Portrait Du Père Goriot

Dans « Le Père Goriot » l’auteur (Honoré de Balzac) a mis en place un point de vue interne. Il décrit très précisément le corps de Vautrin. On part de haut en bas on parle de « ses épaules larges », « son buste bien développé », « ses phalanges », « poils touffus et roux ardent ». Pour parler après de quelques détails de sa figure « rides prématurées », « signe de dureté ». L’auteur est vraiment très précis il en vient même à parler de sa voix « sa voix de basse taille ». Tous ces éléments donnent

Le père goriot. 1) Un portrait réaliste. Il s'agit de peindre un personnage et de faire croire à sa réalité (effet de réel), tout en obéissant à ses conceptions (Balzatiennes) selon lesquels, le moral et le physique d'un individu sont en étroite correspondance et mérite une attention particulière. Balzac croit en effet aux théories élaborées à partir de 1772 par le suisse Lavater qui établit les principes de la physiognomonie (conaissance des dispositions intellectuelles et morales de quelqu'un

poursuites contre Mlle Gamard. Celui-ci accepte mais souhaite seulement récupérer le portrait de Chapeloud. Surmontant sa répugnance, la baronne rend visite à Troubert. Leur conversation est digne de celle des plus grands diplomates. Flatté dans sa vanité par son interlocutrice qui l’invite à venir jouer au whist chez elle, Troubert accepte le désistement mais la baronne n’obtient pas la restitution du portrait. Mlle Gamard meurt. Les Listomère se voient invités à assister au service funèbre. Seul

COMMENTAIRE LITTERAIRE D’UN EXTRAIT DU PERE GORIOT : LE DERNIER BAL DE MADAME DE BEAUSEANT Principalement connu pour le cycle romanesque, La Comédie Humaine regroupant de nombreux ouvrages, l’un des plus imposants écrivains de la littérature française, Honoré de Balzac publie en 1835 Le Père Goriot dont est issu l’extrait proposé à notre étude. Cet ouvrage met en scène la montée sociale d’un jeune étudiant en droit, Eugène de Rastignac. Il rencontre le personnage éponyme, qui vit dans la pension

société de manière très fidèle, même dans les détails les plus sordides. C’est ainsi qu’émerge les ouvriers, les artisans et les prostituées dans le roman. Balzac est sans doute l’écrivain qui illustre ce genre romanesque à travers son œuvre le père Goriot. Le naturalisme, quant à lui est un mouvement littéraire né dans la seconde moitié du XIXème siècle et qui est attaché à décrire la réalité telle qu’elle est non telle qu’elle devrait l’être. Il a contribué à la prise de conscience des inégalités

la scène et l’intrigue est une épure. L’action se passe dans le vieux New York, d’avant la guerre de Sécession. L’héroïne (Catherine) est une riche héritière. Un coureur de dot (Morris) se présente et gagne rapidement le cœur de la jeune fille. Le père de la jeune naïve en la déshéritant fera fuir l’amoureux. James, dans Washington Square, s’inspire de Balzac essentiellement sur trois points : l’intrigue, la composition, et les personnages 2 . J’ai centré ma séquence sur le personnage pour divers

détail, car pour Balzac, aucun détail n’était trop sale ou inutile. En effet, les minutieuses descriptions de l’ameublement d’une maison, comme par exemple celle de Félix Grandet dans Eugénie Grandet, des costumes comme celui de Mme Vauquer dans Le Père Goriot ou encore des personnages sont d’une précision qui va dans les moindres détails, comme pourrait le faire un cinéaste. Balzac avait une prédilection pour la France, sa province et des campagnes qu’il décrit parfois avec un certain lyrisme et qu’il

leur physique. Certains personnages romanesques se démarquent de la société par leur physique, qu’ils soient particulièrement beaux ou, au contraire, horriblement laids. [Exemple] Ainsi, dans La Princesse de Clèves, lorsque Mme de La Fayette fait le portrait du duc de Nemours, un « prince » de la cour d’Henri II, elle le présente comme « un chef-d’œuvre de la nature ». L’emploi des superlatifs élogieux et le champ lexical de la beauté font imaginer au lecteur un héros qui ne peut être imité et dont la

caractéristiques physiques et psychologiques) ; ils s’apparentent à de véritables individus, mais restent des créations de l'auteur. a. Le portrait Réalisé par un discours descriptif. Il sert à présenter un personnage. Il peut contenir les prémisses de l’action à venir. Le personnage de roman n’est pas forcément héroïque. Il faut analyser en détail les portraits - Le plan physique : aspects physiques mélioratifs ou péjoratifs, la description des vêtements, les traits sontils grossis ?

fable, conte, théâtre, discours …) histoire littéraire (donner des repères sur les grandes périodes de la littérature) Etude de mouvements littéraires (Humanisme, Classicisme, Les Lumières,) Etudier l’histoire des arts (évolution du genre du portrait et de la façon de représenter l’homme) Lectures cursives : Candide, Voltaire. / La Ferme des animaux, Orwell. Lectures analytiques : 1. « Lettre de Gargantua à Pantagruel », in Pantagruel de Rabelais (manuel Hatier p.303) 2. « Le Rat et l’éléphant »