Portrait Fille Physique

Mariane: fille d'Orgon Dorine: servante de Mariane Flipote: servante de madame Pernelle I- un statut d’inférieures Dans cette pièce, les femmes n'ont pas le pouvoir.... A-La décision de l'homme Nous avons pu remarquer que dans le famille, Orgon était un peu le «mètre de cérémonie»,celui qui dirige et donne les ordres malgré qui soit «sous l’emprise» de Tartuffe De même que Orgon en tant que père décide pour sa fille le choix de l’époux.Il ordonne à sa fille d’épouser

Vous écrirai une dissertation détaillés sur Emilie guillou. Plan : I / Description physique. a) Visage et décolleter b) corps et jambe. II/ Analyse mental a) comportement en civilité et description morale. b) Réputation et attitude général. Pb: Qui est vraiment Emilie guillou , comment la cerner ? Introduction: Emilie Guillou est une étudiante du 21ième Siècle , née le 4 novembre a Alès , fille , d'une mère institutrice et d'un père banquier. Emilie , est hésitante pour c'est projet

réflexions de l'enfant. 2) Un schéma narratif au service de l'argumentation entre le bien et le mal : • Perrault suit un fil conducteur reposant sur une comparaison : suites parallèles d'actions qui se répètent. • Série d'antithèses : opposition du portrait entre les deux sœurs (orgueilleuse, désagréable /douceur, bonne honnête (belle : selon le code chrétien, une pers qui a des qualité) Opposition des deux apparences de la fée, des situations d'épreuves... Pour opposer dans un but moral, la vision

Sujet : Corneille affirmait que « la tragédie est une imitation, ou pour mieux parler un portrait des actions des hommes ». Vous discuterez de cette thèse en l’élargissant au théâtre. Vous prendrez appui sur les textes étudiés en classe mais plus largement sur vos expériences du théâtre (textes et représentations). La tragédie classique française répond à certaines règles que l’on appelle « règle des trois unités ». Elle consiste à respecter une unité d’action, la pièce ne doit comporter

Il empêche le mariage de sa propre fille, l’enferme et la spolie, tue lentement sa femme, écrase ses semblables de Saumur à Paris. Mais l’avarice est dynamique : l’argent est «vivant, ça produit» (pages 199-200) ; il fait de Grandet un «homme de bronze» qui n’entasse pas comme Harpagon, qui spécule, qui transporte les fonds (deux fois en brouette !), qui les transforme. Il lui insuffle aussi le génie de la stratégie auquel Balzac consacre l’essentiel du portrait : comment obtenir de Des Grassins

ce projet de mariage plaisait à sa fille, elle lui répondit en toute liberté que Silvia était mécontente de cette initiative, cette idée lui déplaît. Or le ton montre entre les deux personnages si bien que le débat se centre sur les charmes et les dangers du mariage. Cette 1ère scène confirme ses fonctions d’exposition puisqu’elle présente l’héroïne Silvia ; sa servante Lisette et au delà du discours un jeune homme que Mr Orgon souhaite faire épouser à sa fille. Ainsi l’enjeu de l’action est-il posé :

de l'époque. Ce roman d'Emile Zola est d'abord publié sous la forme de feuillton dans la revue Le Voltaire d'octobre 1879 à février 1880. Puis paru en volume en 1880. Zola a longtemps réfléchit à cet ouvrage afin d'offrir au lecteur un véritable portrait de deux catégories sociales distinctes, les courtisanes et les « viveurs ». Par ailleurs, on y retrouve des réflexions personnelles de Zola, ainsi que des références de lectures et des recherches effectuées par le romancier sur ce thème. Ainsi la

inaugurent cette veine du texte bref, si foisonnante et originale dans l’œuvre de Colette. Comme dans nombre de ses ouvrages, l’écriture se nourrit de l’expérience vécue — Colette s’est séparée de Willy et vit, à partir de janvier 1907, avec Missy, la fille du duc de Morny —, que l’imaginaire et la poésie viennent transformer et transcender. Au-delà d’une grande variété apparente, le recueil trouve son unité dans une quête de l’identité qui est au cœur de presque tous les textes. Nous avons ici affaire

enseignement de vie, sur le modèle des Pensées de Pascal. Les pensées de La Rochefoucauld sont teintées de pessimismes, et démontre la faiblesse de l’Homme. Madame de Chartres est contre les adultères, et va notamment les expliquer à sa fille. Elle souhaite éloigner sa fille de la Cour, car elle dit que tout est danger, tout est tentation. La Princesse est marquée par la pensée janséniste, car elle se méfie des passions amoureuses. Le Duc de Nemours, lui est un séducteur, un libertin, il est dans l’axe

la phrase : « moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! ». L’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu'il subit et sur les conditions de vie des prisonniers, par exemple dans la scène du ferrage des forçats. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure et ses états d’âme... Il se fera exécuter sous la clameur du peuple qui voit sa mort comme