Portrait Dun Personnage Romantique

… 1989 : Marc Bohan repris l’affaire et lance le style « slim look ». Il créa le fameux « Tailleur grec » porté par Jackie kennedy et le Parfum Pure Poison dont l’egerie était Isabelle Adjani à l’image dun style rafiné et élégant. 1975 : naissance ses premieres montres Dior. 1987 : Le groupe LVMH investie la maison Dior. 1995 : Parution le fameux sac Lady Dior porté Par Ladie Diana qui en fait un object

SUJET 1 SUJET NATIONAL, SEPTEMBRE 2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. ½¼ ½ ¾¼ J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge

SUJET 1 SUJET NATIONAL, SEPTEMBRE 2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. ½¼ ½ ¾¼ J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait

SUJET 1 SUJET NATIONAL, SEPTEMBRE 2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir

en suscitant Harry, font partie des personnages les plus appréciés de la galaxie Potter. Quoiqu'un suscitant délice et étonnement. «J'ai un Quoiqu ai un faible pour la boutique «J peu plus réservés, leurs de farces et attrapes Weasiey, Farces pour sorciers interprètes, James et Oliver Phelps, affichent un même boutique facétieux [une boutique ouverte par les jumeaux, ndrl], confesseOliver. Car c'était cétait un décor véritablement destiné à nos deux personnages. Il n'apparaît napparaît que quelques

agréable», qu’«il peut être utile», détermine «ses frontières», fait «un peu d’Histoire», considérant qu’on retrouve en lui «la vieille âme de la Gaule», qu’il «exprime Paris», qu’il représente «l’avenir latent dans le peuple». Enfin, il fait le portrait du «petit Gavroche», fils de Jondrette, un miséreux qui occupe avec sa femme et ses deux grandes filles une chambre de la masure Gorbeau. Leur voisin, un étudiant très pauvre, qui a vingt ans, se nomme Marius Pontmercy. Livre deuxième : ‘’Le grand

de cinéma et enseignant Le Temps du loup de Michael Haneke avec Isabelle Huppert, Béatrice Dalle, Patrice Chéreau Fr.–Autr.–All. / fict. 2003 coul. 1h53 (35mm) Précédé de : The Gloaming de Nobrain (Fr. / anim. 2010 coul. 12min / 35mm). Un personnage crée un monde qui échappe à son contrôle. La civilisation et son évolution en accéléré. Melancholia de Lars Von Trier, avec John Hurt, Kirsten Dunst, Charlotte Gainsbourg Fr.–Dan.–Suède–All. / fict. vostf 2011 coul. 2h10 (35mm) mercredi 12

littérature réaliste par les membres de la Société des recherches littéraires et leur position de « l’art pour la vie » n’abolissent pourtant pas l’intérêt porté aux autres mouvements occidentaux par leurs contemporains. Se passionnant pour la littérature romantique, des pionniers de la nouvelle littérature chinoise, qui donnent une place privilégiée à l’autonomie de l’art et de la littérature, se rassemblent sous la bannière de « l’art pour l’art ». Ainsi un débat entre « l’art pour la vie » et « l’art pour

travail angoissé sur la mort ; il y avait enfin dans son visage quelque chose de sanguin et de lourd, typiquement anglais, qui le rapprochait d'un fan de base d'Arsenal. En somme il y avait différents aspects, mais que l'on pouvait combiner dans le portrait cohérent, représentable, d'un artiste britannique typique de sa génération. Alors que Koons semblait porter en lui quelque chose de double, comme une contradiction insurmontable entre la rouerie ordinaire du technico-commercial et l'exaltation de

travail angoissé sur la mort ; il y avait enfin dans son visage quelque chose de sanguin et de lourd, typiquement anglais, qui le rapprochait d'un fan de base d'Arsenal. En somme il y avait différents aspects, mais que l'on pouvait combiner dans le portrait cohérent, représen¬table, d'un artiste britannique typique de sa généra¬tion. Alors que Koons semblait porter en lui quelque chose de double, comme une contradiction insur¬montable entre la rouerie ordinaire du technico- commercial et l'exaltation