui manque les manières et l’argent. Pour parvenir, il côtoie les femmes du monde, mais reste attaché à son voisin de la pension Vauquer, le père Goriot, vieillard malheureux abandonné de ses filles . Vautrin, forçat évadé, Marsay, politicien ambitieux, et Rubempré, écrivain talentueux, sont animés du même désir de pouvoir. Ils apprennent, chacun à leur manière, les complicités et les alliances indispensables dans une société gouvernée par les intérêts