Portrait Du Roi Arthur

L’Amulette (1873) – Jules Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques (1874) – Guy de Maupassant, Nouvelles (1875-1893), Boule-de-suif (1880), Mademoiselle Fifi (1882), Farce normande (1882), Les Contes de la bécasse (1883), Yvette (1884), Le Horla (1887) – Arthur de Gobineau, Nouvelles asiatiques (1876) – Gustave Flaubert, Trois contes (1877) – Joris-Karl Huysmans, Sac au dos (1877) – Catulle Mendès, Monstres parisiens (1882) – Anton Tchekhov, Nouvelles (1882-1903), La Steppe (1888) – Villiers de l’Isle-Adam

associée à une tournure impersonnelle qui font de l’entrée à la Cour de la future princesse, une apparition mystérieuse digne d’un conte de fée de Perrault : « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde ». - Cependant ce portrait stéréotypé et les effets qu’ils produisent encadrent un discours explicatif et analytique qui est le centre du texte et que l’on examinera ultérieurement : c’est la preuve que le paraître n’est pas l’essentiel du propos de madame de Lafayette, contrairement

Roman d'Enéas, tous adaptés d'œuvres latines), est encore mal dégagé des récits épiques, c'est surtout la matière de Bretagne qui va fonder le roman comme genre littéraire original : adaptant des légendes celtes anciennes qui mettent en scène le roi Arthur et les chevaliers de la Table Ronde, le roman renonce à toute référence historique ou plus ou moins original; et donne une grande place aux personnages et aux événements merveilleux. Le roman commence à apparaître comme un récit construit qui

de décolonisation en Afrique Noire dès 1960. Enfin, l'ouvrage vient après plus d'un demi-siècle de colonisation pendant lequel plusieurs écrivains se sont attachés sur la condition, notamment culturelle, du colonisé : on cite Albert Memmi dans son Portrait du colonisé paru en 1956 ou encore Camara Laye avec son livre Dramouss. D'autre part, le contexte littéraire dans lequel l'oeuvre paraît est également caractérisé par une affirmation très forte de l’identité africaine. En effet, c'est durant les

n’est-ce pas une vraie diplomatie, car la vraie difficulté c’est justement d’accorder tout cela ». Raoul Dufy, « Les Problèmes de la peinture ». « Lorsqu’on s’est fait peindre par un peintre célèbre, il ne reste qu’une ressource : ressembler à son portrait ». Kees Van Dongen. « Certains peintres transforment le soleil en un point jaune ; d’autres transforment un point jaune en soleil ». Pablo Picasso. « La peinture est de plus en plus proche de la poésie, maintenant que la photographie l’a libérée

aujourd’hui que cette cruelle destruction, qui est l’œuvre des Normands, leur a coûté bien cher. Nous avons tué les deux tiers des troupes envoyées par le roi Henri. – Par le roi Henri ! exclama William. Puis il ajouta avec une certaine hésitation : – Vous êtes, m’avez-vous dit, Robin, le premier garde de cette forêt, et naturellement aux 19 gages du roi ? – Pas tout à fait, mon blond cousin, repartit le jeune homme en riant. Ce sont les Normands qui paient ma surveillance, c’est-à-dire ceux qui sont

Comprendre le serment Au Canada, nous jurons notre fidélité à une personne humaine qui nous représente tous, plutôt que de nous engager à servir un document, une oriflamme ou un territoire. Dans notre monarchie constitutionnelle, la souveraine (reine ou roi) symbolise à la fois notre Constitution, notre drapeau et notre pays. C’est un principe d’une remarquable simplicité, mais également d’une grande signification : la souveraine personnifie le Canada tout comme le Canada personnifie la souveraine.

son activité en 1945, sous l’indice 84. On fera lire Récit. Le trajet est réel dans le premier épisode. L’autobus avec une plate-forme arrière est aussi typique d’une certaine époque. Le zazou est le personnage principal. Avec l’arrivée en France du roi du swing, de l’Américain Cab Calloway et de l’orchestre du Cotton Club, est né en France le mot « zazou » (1938), à partir de l’intitulé d’une chanson Zaz Zuh Zaz. La mode « zazou », née sous le régime de Vichy, se caractérise par une mode vestimentaire

L’hommage d’Édouard Ier, roi d’Angleterre et duc de Guyenne, à Philippe IV, roi de France (voir p. 19). Ce tableau illustre la situation particulière de deux rois, dont l’un se déclare « l’homme » de l’autre : les deux personnages sont pairs comme l’indique l’identité de leurs vêtements (manteaux imprimés de l’emblème royal du lys et couronnes). En tant que roi d’Angleterre, Édouard Ier ne dépendait que de lui-même, mais, en tant que duc de Guyenne, il dépendait du roi de France. La position

filée suite de métaphores sur le même thème. La première métaphore en engendre d'autres, construites à partir du même comparant, et développant un champ lexical dans la suite du texte « Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes » — Arthur Rimbaud la parrhésie figure d'adjonction qui consiste à dire ce qu'on a de plus intime en cherchant ses mots; proche de la licence et du "franc parler" « Avant qu'il disparaisse, je le traitai de cénobite, d'abscons, d'haïku, d'idiolecte... »