Portrait Harpagon

+L’avare est l’histoire d’une famille dans laquelle la mère est morte et le père Harpagon est très avare. La fille Elise est tombée amoureuse de Valère qui travaille comme valet pour Harpagon et le fils Cléante veut épouser la belle mais pauvre Mariane. Il veut aider Mariane en lui donnant de l’argent, mais comme son père est très avare, c’est impossible. Un jour, en parlant avec leur père, les deux enfants apprennent que celui-ci veut aussi épouser Mariane. En plus il veut que Cléante épouse

imprégné par son vice, obsédé à l’extrême . Par conséquent harpagon rend la situation encore plus comique en s’adressant à l’auditoire ; « n’y a-t-il personne qui veuille me ressusciter en me rendant mon cher argent ou en m’apprenant qui l’a pris ? Euh ? Que dites vous ? ce n’est personne ? n’est-il point caché parmi vous ? Ils me regardent tous et se mettent à rire… ‘ Il y a aussi le langage n’est pas étranger au comique de cette scène. Harpagon exagère la situation dans laquelle il se trouve grâce

théâtre intitulée L’avare écrit par Molière en 1668 , et L’aululaire de Plaute rédigé au IIIe siècle av. J-C. Nous allons étudier les signes distinctifs qui relient Euclion à Harpagon. Tout d’abord, on peut remarquer qu’Harpagon et Euclion sont tout les deux paranoïaques. En effet, après le vol de sa cassette, Harpagon accuse les spectateurs d’être complices du vol :  «  Vous verrez qu’ils ont part, sans doute, au vol que l’on m’a fait », ce qui est complètement absurde puisqu’il est sensé

certaine vision des choses de la part du spectateur. En effet, le comique de caractère tourne à la dérision des choses qui sont à la base graves. Cela consiste à grossir certains défauts d'un personnage pour provoquer un enchaînement. Par exemple Harpagon dans l'Avare de Molière est obsédé par les richesse qu'il possède. Cette obsession le pousse jusqu'a une extrême avarice ce qui le rends donc ridicule auprès du spectateur. Dans la plupart des comédie classiques on peut observer l'apparition du

Pour commencer, le thème de la flatterie présenté dans « l’acte II, scène 5 » de la pièce de théâtre L’Avare prouve que l’œuvre est comédie. En premier lieu, ce sont les louanges faites par Frosine à Harpagon sur son air jeune alors qu’il a soixante ans qui dévoilent le thème de la flatterie. EN effet, dès le début de leur conversation, elle lui affirme cette fausseté et elle rajoute : « […] vous n’avez de votre vie été si jeune que vous êtes; et je vois des gens de vingt-cinq ans qui sont plus vieux

tension (conflits) et scènes de répit (comique). A part dans les deux premières scènes où Elise exprime ses inquiétudes, et Cléante sa révolte contre la tyrannie d’H, H est toujours présent là où la tension culmine : Harpagon rival de Cléante (I), Harpagon usurier (II), Cléante piégé par Harpagon et déclaration de guerre entre eux, monologue d’H fou de douleur au vol de sa cassette (IV) supplications d’Elise (V). Molière a bien calculé son dosage de tension et de détente pour que la comédie l’emporte

HARPAGON H. est père de deux fils, ormai dejà grands. Ils s'appellent Cèante et Elise. Cette fammille n'est pas comme les autres parce que le veille n'est pas un bon père. En effet son gran probleme est sa avrice, autour laquelle toute sa vie depende. En effet il veut toutjours garder se richesse et en avoir d'autres. Mais la chose la plus particulier et triste est que son vice d'avarice n'est pas limité à l'argent, mais il s'extende aussi aux sentiments, aux paroles d'amour, à l'amitié, aux

scène 3 de l'acte IV de L’Avare de Molière, une comédie écrite en 1668. Ce genre théâtral suscite le rire en premier lieu, mais a aussi pour but de dénoncer les mœurs, les vices, les travers de l’époque de manière divertissantes. Dans cette pièce Harpagon accuse Valère de lui avoir volé son argent alors que ce dernier se défend d’aimer la fille d’Harpagon sans comprendre le vrai motif de son accusation. En quoi le rire n’est pas le seul but de la comédie en général, et plus précisément dans L’Avare

cet extrait, il s’agit d’une altercation entre un maître tyrannique, Euclion, et son esclave qui ne lui est pas tout à fait soumise, Staphyla. Le second, L’avare de Molière, date de 1668. Il s’agit là d’une tirade mettant en scène un personnage, Harpagon, perdu sans son argent et qui accuse tout le monde et menace donc de les faire pendre . Le dernier texte, Lysistrata d’Aristophane, date de 411 avant J-C. Il s’agit maintenant d’un dialogue entre deux personnages, un magistrat et Lysistrata, ayant

voulait faire « rire les honnêtes gens » mais par ses comédies, il dénonce le ridicule d'une société. Il écrivait ses comédies afin de faire prendre conscience au spectateur de ses défauts. Il Ex : L'Avare : dans son esprit, le spectateur qui voit Harpagon et son argent, son « cher ami » prend conscience du défaut de l'avare, réalise qu'il est lui-même avare et donc décide de ne plus l'être. • Théâtre de l'absurde : forme renouvelée de la comédie, dénonce l'absurdité du langage ou la condition humaine