Portrait Moral De Madame De Renal

précurseurs classiques, le mouvement du classicisme s’installe petit à petit et contribue à l’effacement du mouvement Baroque. Jean de La Bruyère, célèbre auteur et moraliste français, publie les Caractères en 1688. Dans notre cas, l’extrait étudié est un portrait en situation lors d’un repas, entouré de personnages importants et puissants. Arrias vante ses connaissances et affirme connaître Sethon, sauf que malheureusement pour Arrias, celui qui répond ne s’avère être autre que Sethon finalement. L’auteur

il l’aurait souhaité mais il bénéficie d’une véritable reconnaissance morale, ses sentiments ont été éprouvés. Selon Diderot la part de facticité et la part de sensibilité peuvent coexister et former des mélanges instables. On peut se demander si ce n’est pas aussi la position de Stendhal. Il représente les « imperfections de la sensibilité » et la multiplicité interne de Julien surtout mais aussi de Mathilde et de Madame de Rênal. Ces imperfections ne remettent pas en cause la sincérité de l’être

et notre curiosité est vivement amusée à chaque page, comme dans tout ce que l’auteur a écrit de plus spirituel et de plus raffiné sur le cœur. C’est une aventure contemporaine. Nous sommes à Verrières, jolie ville de FrancheComté, chez M. de Rênal, maire de l’endroit, haut, empesé, espèce de gentillâtre enrichi ; rougissant depuis 1815 d’avoir été industriel auparavant, fort occupé d’étouffer le libéralisme parmi ses administrés ; il a d’ailleurs deux jolis enfants et une jolie femme.

Français → Texte 1 : La princesse de Cléves (Madame de la Fayette) Probléme : Comment est représenté le sentiment amoureux ? I- Le portrait d'un homme amoureux A)Une scène dramatisé B)Un corps amoureux C)Un cœur amoureux II-Une femme amoureuse A)Un corps amoureux B) Un cœur amoureux C)Des objets révélateurs Présence de discours direct (« il dit...), Indirect libre et narrativisé (résumé au début) il vit, il voit (interne) → ligne 1 à 21 Focalisation 0 → ligne 22 à 32 interne

intelligence et qu’il fit entrer au séminaire. Avec une santé fragile Berthet dut quitter le séminaire avec ses conditions de vie trop dures pour trouver un emploi. Il devint le précepteur des enfants de la famille Michoud, et très rapidement l’amant de madame Michoud qu’il dut quitter très vite. Après un nouveau séjour dans un séminaire plus réputé que le premier Berthet trouve une nouvelle place de précepteur dans une famille noble cette foi avec la famille Cordon où il séduit la fille de son employeur

Mme de Renâl et Mathilde de la Mole : comparez-les du point de vue de l’amour que Julien leur porte et de celui qu’elles portent à Julien. Le Rouge et le Noir de Stendhal est une œuvre qui s’inscrit dans la tradition des « romans d’apprentissages ». C’est un détail important à relever, car cela va nous permettre de mettre en relation l’évolution psychologique et sociale du personnage principal du livre, Julien Sorel, et sa découverte de l’amour, auprès des femmes clé de l’ouvrage. Il s’agit, en

engagé par Monsieur de Rénal, le maire de la ville. Il est engagé comme précepteur pour ses enfants. Timide et indocile dans un premier temps, Julien ne tarde pas à s'accoutumer à sa nouvelle vie et tombe sous le charme de Mme de Rênal. Il devient son amant. Grâce à la tendresse qu'elle lui manifeste Julien connaît alors un bonheur passager. Ce bonheur est interrompu par la maladie du jeune fils de Mme de Rênal, qui se croit punie par Dieu ; tandis qu'à l'inverse cette crise morale décuple l'amour de

amoureux de la rencontre dans ces textes ? L’amour est un des thèmes majeurs du roman, bien souvent même le moteur de ses intrigues ; le corpus de textes présentent cinq auteurs d’époques différentes ayant placé ce topos au cœur de leurs œuvres : Madame de la Fayette, avec La Princesse de Clèves, écrit en 1678, l’Abbé Prévost avec Manon Lescaut, publié en 1731, Stendhal avec Le Rouge et le Noir, édité en 1830, Flaubert, avec L’Éducation sentimentale terminé en 1869 et Boris Vian avec L’Écume des

"la passion" que semble éprouver Madame de Rênal , il à l'air de considérer ces femmes comme des objets comme le suggére le verbe "avoir" et non "séduire". Le lecteur découvre un être égocentrique et vaniteux, vanité exprimé dans l'expression "continua la petite vanité de Julien" c'est elle qui s'exprime. Julien prefererait choisir Madame Derville qui le considére supèrieur à sa classe social c'est un "précepteur honoré par sa science" plutôt que Madame de Rênal qui le voit comme un simple "ouvrier

travaux de force. Mais Julien Sorel est le représentant des classes pauvres à la conquête du monde. Pour lui il s’agit de deux conquêtes : la conquête de ses projets, de la fortune, du pouvoir et puis la conquête des femmes et par les femmes (Mme de Rênal et Mathilde de La Mole). Il veut dépasser sa position basse dans la société, il veut avoir la possibilité de vivre. Il est ambitieux, rêve de gloire et s'évade dans la littérature. Il puise son imagination dans les Confessions de Rousseau, Les Bulletins