Portrait Réaliste

tout l’aspect lyrique du texte en traduisant ses pensées. Dans l’extrait « Le Lys dans la Vallée », on retrouve des similitudes, telles que le registre lyrique, ainsi qu’une focalisation interne, on suit son regard, puis nous retrouvons également un portrait assez mystérieux, et sensuel de la femme « de blanches épaules blanchies », « des épaules légèrement rouées […] comme si elles se trouvaient nues ». Dans l’extrait « Le Rouge et le Noir » on assiste à une rencontre plutôt inattendue, entre Julien

PORTRAITS Marianne Berenhaut Angel Vergara Santiago Dossier à destination des enseignants Exposition au MAC’s du 18 février au 6 mai 2007 -1- Table des matières L’exposition PORTRAITS – avant-propos de Laurent Busine p. 3 Le guide du visiteur commente les œuvres présentées p. 4 La visite active à destination des élèves de l’enseignement maternel à destination des élèves de l’enseignement primaire à destination des élèves de l’enseignement secondaire p. 5 p. 5 et 6 p

David rencontre le secrétaire perpétuel de l’académie, et suite à une visite à Pompéi il dit qu’on lui a fait une opération de la cataracte. Il rencontre Caravage qui utilise un éclairage très particulier, comme au ciné, et ses peintures sont très réaliste, le christ n’est pas idéalisé, style qu’on perçoit dans l’œuvre de David : Saint roch intercédant la vierge pour la guérison des pestiféré= cadrage très serré, les personnages presque tous sur le même plan, va a l’encontre de Vien et de son idéalisme

passage que nous allons étudier se situe au début du roman, l'héroïne est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois. Le lecteur la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la F expliquer les verer un destin exceptionnel. Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et

Le roman et ses personnages, vision de l’homme et du monde. En quoi les textes 1, 2 et 3 sont-ils réalistes ? Dans quelle mesure le réel y prend-il néanmoins une dimension symbolique ? Le corpus proposé à notre étude comporte trois extraits de roman, écrits au 19s, influencés par des courants comme le réalisme ou le naturalisme. On retrouve alors trois document ou la misère et la pauvreté dominent : Madame Bovary de Flaubert, Germinie Lacerteux des frères Goncourt et enfin Germinal

quelle mesure ces portraits prennent-ils appui sur le réel, dans quelle mesure le transposent-ils ? On listera ici les différents portraits. On peut imaginer une réponse linéaire mais dangereuse, car l’idée est de mettre en avant les caractéristiques de chaque auteur en s’appuyant sur les autres. L’idéal serait un mini plan en deux parties, d’un côté le réel, de l’autre le réel transposé. Je ne donne ici que des pistes sur lesquelles on pouvait baser son argumentaire. Le portrait le plus parlant

Bel Ami: La fonction des descriptions dans le roman réaliste. I- Problématique : Guy de Maupassant est spécialiste de descriptions avec une plume trempée au vitriol, c'est à dire qu'il " photographie " sans complaisance les hommes et les femmes de son roman Bel Ami et le milieu corrompu dans lequel ils évoluent ; de plus ces descriptions " expérimentales " servent aussi de moteur pour l'action : telle description laisse entrevoir au lecteur la suite des événements. II- Plan

lecteur participe ainsi à l'élaboration du portrait. Le narrateur-romancier se comporte lui-même en peintre dans la création progressive du portrait, traçant des lignes, jouant en virtuose des couleurs (« vert de mer ») et des « ombres », des contrastes entre l'éclat de la « dentelle étincelante » et le « pourpoint noir ». Ce double point de vue constitue une stratégie romanesque à la fois efficace et déroutante. Elle multiplie en effet les précisions réalistes qui devraient raisonnablement permettre

 Gustave Courbet ( 10 juin 1819 – 31 décembre 1877 ) Peinture à l'huile sur toile. Œuvre du genre réaliste. Date de création:1842 Cette œuvre est un Art visuel et plus particulièrement un autoportrait. 1824 1830 1842 1848 1851 1872 Ccc Né le 10 juin 1819, à Ornans, près de Besançon, Gustave Courbet est l’aîné de quatre filles. Après quelques rudiments de formation

I) )Un portrait réaliste 

A. Un portrait complet, ancré dans la réalité focalisation progressive une vision d’ensemble puis détail « mains » « visage » nombreux adjectifs « larges » l.2 « roux ardent » l.4 donnent toutes les informations nécessaires au lecteur pour s’imaginer Vautrin. B. décrit aussi les manières de Vautrin : voix, comportement social, activités, connaissances = portrait complet B. Une description qui traduit la démesure Impression générale de très