Portrait Germinie

extrait de Germinie Lacerteux. Cet extrait est tiré du roman Germinie Lacerteux qui est un roman éponyme écrit par les Frères Goncourt. Ce texte a été écrit en 1865, et provient du mouvement naturalisme. Ce livre est inspiré de la vie réelle des frères Goncourt, Germinie Lacerteux interprétant Rose Malingré, la bonne de la famille Goncourt. Ce livre parle de Germinie Lacerteux étant l’héroïne du livre. Ce texte est écrit en prose, et est une description nette de Germinie Lacerteux, un portrait traditionnel

retrouve alors trois document ou la misère et la pauvreté dominent : Madame Bovary de Flaubert, Germinie Lacerteux des frères Goncourt et enfin Germinal de Zola. Dans le document 1, le roman de Flaubert relate la vie d’Emma Bovary, dont le quotidien est empreint d’un ennui auquel elle tente d’échapper. Notre extrait prend place dans la deuxième partie du roman, au chapitre 6 : il s’agit du portrait d’une vieille servante, Catherine-Nicaise-Élisabeth Leroux, décorée et primée, lors des comices

[modifier]CINQUECCENTO > voir l'article sur la Renaissance artistique La peinture de cette époque se caractérisait par un intérêt porté à l'homme. On jugeait un homme, si et seulement s'il était instruit. Les peintures étaient le plus souvent des portraits, sculptures de l'être humain dans une image complète et méliorative. L'art du nu s'affirma (en référence à l'Antiquité) notamment pour valoriser l'aspect athlétique de l'Homme. Parmi les peintres de cette époque, on a : En Italie : Michel Ange,

connu aujourd'hui surtout pour son activité de photographe, Nadar ne consacre pourtant, qu'une fraction de son temps à ce médium. Mais, pour l'histoire de la photographie, Nadar reste comme celui qui fut l'un des premiers à élever la pratique du portrait au-delà de l'industrie standardisée. Diplômé de l'École des mines de Saint-Étienne en 1837, Gaspard-Félix commence des études de médecine à Lyon; cependant sans soutien financier, à la mort de son père, et n’étant pas motivé par les études il se

Sommaire Introduction I/ L’intérieur de la maison : l’affirmation de la vie privée A) Un portrait de famille ? B) Les conditions matérielles C) Les transformations du cadre de vie II/ Un intérieur rococo ? A) Qu’est ce que le mouvement rococo ? B) Le rococo : un renouveau dans l’intérieur des maisons C) Un nouveau genre pour de nouvelles œuvres Conclusion Classement des mouvements artistiques avec exemples Introduction François Boucher

Conclusion Nous nous sommes demandés si le portrait photographique était fidèle, ou au contraire infidèle à la réalité. En conclusion, nous pouvons retenir ces observations suivantes : Au début de son existence le portrait photographique se différenciait du portrait pictural par le fait qu’on le considérait comme le résultat d’un acte mécanique sur lequel le photographe ne pouvait intervenir comme le peintre en embellissant la personne. On jugeait donc la photographie plus fidèle à son modèle

Tous les auteurs du corpus nous proposent des portraits, des descriptions détaillés dans leurs œuvres. Nous allons voir, au travers des lignes qui suivent, dans quelle mesure chacun de ces portraits prend appui sur le réel et dans quelle mesure ils sont transposés. Dans Le Chef-d’œuvre inconnu, Balzac fait le portrait d’un « vieillard » très bien vêtu. Ce portrait est dans un premier temps très réel, en effet il s’agit d’un type de personne très banal avec une « bonne nature » très authentique

constamment maintenue sur Chabert. Intérêt littéraire On peut juger du style de Balzac par cet extrait qui est un portrait du colonel Chabert au moment de sa rencontre avec Derville : «L'ombre cachait si bien le corps à partir de la ligne brune que décrivait ce haillon, qu'un homme d'imagination aurait pu prendre cette vieille tête pour quelque silhouette due au hasard, ou pour un portrait de Rembrandt, sans cadre. Les bords du chapeau qui couvrait le front du vieillard projetaient un sillon noir sur

exceptionnel du personnage. L’emploi de ce pronom prouve aussi que le personnage est vu par F. Moreau. Il illustre le coup de foudre. 3/ Le narrateur nous fait deux portraits de femme. Lesquels ? Il y a un portrait objectif : la tenue de la femme au 19ème siècle (l. 22 à 27) Noter le subjectivème « amoureusement » ligne 24. Un portrait subjectif : à partir de la ligne 31 qui correspond à la cristallisation de Frédéric sur cette femme (il veut tout savoir en bloc, tout connaître d’elle et de ses

récit comme par son style étonnant. Celui-ci est un roman autobiographie ou Céline dénoncel'atrocité des combats, l'incapacité et l'aveuglement des officiers et labsurdité d'un conflit inutile. Pour cela, nous analyserons dans une première partie le portrait du narrateur qui est un personnage différent des autres, et enfin dans une deuxième partie la vision de la société et la critique de la guerre d'après Céline. Dans cet extrait, nous découvrons que le héros n'a ni valeurs ni qualité, c'est donc