Portrait Staline

Texte Bac : Montaigne p 63 Plan I : Un monde en changement permanant a) Structure du texte b) Les images du mouvement II : Une œuvre particuliere : qu’est que les essais ? a) Un portrait b) Specificites et difficultés de ce type d’ecriture III : La peinture de l’humaine condition a) Certes : Une vie basse et sans lustre b) Mais : Qui englobe tout l’homme Intro : + presenter Montaigne et essais Dans le 3e livre des essais, Montaigne precise sa pense propre, sa vision du monde

proches l'une de l'autre. Van Gogh se définissait comme un être de contrastes. Ici harmonie malgré les contrastes. Une certaine façon mener son propre combat contre la maladie, son 3 combat contre lui-même . Analyse • • • • • Dans le portrait qui nous intéresse, la pipe contribue pour beaucoup à donner l'impression d'une sorte de sérénité retrouvée, d'une paix ou d'une tranquillité, d'ordinaire associée aux fumeurs de pipe Le bandeau témoigne du drame. La pipe appartient au présent et

personnages écorchés, agités et déformés. Il a créé cet autoportrait en 1976 mais il en peignit de nombreux autres. Cet autoportrait est exposé au musée Cantini à Marseille Autoportrait : Il d’abord peint son portrait puis l’a déformé tout en le laissant reconnaissable, j’ai cherché son vrai portrait (nez, coupe de cheveux) a l’aide de plusieurs techniques tels des coups de pinceaux violents qui accentuent les traits (sourcils), il ajoute des couleurs des hématomes (bleu) du sang(rouge, orange) et

portraitiste   A) Un portrait passionné   -Elle éprouve de la jubilation à ce jeu. -Etabli un portrait vivant et passioné de sa maitresse.  -Les choses se mettent en place doucement car exprime une succession de sentiments confus. -Puis le portrait se remplis avec de petites touches rapides et nombreuses. La repetition marque l'insistance -Portrait d'abbord général qui dégage une unité Vaine et coquette. -Suivi d’exemples comme pour argumenter. B) Un portrait animé -Le portrait est animé. On

Cézanne, à partir de 1863, propose régulièrement des peintures au jury du Salon Officiel de Paris : elles y seront toujours refusées (à une exception près, un portrait, en 1882), malgré ses efforts et les appuis dont il pouvait disposer (Ami d'enfance: Emile Zola). Ses tableaux dénotent déjà une grande diversité thématique : portraits, scènes historiques ou religieuses, natures mortes, paysages de Provence. Diversité Thématiques: Différents Thèmes Cézanne et Pissaro: A partir de 1872, Cézanne

cherchant à se différencier de la Renaissance en mettant de l’importance dans les sentiments de l’artiste ; le courant a été influencé par Michel-Ange. D’autres artistes tels que Léonard de Vinci ou Jérôme Bosch s’étaient déjà intéressés aux portraits déformés par des jeux de glace et aux compositions à base d’éléments détournés. Les principales caractéristiques de ce style sont la recherche du mouvement et des lignes du corps, une exagération des formes, une image trouble et obscure, un art

Pierre et Jean, Guy de Maupassant. Texte 1 : Portrait de famille Introduction : Pierre et Jean voit le jour sous la plume de Maupassant en 1888. Dès le 1er chapitre, le portrait des personnages est brossé par le narrateur permettant au lecteur d’anticiper la suite du roman. Il sera question de famille et de jalousie. On peut se demander si les personnages décris ne sont pas des types humains universels. Dans une première partie nous verrons les « ingrédients » du narrateur pour bâtir son chapitre

des Lumières, évoquent des personnages divers décrits précisément par les écrivains. On peut alors se demander en quoi précisément ces personnages sont rendus antipathiques. Nous verrons que les personnages sont décrits sans complaisance, que les portraits sont construits de manière péjoratifs, et que les personnages des textes B et C sont orgueilleux. Tous les personnages sont décrits sans complaisance car les auteurs recherchent la vraisemblance. Le vieillard observé par Nicolas Poussin est à

l’intérieur d’un bordel, inspiré d’une maison close barcelonaise, située dans la carrer Avinyò, qui donne son nom à la toile. Des centaines de travaux préliminaires ont préparé la réalisation presque secrète de cette œuvre. Les genres, nu féminin et portrait de groupe, ne sont pas en eux-mêmes innovants. Ce classicisme des genres rend la rupture formelle plus éclatante. L’espace, meublé par des draperies, est déconstruit, la perspective brisée, voire inexistante. L’accent est mis sur la verticalité.

En quoi le portrait est-il retardé ? (extrait allant de « Il parut alors » à « pleins de grâce et de charmes ») Dans ce portrait de la Princesse de Clèves écrit par Mme de La Fayette en 1678, nous pouvons remarquer que l’auteur veut créer un effet d’attente, notamment à l’aide des premières phrases : « Il parut alors » l.1 est une formule impersonnelle qui donne l’impression d’être dans un conte de fées composé d’une mystérieuse princesse. De plus, on ne la cite que par des articles indéfinis :