Portrait Physique Du Héros

Gérard Depardieu (1984) ou l’une de celles proposées par la Comédie Française (une version datant de 1973 et une autre de 1998) et permettra de travailler sur le comportement physique de l’hypocrite : gestes et intonations de la dévotion, de la compassion, du repentir, du désir amoureux, du calcul. * comparer les deux portraits de Tartuffe faits par Dorine (I, 4) et Orgon (I, 5) avec sa 1ère apparition sur scène (III, 2)==> les attentes concernant un personnage * le 1e entretien entre Tartuffe

Faire la liste de tous les personnages évoqués dans le récit : dieux, héros, monstres, mortels. • Identifier les différents sens du mot « Héros ». • Quelles sont, dans ce récit, les qualités du héros athénien ? Activité 2 : chaque groupe d’élèves prend en charge un des personnages principaux (Thésée, Phèdre, Hippolyte, Démophon, Althée). • Relever tous les éléments pouvant aider à dresser le portrait de chacun des personnages (physique - comportement - généalogie - histoires/aventures - paroles significatives)

Un portrait en deux temps (dynamique puis statique) Il y a deux paragraphes, le premier est 2 fois plus grand que le deuxième. Référence cinématographique dans le texte (« Hollywood Canteen »)  Personnages rendu crédible par cette citation. Il prend vie.  Fait appel à la culture du lecteur  Culture que s’américanise La connivence (= complexité) avec les lecteurs. Le 1er paragraphe = allusif : à quoi ressemble Colin ? Le 2eme paragraphe = portrait physique. Ici le portrait est

merveilleux, l’humour et l’observation du lucide du monde. C’est la vie selon l’auteur, pleine de poésie et de métaphores. Ces histoires sont universelles, chacun les interprète à sa manière, de ce fait, tout le monde peut alors s’identifier au héros. Caractéristiques de l’ouvrage Type d’écrit : nouvelle fantastique La nouvelle possède plusieurs caractéristiques toutes liées à la brièveté : Contrairement au roman, elle est centrée sur un seul élément. Les personnages sont peu nombreux et sont

les réunir. 5. Plan de la lecture méthodique : I Une société d'apparences (le jeu des regards) a. le champ lexical de la vue b. l'intérêt de la préparation c. le jeu des regards II La présence du destin a. des héros complémentaires b. l'événement c. le poids de la fatalité 6. Lecture méthodique I - Une société d'apparences (le jeu des regards) a) le champ lexical de la vue On a un champ lexical de la vue très important : par exemple, le

une morale ou un enseignement. La fin doit a priori être heureuse, le héros triomphant du mal. Le conte traditionnel ou folklorique fait intervenir souvent des éléments surnaturels et tous suivent la même structure :  Situation initiale : c'est le décor habituel et l'équilibre dans lequel évolue le héros de l'histoire  Élément déclencheur : quelque chose ou quelqu'un vient perturber l'équilibre, ce qui pousse le héros à partir de chez lui ou du moins à sortir de sa routine. Le plus souvent

lesquelles il a apprit a jouer aux échecs. Ancien avocat à Vienne, il était chargé par la famille royale de veiller sur leurs biens. Mais alors que la guerre éclate, il est arrêté par les nazis qui veulent obtenir ses secrets. Sa torture n'est pas physique, mais morale. Il est enfermé dans une chambre d'hôtel, mais rien ne peut le divertir pendant ses journées. Un jour, il parvient à dérober un manuel d'échec, et se récite les parties des grands maîtres, puis apprend à jouer contre lui-même. Mais cet

Intro : l'ambition de la Bruyère : peindre les mœurs de son siècle. Choisit forme brève : le portrait. Son esprit classique : porte vers idéal naturel et simplicité => c'est la raison pour laquelle choisit tourner dérision impertinence de celui qui prétend tout savoir Problématique : A quoi tient efficacité de ce portrait ? Plan : Suffisance d'Arrias mise en scène, puis composition du portrait impose satire. I/ a) Narrateur présente personnage => caractérisé par suffisance

Nous ne disposons que d'un faible nombre d'indices, ce qui amène Balzac à conclure avec un air amusé que l' « image » construite [par le jeu des focalisations] dans la représentation du lecteur est nécessairement « imparfaite ». La psychologie du héros de ce drame (le peintre Frenhofer) nous échappe, elle reste hypothétique. D'autant plus que l'auteur a recours à une locution modalisante (procédé de la modalisation) pour laisser planer le doute : « il aperçut (...) je ne sais quoi qui affriande les

Les romans du XIX siècle ont pour héros des personnages souvent imparfaits : ainsi Julien Sorel, Rastignac ou Duroy sont caractérisés par une ambition dévorante qui peut les rendre antipathiques. Mais les défauts des héros peuvent-ils modifier l’intérêt que l’on éprouve à la lecture d’un roman ? Peut-on établir une corrélation entre entre la valeur humaine d’un personnage et la valeur littéraire d’un roman ? Tout d’abord, il est vrai que le lecteur peut éprouver une déception légitime lorsqu’un