Portrait Des Personnages Des Miserables

Cette chambre était quasiment vide, quelques objets la remplissaient. C’était monotone. Le corps était étendu sur le lit. Ensuite, les personnages féminins, présents autour du cadavre, présentent un caractère réaliste. Elles sont identifiables socialement : il s’agit de cinq courtisanes, représentatives de leur époque. En effet, il n’est pas de personnage important, sous le Second Empire qui n’entretienne une courtisane. Elles sont désignées ici par leur surnom, qui est aussi souvent un pseudonyme :

représentation de la stricte réalité. Objet d'étude : « Le roman et ses personnages : vision de l'homme et du monde » Problématique : En quoi l'écriture réaliste des romanciers du XIXème dépasse-t-elle la simple reproduction du réel ? Textes analysés en lecture analytique ← L.A n°1 : « Le portrait du père Grandet », Eugénie Grandet (1833), Honoré de Balzac ← L.A n°2 : «La mort de Gavroche », Les Misérables (1862), V, 1, Victor Hugo ← L.A n°3 : « La découverte du Voreux »

TERRIBLE DE LA MISERE. 1) Un personnage totalement indéfini. Plrs fois « l’homme » / « il » généralisation Sur représentation présent indicatif de vérité généralfait non pas unique, mais généralisé et donc reproductible GRAVITÉ DE LA SITUATION Obsession intérieur : il a faim, pas manger. V.26-34 obsession de pensée, v.21-23 geste non maitrisé mais répété V 17-18 V.43-53 2 idées fixes, la tête à déguster / le café crème Portrait psychologique du personnage très dégradé Personne à la fois

lui pousse à réviser son action ; il entame une carrière politique. Elu à l’Assemblée constituante en 1848, il prend position contre la société qui l’entoure (peine de mort, misère, ordre moral, religieux). C’est en 1862 que l’écrivain termine les misérables. Opposant farouche à Napoléon III (au coup d’Etat du 2 décembre 1851), il s’exile de 1851 jusqu’en 1870. Installé à Jersey et Guernesey, il écrit « les Châtiments » et les « Contemplations ». De retour en France, à plus de 60 ans, il entame la rédaction

Les Misérables est un roman de Victor Hugo paru en 1862. Ce roman, un des plus populaires de la littérature française, a donné lieu à de nombreuses adaptations au cinéma. Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du xixe siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean qui n'est pas sans rappeler le condamné à mort du Dernier Jour d'un condamné ou Claude Gueux. C'est un roman historique, social et philosophique dans lequel on retrouve

pour le 10 mai 2011 Les différents mouvements du romantisme, naturalisme, et réalisme donnent naissance à des personnages tels qu’ils sont réellement avec leur qualité et leur défaut d’Homme. Adhérer, aimer, comprendre ou mépriser le personnage principal qui ne se contente plus d’être un héros mythique, idéal ou parfait. C’est un être vivant qui aime, déteste et détruit. Le personnage romanesque est une création personnelle de son auteur qui répond à un projet artistique complexe et relève de plusieurs

conte de fée) a) Le Schématisme des personnages Recours au nom-portrait « Thunder-ten-tronckh », sons durs, germaniques, Thunder = tonnerre, allitération en « t » = idée de cacophonie (bruit, vacarme). « Candide », nom qui ne sonne pas germanique, qui annonce son caractère et prépare sa physionomie. « Pangloss », construit à partir de deux mots grecs (symbole (et cliché) du savoir), Pan = tout, gloss = langue : Il parle toutes les langues. Réduction de personnages à un détail « Cunégonde » = nourriture

droit afin d'obtenir un diplôme de bachelier trois ans plus tard. Ensuite, il est donc placé comme jeune clerc chez un avoué qui est un ami de son père, Merville, un homme cultivé, passionné de lettres. Son expérience lui permettra de créer son personnage, Me Derville dans « Le colonel de Chabert », retrouvé dans une étude d'avoué du premier chapitre du roman. Se désintéressant du droit, il s'oriente vers la philosophie puis du journalisme avant de se consacre pleinement à la littérature pour rechercher

brandissant les armes. Quatre personnages se représentent au premier plan avec, à leurs tête une femme. A leur pied gisent des soldats. A l’arrière-plan apparaissent les deux tours de Notre-Dame de Paris. Composition du tableau : L’action principale de l’œuvre est contenue dans un triangle dont le sommet se situe au niveau du poing de la femme et la base légèrement au-dessus des gisants. Cette composition triangulaire permet à DELACROIX d’élever le personnage central (La Liberté) au-dessus

Le personnage de Tamango Tamango, « guerrier fameux et vendeur d’hommes » (p. 16), est un Noir au physique imposant qui s’affuble d’oripeaux ridicules pour tenter d’impressionner Ledoux lorsqu’il lui vend des esclaves. Il participe au commerce négrier en troquant ses congénères contre « de mauvaises cotonnades, cinquante fusils mal raccommodés, trois barriques d’eau-de-vie » (p. 20). Violent, il n’hésite pas à tuer froidement une esclave mère de trois enfants. Finalement réduit à partager le sort