Portrait élogieux De La Femme

durs = insistent sur la douleur. c. + oxymore ‹‹sans mourir et sans vivre›› qui insiste sur la douleur intense. Tous ses sens se rebellent. d. Alternance des rimes féminines et masculines montrent aussi la lutte entre les sens (l’amour pour la femme: rimes féminines) et la raison (rimes masculines). e. ses sens se rebellent ce qui le déchire de douleur f. Pourtant la douleur du poète est paradoxale car, - nous le verrons dans la deuxième partie - elle stimule l'écriture et donc est essentielle

les portraits, de Gustave Courbet (particulièrement dans les natures mortes), mais aussi d'Eugène Delacroix, à qui il emprunte certains thèmes (les femmes orientales, par exemple). En 1865, Portait de William Sisley et Soir d’été sont acceptés par le Salon, ce qui est plutôt de bon augure. Un modèle important à cette époque pour lui est sa maîtresse Lise Tréhot : c'est elle qui figure dans le tableau Lise à l'ombrelle (1867) qui figura au salon 1868, et qui suscita un commentaire très élogieux de

séduction. Tout d'abord, tout au long de cette scene Dom Juan dresse un portrait élogieux de Charlotte. Pour ce faire, il utilise un vocabulaire valorisant ainsi comme à la ligne 2, l'adjectif "joli","belle" à la ligne 5, "yeux pénétrants" à la ligne 17, "visage mignon" à la ligne 23. De plus il appuie son propos en marquant l'opposition entre Charlotte et Pierrot aux lignes 56-57 " Quoi? une personne comme vous serait la femme d'un simple paysan " l'insistance sur le mot "simple" marque bien le

Lecture cursive : Sonnets, Louise Labé, XVI° siècle1. Louise Labé est née vers 1524 à Lyon et décèdera en 1566 à Parcieux-en-Dombes. Son surnom « la belle cordière » est apparu grâce à son père Pierre Charly et son amant Ennemont Perrin qui étaient des cordeliers. Elle a eu une enfance très mouvementée, elle a appris plusieurs langues, pratiquait de la musique, l’escrime, a rejoint l’armée du jeune dauphin… En 1543 elle épouse Ennemont Perrin et consacre ensuite sa vie à ses activités littéraires

La Baronne >>> Cunégonde >>> Le fils du Baron >>> Pangloss Il y a 7 personnages dont leur importance est montrée par rapport a la longueur des paragraphes sur eux : 2 Pôles importants Candide > Pangloss. 1) Candide Il est dépeint par son nom portrait, il trace les linéaments de son caractère. * Sur le plan moral c’est un adolescent paisible et inoffensif. « Mœurs les plus doux », il semble incapable de faire le mal et peut être le bien. Il est incapable de dissimulation. Le narrateur met l’accent

» ligne 31 à 32Verbe «  fuir » Négation + verbe «  refuser »d'un côté cette femme de l'autre Dorante qui la fuitécarte toute possibilité : il s'agit d'un refus total Dorante est intransigeant = homme fidèle malgré qu'il soit pauvre« Je les tromperais [...] car il sent bien son sort » Ligne 32 à 33discours directapporter plus de

Balzac, Ferragus (in Histoire des treize): 1)Un drame. a)La première enquête est celle de Maulincourt. Le jeune officier surprend Madame Jules, femme dont il est secrètement amoureux, dans une de ces rue où «une femme jeune et jolie ne peux se permettre de rentrer dans l'une des maisons sans être à la merci du premier homme de sa connaissance». Cet découverte pourrait lui permettre d'obtenir les faveurs de Clémence. Il l'espionne puis décide de tout révéler à Monsieur Jules. Cependant Ferragus

 Bel-Ami, Chapitre 8 I. Portrait élogieux de Madeleine à travers le regard de Duroy Tout le texte est en focalisation interne, et la description de Madeleine passe par le regard de Duroy. Toutes les infos sur elle sont celles que connaît Duroy → avec des limites car il ne connaît pas tout → d'où de nombreuses interrogations. Ordre logique → Duroy évoque d'abord la mort → objet des préoccupations au début du texte pour ensuite s'en détourner et enchaîner logiquement avec Madeleine. Description

Dans les caractères il présente la hiérarchie sociale de son temps, dans ce recueil nous trouvons des réflexions, des maximes mais aussi des portraits. L’on court les malheureux en fait parti.Comment les La Bruyère met en garde les courtisans sur leur vanité ?L’extrait se divise en 3 parties premièrement le spectacle des condamnées à mort, deuxièmement le portrait d’un parvenu et dernièrement la morale autrement dit la chute, La Bruyère met en garde les courtisans sur leur vanité en soulignant les conséquences

Parnasse, est aussi l’un des modèles revendiqués de Baudelaire. La page liminaire des Fleurs du Mal comporte ainsi une dédicace à Gautier : « Au poète impeccable, au parfait magicien ès-lettres françaises ». On ne saurait être plus explicitement élogieux. Ce que retient Baudelaire de la poétique de son ami et maître Gautier, ce sont le goût de la perfection formelle et la revendication hautement affichée de la gratuité de l’art. Enfin, Baudelaire ne répugne pas à assumer un héritage classique, il