Portrait Moral De Vautrin

Certains personnages romanesques se démarquent de l’humanité commune par leur physique, qu’ils soient particulièrement beaux ou, au contraire, horriblement laids. [Exemple rédigé] Ainsi, dans La Princesse de Clèves, lorsque Mme de La Fayette fait le portrait du duc de Nemours, un « prince » de la cour d’Henri II, elle le présente comme « un chef-d’œuvre de la nature, […] l’homme du monde le mieux fait et le plus beau ». L’emploi des superlatifs élogieux, intensifiés par la précision « du monde », la

B- L’art du portrait. Si les femmes se reconnaissent si bien dans les œuvres de Balzac, c’est sans doute parce qu’il peint des héroïnes proches de la réalité tant sur le plan moral que plastique. Le portrait, à cet égard, devient une donnée essentielle des écrits balzaciens. La peinture physique d’un personnage, dans le roman, est un des moyens qui permettent d’assurer sa présence au sein du récit. Balzac est passé maître dans l’art de la description de ses héros

Rastignac, qui va devenir un personnage clé et très important dans ce roman. Il sera aussi très important aux yeux du Père Goriot. Celui-ci restera à ses côtés jusqu'au bout. On peut voir la description de Rastignac dans un passage. Mais une description morale, et non physique. On en déduit donc que c'est un jeune homme intelligent. Simplement car celui-ci étudie dans le droit. Il monte sur la capitale pour étudier, mais il veut principalement monter dans la haute société grâce à sa tante; Mme de Marcillac

des Lumières, évoquent des personnages divers décrits précisément par les écrivains. On peut alors se demander en quoi précisément ces personnages sont rendus antipathiques. Nous verrons que les personnages sont décrits sans complaisance, que les portraits sont construits de manière péjoratifs, et que les personnages des textes B et C sont orgueilleux. Tous les personnages sont décrits sans complaisance car les auteurs recherchent la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à

la longue « leçon » que Vautrin donne à Rastignac, dans le jardin de la pension Vauquer, alors qu’il tente de le convaincre d’épouser Victorine Taillefer et de partager avec lui la dot. *(LECTURE CURSIVE) * D’après cet extrait, on peut observer trois mouvements qu’on peut analyser : l’emploi des pronoms, l’envisagement d’un personnage symbolique, et la vision du monde réaliste. Premièrement, le « je » est rare dans l’extrait, trois occurrences par lesquelles Vautrin s’implique dans son discours

les contrastes entre les personnages: Virginie : mariage arrangéFanny : Honnête, paye ses dettesLucien : Points communs avec Eugène = -veut parvenir -manque d’argent -a du talent -les femmes comme marche pied -un mentor = Vautrin Les différences : Il cède à Vautrin, et Mme de Bargeton n’est pas une grande Dame.La Recherche de l’absolu : Points communs avec Eugénie Grandet : -père autocrate -un même isolement social -la passion du père est imposée à tous -Opposition entre le père et

Composition : un portrait dans la durée : Le portrait du héros s’inscrit dans le mouvement de son apprentissage. Une année de biographie morale est résumée en un portrait construit selon la chronologie, comme l’a été celui de Goriot. Par ce retour en arrière est dépeinte l’évolution du caractère dans le temps. Le portrait de Vautrin, c’était l’aspect physique dans le présent et une tentative de déchiffrement ; celui de Rastignac peut s’examiner en termes de durée, approche inhabituelle

belle Delphine, ce qu’il arrive à faire grâce aux conseils de sa cousine et de Vautrin. Il choisira, pour gravir les échelons d’utiliser la méthode de Vautrin associée à celle du père Goriot puisqu’il se sert des gens pour avancer mais reste tout de même moral puisqu’il reste avec le père Goriot lors de son décès et vient à l’enterrement. De plus il veut parvenir à ses fins par tout les moyens, les valeurs immorales de Vautrin qui semble les plus rapides à exécuter et les plus accessibles dans ce monde

Balzac, Le Colonel Chabert, portrait (+ texte complémentaire Nathan XIX p. 217.) Accroche : Balzac et la Comédie Humaine (1842) Balzac, romancier romantique par la sensibilité et la passion (cf. le goût de l’exaltation du moi et de l’Histoire, son sens de la poésie et du mystère), mais il se singularise par son désir de représenter la réalité historique et sociale étrangère aux préoccupations de Vigny, Mérimée ou Dumas qui choisissent la fiction pure (romans noirs, historiques ou exotiques) et

b) Un personnage présenté au lecteur « Colin » premier mot du roman Un portrait physique sommaire : Couleur des cheveux « blond roux » Silhouette élancée Un visage enfantin « il avait la tête ronde , les oreilles petites, un sourire de bébé » Comparaison imprécise avec l’acteur (pas de nom) par l’intermédiaire du miroir  le personnage n’est pas perçu directement par le narrateur mais à travers un jeu de reflet Un portrait en action : dans le premier paragraphe description de chaque étape de la