Portrait Du Malade Imaginaire

Le Malade Imaginaire acte 2, scène 5Introduction: La comédie est une pièce de théâtre destinée à provoquer le rire par le traitement de l'intrigue, la peinture satirique des mœurs, la représentation de travers et de ridicules. Molière un comédien et dramaturge du XVIIème siècle compose de nombreuses comédies dont Le Malade Imaginaire en 1673, son œuvre tourne autour d’argan, qui est donc dit malade mais qui ne l’est pas réellement, on suit donc diverses histoires

l’on dénigre la profession de médecin. Ici le personnage du docteur Rieux, dont je vais vous présenter le portrait, possède une place originale dans le roman et incarne, un idéal d’humanité, à la fois pathétique et simple qui a sans doute permis à Albert Camus d’acquérir une certaine popularité avec son œuvre. En effet, Rieux possède le rôle de narrateur de cette « chronique » imaginaire, bien que son identité ne soit révélée qu’au tout dernier abord du livre. Le fait d’avoir un narrateur anonyme

Lecture analytique n°11 : Malade Imaginaire, Molière, (1673) Problématique : Comment le portrait mis en œuvre par Molière lui permet-il de développer sa satire des médecins et, plus généralement, de la médecine ? I – T.D fait ses compliments à Argan II – T.D fait l’éloge D’Angélique 1) Injonction du Père Emploi de l’impératif “avancez”, “Faites”+ didascalie = marque l’autorité paternel grâce aux ordres (ordre paternel) ? rhétorique par T.D => montre ses connaissances en règles de convenances

et je reste un moment sans répondre, le temps d’être Jeannot et chéri » (p215). Monsieur  Cousin est tellement seul et désespéré qu’il profite de ses instants afin de se sentir en  vie.                  B) Refus de la résistance ?    3  La métaphore des portraits des deux résistants Jean Moulin et Pierre Brossolette  cherche à comparer le narrateur aux deux résistans afin de montrer que lui aussi est un  d’eux. A un moment donné, Cousin croit pouvoir lutter contre cette résistance «  J’ai  longuement parlé avec Jean Moulin et Pierre Brossolette

moquerie du snobisme de la noblesse. 1671 Les fourberies de Scapin – farce – Les femmes savantes – comédie de mœurs et de caractère – Le Malade Imaginaire – comédie-ballet – Molière s’en prend aux médecins et à ceux qui par peur de la mort leur obéissent aveuglément. 1673 meurt après une représentation du Malade Imaginaire. Pas d’enterrement religieux puisqu’il était comédien. ------------------------------------------------- LA COMEDIE La comédie avant Molière

dans une lettre qu'il écrit et qui est jointe au texte du Misanthrope dans son édition de 1667, voit dans cette comédie le « portrait du siècle » :  Le Misanthrope, seul, n'aurait pu parler contre tous les hommes ; mais en trouvant le moyen de le faire aider d'une médisante, c'est avoir trouvé, en même temps, celui de mettre, dans une seule pièce, la dernière main au portrait du siècle. Il y est tout entier, puisque nous voyons encore une femme qui veut paraître prude opposée à une coquette, et des

1661, il retrouve son publique avec L'Ecole des Maris puis Les Fâcheux. Louis XIV commence à s'intéresser à Molière et lui demande un portrait du chasseur Monsieur de Soyecourt. Après son mariage (tardif) avec Armande Béjart (1662), Molière rédige L'Ecole des Femmes mais commence à s'attirer des ennemis comme les nobles, les précieux et...Corneille. Après Le Portrait du Peintre de Boursault, Molière réplique par l'Impromptu de Versailles et acquiert la totale confiance du roi qui devient parrain

au près du lecteur De plus, ils utilisent des registres qui ont des effets sur les lecteurs, avec l’utilisation de l’ironie comme Voltaire vu dans « Candide » avec la scène de l’autodafé, ou encore le registre comique de Molière dans « Le Malade imaginaire » où Argan hypocondriaque se pense à chaque fois menacé par la maladie et la mort. Le registre comique, qui fait donc rire permet ainsi de faire passer plus facilement les critiques. Il existe aussi le registre merveilleux qui nous plonge dans

du Mal, « Le Balcon », v. 1-25 / Vallès Jules, L’Enfant, ch. I, Ma mère : « Ai-je été nourri par ma mère ? » jusqu’à « Mon second est plein d’étonnement et de larmes »*. Boileau Nicolas, Satires, VI, v. 1-26 / Balzac Honoré de, Le Père Goriot, Portrait de Poiret, de « M. Poiret était une espèce de mécanique » jusqu’à « pourtant des comme ça »*. Chénier, Poésies, « Néère », v. 7 à 32 / Balzac Honoré de, Le Père Goriot, Discours de Vautrin à Rastignac de « Voilà le carrefour de la vie » jusqu’à «

se déroule le récit. En effet il y a très peu de lieus évoqués. On reste cependant sonné par le contenu de ce livre. Elle décrit les relations qu’elle entretient avec le monde extérieur, qui perçoit sa douleur sans vraiment la connaître. C’est un portrait réaliste et émouvant de la vie et de la mort mêlés, d’un mal terrible, d'abord ennemi puis compagnon de vie. • Quelques citations : « Il n’y aura pas de fin heureuse. Autant le savoir d’emblée. C’est une histoire tragique, faite de répétitions