Portrait Rastignac Dans Le Père Goriot

long du chemin » Stendhal Balzac souhaitait « faire concurrence à l’Etat civil ». Eugène de Rastignac Dans le Père Goriot, c’est un étudiant qui vit dans la pension Vauquer. A la mort du personnage éponyme, il paie son enterrement, contrainte due à la cruauté des deux filles du Père Goriot, qui ne sont pas présentes. Confronté au cynisme (Vautrin) et aux duperies des autres, il verse sur le tombeau du père sa « dernière larme » d’innocence. N’ayant plus d’illusions dur la société, il décide pour rejoindre

fait pressentir les pensionnaires. Quand elle est là, ce spectacle est complet ». • Analyse : Ce portrait, placé au début du romain fait selon une focalisation omnisciente, et qui ne suit pas un ordre précis, est un portrait réaliste, mais aussi un portrait caricatural, et un portrait symbolique, qui annonce la suite du roman.Dans cet extrait, le narrateur trace le portrait de la propriétaire de la pension bourgeois : Mme Vauquer. Il évoque tout d’abord le haut du corps : « bonnet »

société dans la Comédie humaine, invente retour des personnages d’un roman à l’autre : Père Goriot, Illusions perdues, Cousine Belte, Eugénie Grandet. But du roman d’apprentissage :sociologique et psychologique, permet montrer société sous un œil neuf et montrer ses effets sur un individu, réfléchir à découverte de l’amour dans le personnage principal, voir comment il peut évoluer, se former dans cette société. Portrait à la fois psychologique et social, ce qui en fait la richesse. Moyen d’étudier et

et c’est là l’une des exactitudes que j’ai le plus cherchées ». D’ailleurs, dans d’autres romans, par exemple Le Père Goriot, la dimension fantastique n’est jamais loin, le portrait de Vautrin le montre bien : « Comme un juge sévère, son œil semblait aller au fond de toutes les consciences ».

une image de l’humain idéal et parfait ce qui provoque de admiration. Ces personnages peuvent être exceptionnels par leur physique comme par exemple Le Duc de Nemours dans La Princesse de Clèves de Madame de La Fayette, cette dernière en fait un portrait et le décrit comme l'homme du monde le mieux fait et le plus beau puis le compare a un « chef d’œuvre ». Ses qualités physiques fascinent non seulement les femmes du roman mais aussi le lecteur. Cependant l’exception de ces personnages peut aussi

personnages Les personnages sont caractérisés d'abord par leur portrait Le romancier peut donc par un personnage, incarner un point de vue sur la société. Madame de la Fayette, la Princesse de Clèves , Mme de Clèves et M de Nemours allient qualités physiques et spirituelles, et une grandeur d'âme qui les empêchent de se laisser aller à la passion. B) Comment les pp représentent la société. (Vie de société, fiction…) Rastignac et Vautrin sont les seuls à offrir de la volonté de puissance une

Le père Goriot : Description de la pension Vauquer Dans cet extrait, Balzac décrit la pièce où toutes les principales actions se passeront, en détails, grâce à différents procédés. Après avoir analysé l’art de la description de Balzac, nous étudierons comment Honoré de Balzac essaye de capter l’attention du lecteur. I) L’art de la description selon Balzac A. Donner l’impression d’un bric à brac … (via 2 moyens) …grâce à une description bien détaillée et réalisé dans un ordre précis

8 › Évaluation : le personnage de roman du xixe siècle à nos jours p. 9 Parcours pédagogique Le roman de Maylis de Kerangal est une fresque sur la vie, celle que l’on perd, celle que l’on reçoit. Le lecteur découvre à travers une galerie de portraits des destins croisés, des êtres qui vont se rejoindre autour d’un corps, celui de Simon. Le fil du récit nous entraîne dans un univers mystérieux où la vie et la mort se côtoient. L’étude de cette œuvre en classe de seconde est recommandée dans le

avec Les Chouans, le roman philosophique avec Le Chef-d'œuvre inconnu, le roman fantastique avec La Peau de chagrin ou encore le roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Mais ses romans réalistes et psychologiques les plus célèbres, tels Le Père Goriot ou Eugénie Grandet, qui constituent une part très importante de son œuvre, ont induit, à tort, une classification réductrice d'« auteur réaliste », aspect qui a été attaqué et critiqué par Nathalie Sarraute et le mouvement du Nouveau roman dans

descriptions des portraits de ses personnages « typiques », dominés par une passion violente = monomanie (le paternalisme du Père Goriot, la criminalité de Vautrin, la vertu de Madame de Mortsauf). Leur physique est à l’image du mental (Vautrin est roux). Balzac brosse ainsi des portraits de personnages qui lui ressemblent, à la destinée souvent tragique. Même s’il se pose en narrateur omniscient, démiurge dans ses romans. Analyse d’un personnage de Balzac : Lecture d’un portrait de Vautrin et