Portrait Des Personnages Des Miserables

long éclat de rire », une scène de rue dramatique et vivante. Dans un second temps, du début de la deuxième strophe à « Le pain est cher », le portrait d’une jeune femme qui lutte courageusement contre la misère, avant d’étudier, dans la dernière strophe, de « O jeunesse ! Printemps ! » la déchéance morale inévitable et tragique du personnage. De manière surprenante pour le lecteur, qui rattache le titre de « Melancholia » au caractère artiste de création du beau vanté dès Aristote,

Fiche de lecture « L’île des esclaves » * | Personnages principaux : Iphicrate, général athénien. Sa chute sociale est caractérisée par la perte de son épée et de ses habits de maître. Il est humilié. Arlequin dit que son ancien maître est extravagant et misérable. Arlequin est le servant d’Iphicrate et deviendra maître au même titre que Cléanthis. Il profitera de son statut de maître, mais se montrera peu rancunier envers son ancien maître. Euphrosine, citoyen d’Athènes, est la maîtresse

notamment les comparaisons misent en œuvre dans chaque texte que les personnages sont très différents mais qu'ils sont l'un et l'autre inquiétants. Ce corpus est constitué de deux textes romanesques écrit par des auteurs du milieu du XIXe siècle : T.Gauthier et V.Hugo. Ces textes ont été rassemblés parce qu'ils produisent tous deux le même effet sur le lecteur : l'inquiétude. Pourquoi peut-on dire que malgré leurs différences les personnages sont tous deux dérangeants ? Après avoir analysé la description

ER-RHIF Lamia 2nde 4 Maupassant, La Parure, 1884 Cet incipit dresse un portrait psychologique de Madame Loisel. En effet, tout au long de la lecture on ne relève que très peu d’indications sur le portrait physique du personnage. L’auteur présente sa condition sociale en appuyant sur la souffrance et la détresse dont elle fait preuve. On la présente tout de suite comme une victime. Cette victimisation se caractérise par des phrases comme « nées, comme par erreur du destin » ou encore « Elle souffrait

l'homme », 1688 Texte B : Diderot et D’Alembert, Encyclopédie, article "Misérable", 1751-1772 Texte C : Victor Hugo, Le discours sur les caves de Lille prononcé à l’Assemblée le 30 juin 1850 Texte D : Albert Camus, L’homme révolté, 1951 ECRITURE d’une introduction de commentaire littéraire. SEQUENCE N° 2 : Le monstre dans la littérature romanesque Objet d’étude et perspective d'étude principale Le roman et ses personnages : visions de l'homme et du monde Approche de l'histoire littéraire et

DISSERTATION Un personnage de roman doit-il être séduisant pour susciter l'intérêt du lecteur ? Vous répondrez à cette question dans un développement ordonné qui s'appuiera sur les textes du corpus et sur vos lectures personnelles. Pour attribuer la note maximale de 16 pts, on n’attend pas que le candidat reprenne le plan proposé ci-dessous, ni même qu’il adopte un plan en trois parties. L'exercice sollicite une pensée organisée, nourrie d'exemples suffisamment variés et maîtrisés. Un

= marque l’esprit de Hugo, servira de modèle au personnage de Jean Valjean dans Les MisérablesProblématique : quels sont les éléments qui permettent à Hugo de tirer une leçon de cet épisode ?Mouvements du texte1er mouvement : Un double portrait contrasté entre les deux personnages. (« … qui la regardait »)2ème mouvement : Il tire une leçon de ce qu’il a vu 1er mouvement : Un double portrait qui montre contraste entre les deux personnages. (« … qui la regardait »)1ère idée : Hugo est le

Notre dame de Paris- texte 1Intro:· Le romantisme est apparu au début du XIXème siècle en France, ce nouveau genre se caractérise par l’expression des tourments du cœur et de l'âme. VH, écrivain du XIX,connu pour ses romans tels que “les misérables” est le chef de fil de ce mouvement. C’est un homme de très grande renommée et influence : intellectuel engagé, politicien, poète, romancier, dramaturge, il a marqué son siècle par ses engagements et sa production littéraire. "Notre-Dame de Paris”, de

1. Portrait a charge de Quasimodo L’énumération d’adjectifs épithètes « larges pieds » l2« grosse tête chevelue »l3 « mains calleuses »l6 et l’imparfait « semblaient »l2 « s’enfonçait »l3 . Description très précise , permet au lecteur d’imaginer le portrait physique dépréciatif du personnage. Par les métaphores « ses larges pieds semblaient aussi solides que les lourds piliers romans » l3 et comparaisons « comme celle des lions »l4 hyperboliques . Donne l’impression d’un personnage brute

Problématique : Quel portrait de Nana se dessine dans ce passage ? I – Un personnage naturaliste a – Aux origines de Nana : le déterminisme biologique Le début du passage analyse les origines de Nana. On retrouve ici les théories naturalistes de Zola : le personnage de Nana s'explique par une loi héréditaire implacable, forme de déterminisme biologique (cf. vocabulaire se rapportant a l'hérédité : ≪ quatre ou cinq générations d'ivrognes ≫, ≪ le sang gâté ≫, ≪ longue hérédité ≫). Zola dira